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Énoncé

L’énoncé de l’énigme consiste à trouver la bonne réponse à la question suivante:

Quelle est la bonne réponse à cette question, dans la liste ci-dessous ?

1. Tout ce qui suit.
2. Aucune des réponses ci-dessous.
3. Toutes les réponses ci-dessus.
4. L’une des réponses ci-dessus.
5. Aucune des réponses ci-dessus.
6. Aucune des réponses ci-dessus.

Faites preuve de logique et éliminez pas à pas les réponses les moins pertinentes ! Vous ne pouvez choisir qu’une réponse parmi les six réponses proposées dans la liste !

Solution

Décryptons les réponses une par une et leur impact sur la liste.

Commencez par la réponse 1, « tout ce qui suit« . Si 1 est juste, cela signifie que 5 « aucune des réponses ci-dessus » est juste aussi ce qui signifierait que 1 est faux. Donc répondre 1 induit une réponse contradictoire et ne peut pas être choisi.

Ne vous attardez pas encore sur la réponse 2 « aucune réponse ci-dessous » car il faut encore décrypter les autres réponses pour voir si elle est pertinente ou non.

Pour que 3 soit juste, (toutes les réponses ci-dessus), il faudrait que 1 soit valable. Mais comme 1 ne l’est pas, cela invalide la troisième réponse.

Maintenant, attardons-nous sur la réponse 2 (aucune réponse ci-dessous n’est juste).
Si cette réponse est juste alors 4 doit être fausse (l’une des réponses ci-dessus est juste).
Puisque nous avons vu que 1 et 3 sont invalides, si 4 est fausse nous devrions aussi avoir 2 est comme fausse. Mais la réponse 2 est contradictoire avec la 4 donc fausse.

Puisque 1, 2 et 3 sont fausses, cela implique que 4 l’est aussi (car aucun énoncé ci-dessus n’est vrai).

Il nous reste donc deux réponses identiques mais à des positions différentes « aucune réponse ci-dessus (n’est vraie).
Si on considère la réponse 6 comme vraie, alors la 5 doit être fausse. Si 5 est fausse, alors une réponse au-dessus de 5 doit être vraie. Mais toutes les déclarations au-dessus de 5 sont fausses, donc 5 serait en fait vraie. Par conséquent, nous ne pouvons pas avoir 6 comme pertinente.

La seule possibilité de réponse est la 5. 5 peut-il être vrai ? Oui ! Car il s’avère qu’aucun énoncé ci-dessus n’est vrai, et donc 5 est pertinent.

La réponse est donc 5 !

 

 

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La cellule végétale et la cellule animale peuvent être différenciées par la présence d’organites en elles. Bien que les deux soient classés comme eucaryotes, la présence de la paroi cellulaire, des vacuoles et des chloroplastes sont les composants les plus remarquables et les plus distinctifs des cellules végétales qui sont absentes dans les cellules animales.
La taille de la cellule animale est plus petite que celle de la cellule végétale.

Les cellules existent dans une étonnante variété de tailles et de formes. De même, chez les êtres vivants, les cellules individuelles qui forment le corps peuvent croître, se reproduire, traiter l’information et répondre aux stimuli. Malgré les différences entre les différents types de cellules, qu’il s’agisse de cellules végétales ou animales, unicellulaires ou pluricellulaires, elles partagent toutes certaines caractéristiques communes et exécutent des processus différents et complexes de la même manière.

Les organismes multicellulaires contiennent des milliards de cellules organisées de façon complexe, tandis que les organismes unicellulaires se composent d’une seule cellule. Cependant, même les organismes unicellulaires se définiront en présentant toutes les propriétés remarquables dont une cellule a besoin pour devenir une unité fondamentale et structurelle de la vie.

En Bref : cellule végétale vs. cellule animale

  • Points communs : Toutes deux sont des cellules eucaryotes, possèdent un noyau, une membrane plasmique, du cytoplasme, des mitochondries, un réticulum endoplasmique, un appareil de Golgi et des ribosomes.
  • Distinctions majeures (cellule végétale uniquement) :
    • Paroi cellulaire rigide : Offre soutien et protection.
    • Chloroplastes : Permettent la photosynthèse (production de nourriture).
    • Grande vacuole centrale : Stocke l’eau, les nutriments et maintient la rigidité.
  • Autres différences : La cellule végétale est généralement plus grande et de forme fixe (rectangulaire), tandis que la cellule animale est plus petite et de forme irrégulière. Le noyau est souvent latéral dans la cellule végétale et central dans la cellule animale.
  • Fonctionnement : Les plantes sont autotrophes (produisent leur propre nourriture), les animaux sont hétérotrophes (dépendent d’autres organismes).

Qu’est-ce qu’une cellule végétale ?

Les plantes se composent d’eucaryotes vivants multi-cellulaires, qui sont autotrophes par nature. Cela signifie que ce sont des êtres vivants capables de se nourrir essentiellement de matières minérales.
Comme nous l’avons vu plus haut, les organites des cellules végétales comme le chloroplaste, la paroi cellulaire et les vacuoles les distinguent des cellules animales. Jusqu’à présent, environ 400 000 espèces de plantes ont été identifiées, et il reste encore beaucoup à découvrir, notamment en Amazonie.

Schéma de la structure d'une cellule végétale, coupe d'une cellule végétale
Schéma de la structure d’une cellule végétale

La taille des cellules végétales varie de 10 à 100 µm. La cellule végétale assure la fonction de photosynthèse, grâce à laquelle les plantes vertes sont appelées autotrophes. Cela se fait par la présence de chlorophylle dans le chloroplaste des cellules végétales.
La paroi cellulaire est constituée de cellulose, qui apporte soutien et rigidité aux cellules.

Fonctions des organites cellulaires importantes

La membrane plasmique contrôle le mouvement des molécules à l’intérieur et à l’extérieur de la cellule et en assure également l’adhésion.

