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Au fil des années, le bus universel en série, plus connu sous son nom anglais USB (Universal Serial Bus), s’est imposé comme l’interface de connexion incontournable pour les appareils électroniques. Standard pour la communication et l’alimentation, il a subi de nombreuses transformations. La plus récente est la norme USB-C, qui marque un tournant majeur par sa polyvalence et ses performances, simplifiant l’expérience utilisateur et ouvrant la voie à une connectivité unifiée.

En bref : quelle est la différence entre USB et USB-C ?

  • L’USB est une norme technique (ex. : USB 2.0, USB 3.0), qui définit les vitesses de transfert et la puissance.
  • L’USB-C est un format de connecteur (le type de prise), qui est petit et réversible.
  • Un connecteur USB-C est compatible avec les dernières normes, comme l’USB 3.1 Gen 2, qui permettent des débits jusqu’à 10 Gbps.
  • L’USB-C est le connecteur le plus puissant, pouvant fournir jusqu’à 100 watts pour charger des appareils volumineux (comme les ordinateurs portables).
  • Il remplace progressivement les anciens connecteurs comme l’USB-A et le Micro-USB pour tendre vers un standard unique.

Qu’est-ce que la norme USB ?

L’USB est une spécification technologique qui régit la manière dont les périphériques communiquent et s’alimentent. Gérée par l’USB Implementers Forum (USB-IF), elle a connu plusieurs versions qui ont considérablement augmenté les performances au fil du temps :

  • USB 1.0 : Lancée en 1996, elle offrait des débits maximum de 12 Mbps (mégabits par seconde).
  • USB 2.0 : Introduite en 2000, cette version a marqué un saut de performance avec un débit maximal de 480 Mbps.
  • USB 3.0 (SuperSpeed) : Introduite en 2008, elle a porté la vitesse à 5 Gbps (gigabits par seconde).
  • USB 3.1 Gen 2 (SuperSpeed+) : Évolution de la 3.0, elle offre un débit allant jusqu’à 10 Gbps, soit une vitesse notablement plus rapide.

Ces normes définissent les capacités, mais ne sont pas directement liées à la forme de la prise.

Qu’est-ce que le connecteur USB-C ?

L’USB-C, ou USB Type-C, est un format de connecteur physique. Il ne s’agit pas d’une norme de performance, mais d’un nouveau type de prise, qui se distingue de ses prédécesseurs par plusieurs caractéristiques :

  • Réversibilité : Sa conception symétrique permet de le brancher dans n’importe quel sens, ce qui résout le problème de l’ancienne prise USB-A, qu’il fallait insérer dans le bon sens.
  • Taille compacte : Son petit format à 24 broches le rend idéal pour les appareils fins comme les smartphones, les tablettes et les ordinateurs portables.
  • Polyvalence : L’USB-C est conçu pour prendre en charge de multiples protocoles et normes. Un seul câble USB-C peut non seulement transférer des données, mais aussi de l’énergie et même un signal vidéo, remplaçant ainsi plusieurs ports différents (HDMI, DisplayPort, etc.).

La confusion entre la norme et le connecteur vient du fait que les fabricants utilisent souvent l’USB-C pour intégrer les normes USB les plus rapides, comme l’USB 3.1 Gen 2. Cependant, on peut trouver un câble USB-C qui utilise la norme USB 2.0, et donc avec un débit plus lent.

Quelle différence y a-t-il entre usb et usb-c ?
Les différents types de connecteurs usb en fonction de leur norme.

Le pouvoir de l’USB-C : la transmission de données et de puissance

L’un des plus grands atouts de l’USB-C est sa capacité à transmettre à la fois des données et de l’énergie. Un seul câble USB-C doté de la bonne norme peut transférer des données à très haute vitesse (jusqu’à 10 Gbps avec la norme USB 3.1) et fournir une puissance allant jusqu’à 100 watts. Cette puissance est suffisante pour charger des appareils gourmands en énergie comme les ordinateurs portables, éliminant ainsi le besoin de chargeurs spécifiques. Cette innovation a permis à de nombreux fabricants de supprimer les ports USB-A et même les prises d’alimentation sur les ordinateurs portables, pour ne laisser qu’un seul port USB-C qui peut tout faire.