La paroi cellulaire est habituellement rigide, non vivante et perméable, entourant la membrane plasmique. Il en existe deux types : La paroi cellulaire primaire et la paroi cellulaire secondaire.
La paroi cellulaire primaire est constituée de cellulose et se forme au moment de la division cellulaire.
La paroi cellulaire secondaire est composée de lignine et de cellulose et aide à donner forme et taille à la cellule.

Les chloroplastes sont des caractéristiques uniques des cellules végétales qui aident à la préparation des aliments au site de la photosynthèse. Les plastides sont une catégorie d’organites végétaux qui inclut notamment les chloroplastes (verts et essentiels à la photosynthèse), les chromoplastes (responsables des couleurs jaune à rougeâtre des fleurs et fruits) et les leucoplastes (incolores, souvent impliqués dans le stockage).

Le chloroplaste contient les autres parties comme les thylakoïdes et le stroma, ce qui aide à capturer la lumière du soleil et aide à la synthèse des aliments.

Les vacuoles occupent 90% du volume total de la cellule. Ce sont les vésicules liées à la membrane, remplies de liquide. Les vacuoles contiennent une large gamme de sels dissous, sucres, pigments et autres déchets toxiques. Ils apportent également un soutien physique et contribuent à donner de la couleur aux feuilles et aux fleurs.

Les différents types de cellules végétales

  • Parenchyme. Ce sont les cellules structurellement les plus simples, et ont des parois minces. Ils sont utilisés pour le stockage de produits biologiques.
  • Collenchyme.Ceux-ci ont des parois minces, avec épaississement à certaines parties de la cellule. Ces cellules fournissent un soutien structurel à la cellule.
  • Sclérenchyme. La paroi cellulaire de cette cellule est incrustée de lignine.
  • Cellules conductrices d’eau. Le tissu vasculaire des plantes connues sous le nom de Xylem, aide à transmettre l’eau des racines à d’autres parties des plantes.
  • L’autre tissu végétal connu sous le nom de phloème, aide au transport de la nourriture et des nutriments. Cette nourriture est préparée dans les feuilles vertes par le processus de photosynthèse.

Qu’est-ce qu’une cellule animale ?

Les trois-quarts de toutes les espèces sont pris par le règne animal sur la planète. Le corps humain est composé de 1014 cellules, dont la taille varie de 10-30 µm de diamètre. Les cellules animales n’ont pas de paroi cellulaire et de chloroplaste qui les distinguent principalement des cellules végétales.

Schéma de la structure coupe d'une cellule animale.
Schéma de la structure d’une cellule animale.

Cette paroi cellulaire a disparu avec l’évolution et les cellules animales se sont développées avec les cellules, tissus et organes les plus avancés qui sont plus spécifiés dans leur fonction. Les nerfs et les muscles sont de tels types qui aident à la locomotion, à la mobilité et à l’exécution d’autres fonctions.

Fonctionnement de la cellule animale

La membrane plasmatique contrôle le mouvement des molécules à l’intérieur et à l’extérieur de la cellule. C’est la couche la plus externe de la cellule et elle protège également les organites internes.

La mitochondrie aussi appelée la centrale de la cellule car l’ATP (adénosine triphosphate) est produite par oxydation du glucose et des acides gras.

Les lysosomes dégrade la matière engloutie par la cellule et use les membranes cellulaires et les organites. Ils sont considérés comme le tube digestif de la cellule.

L’enveloppe nucléaire est la membrane à double couche qui protège le contenu du noyau.

Le noyau contient le matériel héréditaire et est rempli de chromatine composée d’ADN et de protéines.

Le réticulum endoplasmique est de deux types, le réticulum endoplasmique lisse et réticulum endoplasmique brut. Dans le réticulum endoplasmique lisse, les lipides sont synthétisés et les composés hydrophobes sont détoxifiés. Dans la synthèse des protéines brutes du réticulum endoplasmique, la transformation a lieu.

L’appareil de Golgi traite et trie les protéines lysosomales, les protéines sécrétées et les protéines membranaires synthétisées sur le réticulum endoplasmique brut.

La vésicule sécrétoire emmagasinent les protéines sécrétées et fusionnent avec la membrane plasmique pour libérer leur contenu.

Le peroxysome est un corps cellulaire à membrane unique. Ovale ou sphérique, il contient l’enzyme catalase. Les peroxysomes détoxifient les molécules et décomposent les acides gras pour produire des groupes acétyle pour la biosynthèse.

Les cytosquelette forme le réseau et les faisceaux qui soutiennent la membrane cellulaire et aide à organiser les organites et à soutenir le mouvement cellulaire. La matrice cellulaire est collectivement appelée cytosol. Le cytosol est un compartiment contenant plusieurs métabolites, enzymes et sels dans un gel aqueux comme le milieu.

Les microvillosités augmentent la surface d’absorption des nutriments du milieu environnant.

Différents types de cellules animales

  • Les cellules cutanées se trouvent dans la couche dermique et épidermique, la peau travaille dans la protection des parties internes, empêchent la perte excessive d’eau par la déshydratation, la perception et dans la transmission de la sensation.
  • Les cellules osseuses sont responsables de la formation des os et du squelette des animaux. Il existe de nombreux types de cellules osseuses, et leur fonction première est de fournir le soutien structurel et d’aider au mouvement du corps.
  • Les cellules musculaires ou fonctions myocytaires servent à mouvoir le corps. Elles aident également à la protection des organes délicats du corps.
  • Les cellules sanguines agissent comme transporteurs dans le corps qui transportent les hormones et les nutriments. Principalement le sang transporte l’oxygène vers les différents tissus du corps et aide aussi à récupérer le dioxyde de carbone qu’ils contiennent. Les cellules sanguines sont aussi appelées cellules hématopoïétiques.
  • Les cellules nerveuses sont des cellules spécialisées, désignées pour envoyer des impulsions ou des informations. Ce sont des signaux ou des messages qui aident le corps à se connecter et à s’exécuter de manière synchronisée et selon l’environnement extérieur. Ces signaux électrochimiques sont envoyés par le système nerveux central et les récepteurs sensoriels.

Principales différences entre la cellule végétale et la cellule animale

L’unité fondamentale et fonctionnelle de la vie est la cellule, qui peut être procaryote ou eucaryote, unicellulaire ou multicellulaire.

Schéma comparatif détaillé d'une cellule végétale (gauche) et d'une cellule animale (droite).
Schéma comparatif d’une coupe d’une cellule végétale (à gauche) et d’une cellule animale (à droite).
  1. Les cellules végétales possèdent certaines organites comme la paroi cellulaire, le chloroplaste et les vacuoles qui sont absents dans les cellules animales.
  2. Les cellules végétales sont généralement plus grandes, de forme fixe et rectangulaire, tandis que les cellules animales sont relativement plus petites en taille, irrégulières et rondes.
  3. Un noyau est présent dans les deux cellules, mais dans la cellule végétale il se trouve d’un côté tandis qu’il est présent au centre de la cellule animale.
  4. Les centrosomes/centrioles, cils, desmosomes, lysosomes sont les organites absents dans les cellules végétales, alors qu’ils existent dans les cellules animales.
  5. Les plastides, glyoxysomes, le plasmodesme et le chloroplaste (pour la préparation des aliments) sont les caractéristiques présentes dans les cellules végétales mais non présentes dans les cellules animales.
  6. Il y a une vacuole énorme présente dans les cellules végétales, mais de nombreuses et petites vacuoles sont présentes dans les cellules animales.
  7. Les mitochondries, si elles sont présentes dans la cellule végétale sont moins nombreuses,
    Dans les cellules animales, elles jouent un rôle significatif et aident à la production d’énergie.
  8. Le stockage de l’énergie se fait grâce au chloroplaste dans les cellules végétales, qui est absent dans les cellules animales.
  9. La matière alimentaire de réserve est l’amidon dans les cellules végétales et le glycogène dans les cellules animales.
  10. La synthèse des nutriments comme les acides aminés, les vitamines et les coenzymes est effectuée par les cellules végétales, mais les cellules animales sont incapables de le faire.
  11. La cytokinèse se produit par plaque cellulaire seulement dans les cellules végétales, alors que dans les cellules animales, elle se produit par sillons ou constrictions.

Les points communs entre cellule animale et cellule végétale

Les cellules végétales et les cellules animales, bien que différentes à bien des égards, présentent quelques similitudes.

  • Les cellules végétales et animales sont des cellules eucaryotes.
  • Les deux possèdent une membrane cellulaire.
  • Un noyau bien défini est présent.
  • Les deux cellules contiennent un appareil de Golgi.
  • Une des parties les plus importantes de la cellule est le cytoplasme, qui est aussi présent dans les deux.
  • Les ribosomes se trouvent aussi bien dans les cellules végétales que dans les cellules animales.

Conclusion

Dans cet article, nous avons exposé les structures et le fonctionnement des cellules végétales et animales,  leurs types, ainsi que des points essentiels qui les distinguent.
Toutes les cellules eucaryotes, qu’il s’agisse d’une cellule végétale ou animale, contiennent un noyau et peu d’organites en commun ainsi que des similitudes dans leur fonction.
La raison de cette différence peut être le mode de nutrition puisque les plantes sont dites autotrophes, alors que les animaux sont les hétérotrophes.
Une autre raison est liée à l’évolution des cellules se sont développées selon les besoins.

Quelle est la différence entre une cellule animale et une cellule végétale ? Ces deux types de cellules eucaryotes partagent des structures communes, mais présentent aussi des caractéristiques spécifiques qui les distinguent, notamment au niveau de la paroi, des organites ou encore du rôle dans l’organisme. Découvrez leurs définitions, fonctions, et les éléments qui les différencient en biologie cellulaire !

Questions fréquentes sur la cellule animale et la cellule végétale (FAQ)

Quelle est la différence principale entre une cellule animale et une cellule végétale ?

La cellule végétale possède une paroi cellulaire rigide et des chloroplastes, absents chez la cellule animale.

Qu’est-ce qu’une paroi cellulaire ?

La paroi cellulaire est une couche rigide qui entoure la membrane plasmique des cellules végétales, leur donnant une forme fixe et une protection supplémentaire.

Les cellules animales ont-elles des vacuoles ?

Oui, mais elles sont petites et nombreuses, contrairement à la cellule végétale qui possède une grande vacuole centrale.

Quelle est la fonction des chloroplastes dans la cellule végétale ?

Les chloroplastes permettent la photosynthèse, un processus qui transforme l’énergie solaire en énergie chimique (glucose).

Pourquoi les cellules végétales sont-elles généralement plus rigides ?

La présence de la paroi cellulaire et de la vacuole centrale exerce une pression qui confère rigidité et tenue à la cellule végétale.

Les cellules animales peuvent-elles faire la photosynthèse ?

Non, seules les cellules végétales (et certaines algues) peuvent faire la photosynthèse grâce aux chloroplastes.

Quelle est la forme typique d’une cellule animale ?

Les cellules animales ont une forme plus arrondie, souple et irrégulière, contrairement aux cellules végétales souvent rectangulaires ou hexagonales.

Les cellules animales ont-elles une membrane plasmique ?

Oui, toutes les cellules animales possèdent une membrane plasmique qui régule les échanges avec le milieu extérieur.

Quelles structures sont communes aux deux types de cellules ?

Le noyau, le cytoplasme, la membrane plasmique, les mitochondries, le réticulum endoplasmique, l’appareil de Golgi et les ribosomes sont présents dans les deux.

La cellule végétale contient-elle des lysosomes ?

En général, les lysosomes sont spécifiques aux cellules animales, bien que certaines structures végétales remplissent des fonctions analogues.

Comment les cellules animales obtiennent-elles leur énergie ?

Elles décomposent les nutriments (comme le glucose) dans les mitochondries pour produire de l’énergie sous forme d’ATP, un processus appelé respiration cellulaire.

Pourquoi les cellules végétales ont-elles une vacuole centrale ?