Conclusion

L’USB est la norme, l’USB-C est le connecteur de l’avenir. Alors que les normes USB 1.0, 2.0 et 3.0 ont défini les vitesses de connexion, l’USB-C a redéfini la forme du câble et la polyvalence du port. Sa conception compacte et réversible, combinée à sa capacité de transmettre à la fois des données et de l’énergie avec un débit élevé, fait de l’USB-C le remplaçant naturel des anciens connecteurs comme l’USB-A et le Micro-USB. En adoptant ce standard, l’industrie technologique s’oriente vers une ère de connectivité unifiée et simplifiée, où un seul câble sera suffisant pour la plupart des appareils.

FAQ : tout savoir sur la distinction USB et USB-C

Qu’est-ce que la norme USB ?

La norme USB est une spécification technique (ex. : USB 2.0, USB 3.0) qui définit la vitesse de transfert des données et la puissance de l’énergie fournie par un port ou un câble USB.

Qu’est-ce qu’un connecteur USB-C ?

L’USB-C, ou USB Type-C, est le nom d’un format de prise physique. Il est petit, ovale et réversible, ce qui permet de le brancher dans n’importe quel sens.

Est-ce que tous les câbles USB-C sont rapides ?

Non. La vitesse d’un câble USB-C dépend de la norme USB qu’il prend en charge. Un câble USB-C peut être compatible avec la norme USB 2.0 (lente) ou la norme USB 3.1 (rapide). La vitesse maximale est toujours indiquée sur l’emballage ou la fiche produit.

Un câble USB-C peut-il charger un ordinateur portable ?

Oui, un câble USB-C peut fournir jusqu’à 100 watts de puissance, ce qui est suffisant pour charger la plupart des ordinateurs portables modernes. Cela dépend cependant de l’ordinateur et du chargeur, qui doivent être compatibles avec cette puissance.

L’USB-C peut-il remplacer le HDMI ?

Oui, la plupart des ports USB-C récents prennent en charge un protocole appelé « mode alternatif DisplayPort » (ou Alt Mode), qui permet de transmettre un signal vidéo vers un moniteur ou une télévision, ce qui peut remplacer les câbles HDMI.

Quel est le port USB le plus courant aujourd’hui ?

Actuellement, le port le plus courant est l’USB-A, que l’on trouve sur les ordinateurs de bureau et les anciens ordinateurs portables. Cependant, l’USB-C est en train de devenir le standard sur tous les nouveaux appareils.

Que sont l’USB 3.1 Gen 1 et Gen 2 ?

Ce sont les versions les plus rapides de la norme USB 3.1. La Gen 1 a un débit maximal de 5 Gbps, et la Gen 2 un débit maximal de 10 Gbps. Ces débits sont compatibles avec le connecteur USB-C.

Pourquoi l’USB-C est-il réversible ?

Le connecteur USB-C possède un design symétrique avec 24 broches, ce qui fait que peu importe le sens dans lequel vous l’insérez, il se connectera. C’est un changement majeur par rapport aux anciens connecteurs USB-A et B.

Quelle est la différence entre un connecteur et une norme USB ?

Le connecteur est la forme physique du port et du câble (par exemple, USB-A, Micro-USB ou USB-C). La norme est la spécification technique qui détermine la vitesse de transfert de données et l’énergie transportée (par exemple, USB 2.0 ou USB 3.1).

L’USB-C est-il compatible avec les anciens ports USB ?

Non, un connecteur USB-C ne rentre pas dans un port USB-A ou Micro-USB. Cependant, on peut utiliser des adaptateurs ou des câbles avec un connecteur USB-C à une extrémité et un ancien connecteur à l’autre pour garantir la compatibilité.

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Les termes lac, lagon et lagune désignent tous des étendues d’eau, mais ils se distinguent par leurs caractéristiques, leur formation et leur lien avec l’océan. La confusion est fréquente, pourtant leurs différences sont fondamentales d’un point de vue hydrologique et géologique. Dans cet article, découvrez les subtilités de ces écosystèmes aquatiques et leurs rôles dans la nature, de la grande étendue d’eau douce enclavée à la fine bande d’eau salée sur le littoral.