La vacuole centrale stocke l’eau, les nutriments et les déchets, et aide à maintenir la pression de turgescence, essentielle pour la structure de la plante.

Conclusion

Dans cet article, nous avons exploré en profondeur les particularités et les similitudes qui distinguent la cellule végétale de la cellule animale. Bien que toutes deux soient des cellules eucaryotes partageant des organites fondamentaux comme le noyau, le cytoplasme ou les mitochondries, leurs différences structurelles – notamment la présence de la paroi cellulaire, des chloroplastes et d’une grande vacuole centrale chez les végétaux – reflètent leurs modes de vie et de nutrition distincts. Les plantes, autotrophes, s’appuient sur la photosynthèse, tandis que les animaux, hétérotrophes, ont développé d’autres spécialisations. Ces adaptations, fruits de millions d’années d’évolution, mettent en lumière la remarquable diversité et l’efficacité des solutions biologiques pour maintenir la vie sur Terre. Comprendre ces différences est essentiel pour saisir la complexité et la beauté du monde du vivant.

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Les perroquets et les aras appartiennent à l’un des plus grands ordres d’oiseaux, les psittaciformes, qui comprend tous les cacatoès, aras, perruches et perroquets. Cette famille d’oiseaux est très diversifiée avec plus de 350 espèces différentes. Tous les membres de cette famille ont une langue souple et musclée dans un bec épais et crochu et des griffes de zygodactyle (deux des orteils vers l’arrière, deux vers l’avant). Cette combinaison de caractéristiques les distingue clairement des autres types d’oiseaux. Il y a trois sous-groupes, dont l’un est le Psittacidae, ou les « vrais » perroquets. Les perroquets et les aras appartiennent à ce groupe, bien qu’ils diffèrent considérablement.

Qu’est-ce qu’un perroquet ?

Un perroquet facilement distinguable de l’ara par sa toute petite zone de peau sans plumes autour de ses narines.

Un perroquet est un terme général pour tous les oiseaux appartenant au sous-groupe Psittacidae. Ces oiseaux comprennent diverses formes allant de 9 cm à 1 mètre, des petites perruches aux grands aras.

Tous les perroquets ont des becs uniques, une zone de peau douce autour des narines, des griffes préhensiles sur les pattes.
Ils vivent souvent en groupes grégaires. Il y a rarement des différences visuelles entre les perroquets mâles et femelles.

Les perroquets ont un régime alimentaire varié composé principalement de graines, mais aussi de noix, de fruits, de nectar et d’insectes. Le son qu’ils peuvent produire varie grandement, allant de courts cris à des chansons mélodieuses dans certains cas et de nombreuses vocalisations distinctives. Ces sons sont utilisés pour la communication dans les groupes avec le mouvement des plumes de la queue.
L’écologie comportementale est complexe et ces oiseaux sont très sociables, montrent une monogamie à vie et sont intelligents et avec une grande capacité d’apprentissage. On les trouve dans des habitats extrêmement divers, du désert à la jungle urbaine.

Les perroquets produisent jusqu’à 6-9 oeufs par couvain et l’incubation dure environ 19-30 jours. Les oisillons sont complètement dépendants de leurs parents et restent au nid pendant une période prolongée, tandis que les parents les nourrissent par régurgitation (ils vomissent la nourriture déjà mâchée et un peu digérée pour que leurs petits oisillons l’assimile facilement).

Qu’est-ce qu’un ara ?

Un ara identifiable par notamment sa taille et sa large zone de peau (blanche) sans plumes tout autour de son bec.

Grands, colorés et très intelligents, ce sont les plus grands types de perroquets. Ceux-ci sont plus étroitement liés à de plus petits perruches que d’autres perroquets. Les aras sont des perroquets du Nouveau Monde et sont installés dans la majeure partie de l’Amérique du Sud jusqu’au Mexique central.

Les aras ont une partie distincte de peau nue, parfois interrompue par de fines rangées de plumes, sur le visage et allant jusqu’à la base du bec. Cette caractéristique les distingue des autres types de perroquets, qui n’ont qu’une zone de peau nue relativement petite autour des narines.
Les lignes complexes de fines plumes qui traversent cette tache de peau nue se sont révélées uniques à chaque aras, tout comme l’empreinte digitale humaine. Une autre caractéristique qui distingue les aras des autres perroquets sont les plumes nettement longues de la queue. Il existe six genres d’aras, avec environ 18 espèces.

Ces oiseaux vivent dans des groupes familiaux et se nourrissent de noix et de graines, les craquant à l’aide de becs solides. La présence de ces groupes dans une forêt pluviale reflète la santé des arbres et, finalement, de la forêt.

La majorité des aras sauvages est en voie de disparition, avec 5 espèces qui ont déjà été déclarées éteintes. Parmi les menaces qui pèsent sur les aras figurent la perte d’habitat due à la déforestation et le commerce illégal d’animaux de compagnie, où de nombreux oiseaux meurent avant même d’arriver à l’animalerie.

Différences entre un perroquet et un ara

Classification du perroquet et de l’ara

Les perroquets sont un grand groupe d’oiseaux ayant des traits similaires (l’ordre des Psittaciformes), qui comprend des types d’oiseaux comme les perruches, les cacatoès et les aras. Les vrais perroquets appartiennent à la famille des Psittacidae. De cette famille, six genres sont classés comme aras. Les aras sont donc une sorte de perroquet, dans la sous-famille Arinae.

Répartition géographique

Les perroquets, en général, ont une large aire de répartition géographique et peuvent être trouvés principalement dans l’hémisphère sud dans une variété d’habitats, et ne sont pas limités aux régions tropicales. Certains sont migrateurs et forment des colonies de reproduction dans certaines régions.
Les aras, par contre, se trouvent dans les forêts tropicales humides ou les zones boisées du centre du Mexique jusqu’en Amérique du Sud où ils vivent et se reproduisent.

Mode de vie

Les perroquets se nourrissent de graines, de noix, de fruits, de nectar et d’insectes.
Les aras vont parfois loin pour chercher leur nourriture. Ils se nourrissent de sources alimentaires similaires aux perroquets ainsi que de certaines tiges, feuilles, fleurs et fruits de palmiers.
Les aras de l’Amazonie mangent de l’argile pour neutraliser certaines substances provenant de leur alimentation.

Les perroquets sont monogames et nichent souvent dans des terriers.
Les aras sont aussi monogames et nichent dans les creux des arbres ou parfois dans les trous des rives.

Les grands perroquets comme les aras mettent quelques années à arriver à maturité et à se reproduire lentement, avec seulement un ou deux petits par an et pas nécessairement chaque année. Les petits perroquets pondent plus d’œufs, jusqu’à 6-9, et avec deux ou trois couvées par an.

 

 

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Jungle et forêt sont des termes souvent mal utilisés, voire considérés comme synonymes. Pourtant, leur signification et leurs caractéristiques sont bien distinctes. La jungle est en réalité un type de forêt, mais une forêt n’est pas une jungle. À travers cet article, tu vas comprendre pourquoi !

Longtemps, les jungles ont été principalement associées aux activités coloniales ou exploratoires européennes dans des régions considérées comme « indisciplinées ». En réalité, le terme renvoie à une zone de végétation très dense, souvent impénétrable, tandis que la forêt est un concept beaucoup plus large. Plongeons dans leurs caractéristiques pour mieux saisir leurs différences.

En bref : Jungle vs. Forêt

  • La jungle est un type de forêt, mais la forêt n’est pas une jungle.
  • Une jungle se caractérise par une végétation dense et impénétrable, alors qu’une forêt est plus ouverte.
  • Le mot « jungle » vient du sanskrit et le mot « forêt » du bas latin.
  • La jungle est plus humide et dense, laissant moins passer la lumière du soleil.
  • Les jungles abritent une plus grande variété d’espèces végétales et animales, et sont souvent situées en lisière des forêts tropicales.

Qu’est-ce qu’une Jungle ?

Avant les années 1970, les jungles sont essentiellement considérées comme des forêts tropicales humides. Cette terminologie est principalement attribuée aux activités coloniales et exploratoires européennes dans des pays considérés comme « indisciplinés » ou « moins civilisés ». Il est communément admis qu’une jungle est une zone recouverte d’une végétation épaisse qui se compose principalement d’arbres.

Une jungle impénétrable sur les bords d'une rivière au Cameroun.
Une jungle impénétrable sur les bords d’une rivière au Cameroun.

Voici les différentes caractéristiques de la jungle pour mieux la comprendre.

Végétation impénétrable

La jungle est souvent représentée comme une terre avec des arbustes, des arbres et des vignes enchevêtrés. C’est un feuillage que les humains ont beaucoup de mal à traverser et qu’ils doivent frayer un passage pour s’y mouvoir.

Forêt tropicale

Avant les années 1970, le terme jungle est largement utilisé pour désigner les forêts tropicales ou humides. La plupart des auteurs attribuent cela à la façon dont les premiers explorateurs européens ont voyagé à travers des rivières largement bordées d’une végétation dense. C’est pourquoi de nombreux auteurs décrivent les régions asiatiques ou africaines comme des « jungles », tandis que les végétations naturelles d’Amérique et d’Europe sont qualifiées de « forêts ».

Sauvagerie

Dans la culture populaire, le mot jungle est aussi métaphoriquement utilisé pour désigner la sauvagerie ou l’anarchie. On l’associe souvent à l’expression « survie du plus fort », car elle fait référence à un lieu largement dominé par une concurrence intense et féroce. Par exemple, les centres-villes sont souvent surnommés jungles urbaines en raison de la lutte qu’il faut mener pour survivre dans une culture très individualiste.

Qu’est-ce qu’une forêt ?

La forêt est généralement considérée comme boisée, car elle est généralement représentée comme une étendue couverte d’arbres et de sous-bois. Elle représente jusqu’à 80% de la biomasse de la planète, car elle englobe toutes les zones terrestres dominées par la végétation comme les savanes, les jungles et les terrains de chasse.

Voici les divisions des couches verticales d’une forêt à partir du niveau du sol.

Sol de la forêt

Le sol forestier est la couche la plus basse où l’on trouve principalement de la matière en décomposition et des excréments d’animaux. Grâce à son sol riche, d’autres organismes comme les champignons, les semis et les fougères sont nourris.

Litière

Étant la deuxième couche la plus basse, la litière est composée de jeunes arbres, d’arbustes, d’arbustes, de buissons et d’autres plantes vertes qui prospèrent sous la protection de la canopée.

Forêt de Soignes Belgique Bruxelles image sapins hêtres arbres
La Forêt de Soignes, située au Sud-Est de Bruxelles sur une zone de plus ou moins 5000 hectares, est une forêt composée majoritairement de hêtres.

Canopée

La canopée sert de parapluie aux parties inférieures de la forêt, car elle est composée des parties supérieures de grands arbres, de branches enchevêtrées, de vignes vigoureuses et de feuilles robustes. Elle reçoit beaucoup de lumière du soleil et est la partie la plus productive des arbres.

Couche émergente

Comme son nom l’indique, il s’agit de la couche supérieure la plus élevée composée de plusieurs arbres émergeant de la canopée. On la trouve généralement dans les forêts pluviales où les arbres éparpillés dominent la majeure partie du feuillage.

Différence entre la jungle et la forêt

Étymologie

La forêt vient du bas latin forestis, de forum (dans ce sens, tribunal), sous-entendant silva (qui signifie le bois). Le sens premier de forestis était de désigner la forêt qui se trouve à l’extérieur de la cour de justice ou du roi, et par extension un territoire qui est soustrait à l’usage général et réservé au roi. Le terme a ensuite évolué vers la signification d’une zone boisée gardée pour la chasse.

Quant à la jungle, son origine vient du mot sanskrit jangala qui se traduit par espace naturel sauvage.

Densité

Comparée à une forêt, une jungle a une végétation plus dense, car elle est en grande partie impénétrable.

Taille

Les forêts occupent de très vastes étendues de terres. D’autre part, les jungles n’occupent que 20% de l’étendue de la forêt.

Lumière du soleil

Comme les jungles sont plus denses, moins de lumière du soleil peut passer à travers les canopées par rapport aux forêts.

Variété de végétation

Il y a plus d’espèces dans une jungle qu’en forêt. Par exemple, les jungles contiennent des arbres courts et hauts, différentes vignes et lianes, une variété d’herbes, et diverses fleurs. Quant aux forêts, elles contiennent surtout des arbres aux essences plus uniformes.

Types

Il y a différents types de forêts comme les forêts tempérées, les forêts tropicales humides, les forêts méditerranéennes et les forêts de conifères, alors qu’une jungle est un type de forêt pluviale.

Lieu

Les forêts sont généralement situées dans des zones qui peuvent soutenir la croissance des arbres, tandis que les jungles sont souvent situées à la lisière des forêts.

Animaux

Les forêts abritent essentiellement des animaux comme les cerfs, les ours, les écureuils, les lapins et les opossums. D’autre part, la jungle est surtout associée à des animaux comme les singes, les serpents et les crocodiles. Il est très probable qu’il y ait plus d’espèces non découvertes dans la jungle, car elle présente plus de dangers et de défis pour les explorateurs.

Humidité

Par rapport aux forêts, les jungles sont plus humides, car on les trouve le long des rivières et on les décrit comme étant humides et denses.

Conclusion

En conclusion, la principale différence réside dans leur définition et leur caractère. La forêt est un concept général et vaste, englobant de nombreux écosystèmes. La jungle, en revanche, est une description plus spécifique et plus poétique d’une zone de forêt tropicale particulièrement dense, humide et impénétrable. Là où la forêt est un écosystème bien structuré, la jungle est une lisière foisonnante et sauvage, une zone de transition qui a donné naissance à une expression populaire pour décrire la sauvagerie.

FAQ : tout savoir sur les différences entre jungle et forêt

Quelle est la différence la plus simple entre une jungle et une forêt ?

La différence la plus simple est que la jungle est un type de forêt, mais pas l’inverse. La jungle est une forêt spécifique, très dense et humide, située en général en lisière des forêts tropicales.

Le mot « jungle » est-il péjoratif ?

Le terme a été utilisé par les explorateurs européens pour désigner des zones qu’ils percevaient comme « sauvages » ou « indisciplinées ». Il a ensuite pris une connotation métaphorique pour décrire des lieux d’anarchie ou de compétition intense, comme dans l’expression « jungle urbaine ».

Quelle est l’étymologie du mot « jungle » ?

Le mot « jungle » provient du mot sanskrit « jangala », qui signifie « espace naturel sauvage ».

Quelle est l’étymologie du mot « forêt » ?

Le mot « forêt » vient du bas latin « forestis », désignant un territoire à l’extérieur de la cour royale et réservé au roi, souvent pour la chasse.

Une jungle est-elle toujours tropicale ?

Oui, le terme jungle est principalement utilisé pour désigner des forêts tropicales humides, souvent situées le long de rivières, dans des régions avec une forte humidité et une dense végétation.

Une forêt est-elle toujours tropicale ?

Non, il existe de nombreux types de forêts : tempérées, boréales (taïga), méditerranéennes, etc. Elles ne sont pas toutes situées dans les zones tropicales.

Quelle est la plus grande surface occupée par les forêts ou par les jungles ?

Les forêts occupent une surface beaucoup plus vaste, représentant 80 % de la biomasse terrestre. Les jungles, étant un type de forêt, ne couvrent qu’environ 20 % de la surface forestière totale.

Est-ce qu’une jungle est plus dense qu’une forêt ?

Oui, la jungle est caractérisée par une végétation beaucoup plus dense et enchevêtrée, ce qui la rend difficile à traverser. C’est l’un de ses traits distinctifs.

Où trouve-t-on le plus de variétés d’espèces ?

La jungle, avec sa densité et ses conditions particulières, abrite généralement une plus grande variété d’espèces végétales (arbres courts et hauts, lianes, fleurs) et animales que les autres types de forêts.

Pourquoi la lumière du soleil pénètre-t-elle moins dans une jungle ?

En raison de sa densité et de son feuillage très épais, la canopée de la jungle est beaucoup plus fermée que celle d’une forêt classique, ce qui bloque la majeure partie de la lumière du soleil.

Quels animaux vit-on dans une forêt et dans une jungle ?

Dans les forêts tempérées, on trouve des animaux comme les cerfs, les ours et les écureuils. Dans les jungles tropicales, on rencontre plutôt des singes, des serpents et des crocodiles. La jungle, étant plus difficile à explorer, pourrait abriter davantage d’espèces non encore découvertes.

Peut-on utiliser les deux termes comme synonymes ?

Il est préférable de ne pas les utiliser comme synonymes. La jungle est une catégorie spécifique de forêt qui se distingue par sa densité, son humidité et son emplacement, alors que la forêt est un terme général.

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Intéressons-nous à une analyse très spécifique en géographie, celle d’un calendrier agricole. Cela consiste en comprendre la répartition des tâches des paysans tout au long de l’année, l’analyse des cultures et du type d’agriculture -dite sur brûlis- pratiquée.

Situation géographique de Ziombli et climat

Situation géographique de Ziombli en Côte d'Ivoire. Vue par satellite.
Situation géographique de Ziombli en Côte d’Ivoire. Vue par satellite.

Ziombli est un village de Côte d’Ivoire son climat équatorial chaud et humide. La moyenne annuelle des précipitations est de 1100mm, il pleut tous les mois de l’année. Toutefois, il faut noter l’alternance de saisons dites « sèches » et de deux saisons de pluies.

La température moyenne varie peu pendant l’année, elle se situe aux environs de 27° C.

 

Le milieu de la forêt dense est insalubre. De multiples parasites y prolifèrent, transmettant des maladies  graves qui épuisent les hommes.

Ziombli est issu du regroupement de trois localités plus petites. Les espaces cultivés par les trois anciens villages ne forment plus qu’un seul terroir (territoire villageois à l’intérieur de frontières fixées par la loi et territoire cultivé variable d’une année à l’autre).

Carte forêt primaire secondaire dense Ziombli culture vivrières commerciales agriculture brûlis
Carte de l’agglomération de Ziombli issu du regroupement de trois villages. Les limites du territoires sont fixées sur la carte et nous pouvons également distinguer le type de culture (vivrière, c’est-à-dire pour vivre, le riz, manioc, maïs; commerciale, pour la vente, le café et le cacao.

Le calendrier agricole

Calendrier agricole des cultures vivrières et commerciales du village de Ziombli en Côte d'Ivoire. Il permet d'analyser les tâches occupées par les paysans durant l'année
Calendrier agricole des cultures vivrières et commerciales du village de Ziombli en Côte d’Ivoire. Il permet d’analyser les tâches occupées par les paysans durant l’année.

Étude du calendrier agricole

L’année est divisée en deux périodes, l’une d’intense activité agricole de février à juillet, l’autre plus calme d’août à janvier.

Le paysan passe beaucoup de temps à créer son champ : en général de janvier à mai.

Les semis s’effectuent en juin.

Le temps réservé à la construction des clôtures est considérable. Ce travail est lié à la rupture d’un équilibre biologique. Autrefois les panthères se nourrissaient des petits rongeurs (les agoutis), l’élimination des panthères (déforestation et chasse au fusil) a entraîné une prolifération de ces rongeurs, très friands des pousses de riz. Les clôtures servent à s’en protéger.

Depuis l’apparition de la culture du café vers 1930, le paysan lui consacre beaucoup de temps malgré un médiocre entretien de sa plantation.

Le nettoyage avant la récolte, sans lequel il n’est pas possible de procéder à la cueillette, puis la récolte elle-même, occupent le paysan trois mois (juin, juillet, août) puis deux autres (novembre, décembre).

Impact de cultiver plusieurs cultures

Le fait de se livrer à deux cultures qui occupent le paysan à la même époque revient nécessairement à négliger l’une ou l’autre. Ici, le paysan néglige les cultures commerciales. C’est pour cela que le nettoyage de la plantation se poursuit jusqu’en octobre alors que les fruits du café sont déjà formés et risquent de tomber.

Les villageois consacrent 23% de leur temps aux cultures vivrières et 12% aux cultures commerciales.

Malgré le grand nombre d’heures passées à travailler, la production de riz est insuffisante. Il existe chaque année une période de deux ou trois mois de disette (manque de nourriture) que l’on appelle la soudure : c’est le moment où la quantité de riz récoltée l’année précédente, est épuisée, alors que le riz de l’année n’est pas encore prêt pour la récolte.

Les travaux agricoles sont à la fois effectués par les hommes (tâches les plus pénibles) et par les femmes.

Organisation et structure sociale de Ziombli

Population

Le taux de natalité est très important, la pyramide des âges présente une base très aplatie, indice de l’extrême jeunesse de la population.
La pyramide accuse un léger déficit du côté masculin entre 25 et 30 ans qui s’explique par le mouvement migratoire, attirant ses adultes vers la côte. Cette migration est le fait d’hommes déjà mûrs, mariés et affranchis de la tutelle des anciens. Dans un premier temps, le migrant laisse sa ou ses femmes à Ziombli en espérant que sa situation matérielle s’améliore.

Cette migration n’est que temporaire, il revient définitivement à Ziombli vers 40 ans.

Techniques d’agriculture

Les méthodes rudimentaires et l’absence d’engrais imposent une très longue jachère (terre laissée au repos). Les champs défrichés dans la forêt sont abandonnés après quelques années de culture. Cette agriculture itinérante sur brûlis a des rendements très faibles.

Qu’est-ce que la culture sur Brûlis ?

C’est une technique de mise en culture temporaire: on défriche sommairement, on brûle les débris et on prépare grossièrement le sol ainsi libéré et enrichi. La technique consiste à faire brûler la forêt. Les troncs d’arbres les plus gros restent sur place, les cendres des plus petites fertilisent un peu le sol.

Le nettoyage de l’emplacement choisi débute au milieu de la saison sèche en janvier. A la fin de la saison sèche, en mars, les arbres sont abattus. Le brûlis proprement dit commence en juin.

Après quelques saisons de récolte, le terrain est abandonné à la nature pour un temps de repos. Cette pratique est beaucoup utilisée dans les Alpes au Moyen-Âge.

Types de plantes cultivées

Les hommes cultivent les plantes vivrières (du verbe vivre) destinées à l’alimentation quotidienne des familles comme du manioc, de l’igname, du maïs ou du riz.
Ces denrées se contentent de sols médiocres et peu fertiles.

L’igname et le manioc sont des tubercules très nutritifs, c’est-à-dire des racines où sont stockées les réserves nutritives de la plante.

Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à consulter l’étude d’Alfred Schwartz sur l’aspect socio-économique de Ziombli, en accès libre sur Persée.

Le terroir

Il y a 150 hectares de cultures vivrières (surtout du riz) sur 85 parcelles. La culture du riz est parfois associée à celle du manioc ou du maïs. Le manioc est un élément peu apprécié des villageois qui n’est consommé que lorsqu’il n’y a plus de riz, c’est-à-dire au moment de la soudure.

Les cultures commerciales occupent 80 hectares répartis en 120 parcelles de caféier et 12 de cacaoyer. Ces petites plantations familiales n’ont pas de techniques modernes. Les rendements sont faibles. Les revenus de ces exploitations sont commercialisés, ce qui créé des revenus monétaires.

Le droit sur la terre

La terre appartient à la communauté villageoise toute entière. Le paysan peut librement décider de défricher une parcelle de forêt et de la mettre en culture. Il garde le droit d’usage sur cette parcelle pendant 8 ans. Après, la terre retourne au village et n’importe qui a la possibilité de la remettre en valeur.

Les terres des cultures commerciales appartiennent à des particuliers et se soumettent aux lois sur le droit de la propriété. Un tel droit implique pour le propriétaire la jouissance permanente de sa plantation mais aussi la transmission par héritage de celle-ci.

Ceci ne manquera sans doute pas dans les années à venir d’être une source de conflits en raison de la raréfaction des terres.

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Cette énigme est logique, comme la plupart des énigmes mais elle ne repose pas sur une logique linguistique ou une double négation. C’est bel et bien de déduction et d’esprit mathématique que vous devrez faire preuve pour déjouer les plans du logicien machiavélique !

Sommaire de l'article :

Énoncé

Vue de la cellule de Alice: 12 arbres; vue de la cellule de Bob: 8 arbres. Dans cette énigme, les prisonniers ne peuvent pas communiquer entre eux mais doivent deviner combien d'arbres au total il y a pour être libérés. Une seule erreur et ils sont mangés !.
Vue de la cellule de Alice: 12 arbres; vue de la cellule de Bob: 8 arbres. Dans cette énigme, les prisonniers ne peuvent pas communiquer entre eux mais doivent deviner combien d’arbres au total il y a pour être libérés. Une seule erreur et ils sont mangés !.

Un roi maléfique emprisonne deux personnes, Alice et Bob. Elles sont placées dans le château du roi dans des tours séparées. Chaque tour a une fenêtre, et à travers les fenêtres de Alice et de Bob des parties séparées du jardin du château sont visibles. Dans le jardin il y a en tout 20 arbres.
Les prisonniers ne peuvent en aucun cas communiquer entre eux.

Alice voit 12 arbres à travers sa fenêtre.
Bob voit voir 8 arbres à travers sa fenêtre.

Le roi leur indique que le jardin compte 18 ou 20 arbres, qu’à deux ils voient tous les arbres mais qu’évidemment Alice et Bob voient des arbres différents.

Tous les jours, à partir du jour où ils sont emprisonnés, un gardien leur pose une question. Le gardien demande d’abord à Alice, et si aucune réponse n’est donnée, il pose ensuite la question à Bob. La question est : « Y a-t-il 18 ou 20 arbres dans le jardin ? »

Si le prisonnier interrogé répond correctement, les deux prisonniers sont libérés immédiatement.
Si le prisonnier interrogé répond par erreur, les deux prisonniers sont donnés à manger aux ours.
Le prisonnier peut choisir de ne pas répondre, auquel cas le gardien continuera de poser la question au prisonnier suivant comme mentionné ci-dessus. (Le prisonnier opte donc pour cette option s’il n’est pas sûr, puisque nous supposons que les deux prisonniers sont des entités complètement logiques).

Les prisonniers seront-ils un jour libérés ? Après combien de jours ?

Solution

Petit indice: ce qui fait avancer la résolution de l’énigme, c’est qu’à chaque fois qu’un prisonnier passe, cela signale des informations à l’autre prisonnier, ce qui transforme certaines informations en connaissances communes.

Jour 1

Si Alice voyait 19 ou 20 arbres, elle pourrait conclure qu’il y a 20 arbres. Mais elle n’en voit que 12, alors elle passe. Cela indique à  Bob que Alice voit au plus 18 arbres.

Si Bob voyait 0 ou 1 arbre, combiné avec le fait que Alice voit tout au plus 18 arbres, il pourrait conclure qu’il devrait y avoir 18 arbres. Mais Bob voit 8 arbres. Donc il doit passer. Cela indique à Alice que Bob voit au moins deux arbres.

Jour 2

Si Alice voyait 17 ou 18 arbres, elle pourrait conclure qu’il y a 20 arbres parce que Bob doit voir au moins 2 arbres. Mais Alice n’en voit que 12, alors elle passe. Cela indique à Bob que Alice voit au plus 16 arbres.

Maintenant, si Bob voyait 2 ou 3 arbres, combiné avec le fait que Alice voit au plus 16 arbres, il pourrait conclure qu’il devrait y avoir 18 arbres. Mais Bob voit 8 arbres. Donc il doit passer. Cela indique à Alice que Bob voit au moins 4 arbres.

Jour 3

Si Alice voyait 15 ou 16 arbres, elle pourrait conclure qu’il y a 20 arbres parce que Bob doit voir au moins 4 arbres. Mais Alice n’en voit que 12, alors elle passe. Cela indique Bob que Alice voit au plus 14 arbres.

Maintenant, si Bob voyait 4 ou 5 arbres, combiné avec le fait que Alice voit tout au plus 14 arbres, elle pourrait conclure qu’il devrait y avoir 18 arbres. Mais Bob voit 8 arbres. Donc il doit encore passer. Cela indique à Alice que Bob voit au moins 6 arbres.

Jour 4

Si Alice voyait 13 ou 14 arbres, elle pourrait conclure qu’il y a 20 arbres parce que Bob doit voir au moins 6 arbres. Mais elle n’en voit que 12, alors elle passe. Cela indique à Bob que Alice voit au plus 12 arbres.

Maintenant, si Bob voyait 6 ou 7 arbres, combiné avec le fait que Alice voit au plus 12 arbres, il pourrait conclure qu’il devrait y avoir 18 arbres. Mais Bob voit 8 arbres. Donc il doit encore passer. Cela indique à Alice que Bob voit au moins 8 arbres.

Jour 5

Puisque le Bob voit au moins 8 arbres et que le Alice en voit 12, elle sait qu’il y a 20 arbres. Elle donne alors la réponse: 20 arbres et ils sont libérés !

Ils peuvent donc s’échapper en seulement cinq jours !

Variantes

Cette énigme est aussi reprise avec un énoncé similaire où ce n’est pas un roi mais un logicien machiavélique qui détient toujours Alice et Bob dans une prison (ou un château), le nombre d’arbres est généralement le même mais.

 

 

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