En bref : lac, lagon et lagune, quelles différences ?

  • Un lac est une étendue d’eau généralement enclavée et séparée de l’océan.
  • Un lagon est une étendue d’eau salée ou saumâtre, côtière, séparée de l’océan par un récif de corail ou un atoll.
  • Une lagune est une étendue d’eau salée ou saumâtre, côtière, séparée de l’océan par un cordon de sable, une flèche littorale ou une barrière de sédiments.
  • Les lacs peuvent être d’eau douce ou salée, tandis que les lagons et lagunes sont majoritairement saumâtres ou salés.
  • Les lacs sont souvent plus profonds que les lagons et les lagunes, et leurs écosystèmes sont différents.

Qu’est-ce qu’un lac et comment se forme-t-il ?

Un lac est une étendue d’eau enclavée dans une dépression, dont le taux d’apport en eau est supérieur à celui de son évaporation et de son écoulement. Les lacs sont généralement d’eau douce, bien que certains puissent être salés (comme la mer Morte). Ils peuvent se former de diverses manières, en fonction de leur origine géologique :

  • Les lacs glaciaires : créés par l’action des glaciers qui érodent le sol en se déplaçant, formant des creux qui se remplissent d’eau au fur et à mesure que les glaciers fondent. C’est le cas des Grands Lacs d’Amérique du Nord.
  • Les lacs volcaniques : se forment dans les caldeiras, c’est-à-dire les dépressions créées par l’effondrement d’un volcan après une éruption majeure.
  • Les lacs tectoniques : créés par le mouvement des plaques terrestres qui peut former des fossés (grabens) qui se remplissent d’eau.
  • Les lacs de barrage naturel : formés par un barrage naturel dû à un glissement de terrain ou une coulée de lave qui bloque le cours d’une rivière.

Les lacs peuvent également être créés par l’activité humaine (réservoirs) ou par les animaux, comme les castors. La vie d’un lac n’est pas éternelle. Un lac « jeune » (oligotrophe) est généralement profond, limpide et riche en oxygène. Avec le temps, il s’enrichit en matières organiques et devient eutrophe, perdant en oxygène et en clarté, jusqu’à disparaître. On parle alors de lac « âgé ».

Le lac nahuel Huapi en Argentine.
Le lac nahuel Huapi en Argentine.

Le lagon et la lagune : deux types d’étendues d’eau côtières

Les lagons et les lagunes sont des étendues d’eau peu profondes situées sur le littoral, mais ils se distinguent par la nature de la barrière qui les sépare de l’océan.

  • Un lagon est une étendue d’eau reliée à l’océan et séparée par une barrière naturelle, comme un récif de corail ou un atoll. On les trouve souvent dans les zones tropicales ou subtropicales, et ils se caractérisent par une eau généralement claire et salée, ou saumâtre si des rivières s’y déversent. Les lagons d’atolls se forment autour d’îles volcaniques qui ont été submergées au fil des millénaires.
  • Une lagune est une étendue d’eau côtière séparée de l’océan par un cordon de sable ou de sédiments. Elles sont plus courantes dans les zones tempérées et sont souvent moins claires que les lagons en raison des apports de sédiments provenant de la terre et de la mer. Les lagunes ont tendance à avoir une salinité variable et sont souvent le lieu de forts écosystèmes.

Contrairement aux lacs, les lagons et lagunes sont en communication avec l’océan, ce qui les rend plus sensibles aux marées et aux tempêtes et leur permet d’héberger des écosystèmes marins. Ils peuvent être saumâtres (mélange d’eau douce et d’eau salée) ou salés, selon le volume d’eau douce qu’ils reçoivent et leur niveau d’ouverture sur la mer.

Quelle est la différence entre un lac et un lagon ?
Un lagon sur la gauche, un lac sur la droite.

Similitudes et différences majeures

Les lacs, lagons et lagunes partagent la similitude d’être des étendues d’eau enclavées. Cependant, leurs différences sont importantes :

  • Leur lien avec l’océan : Un lac est presque toujours entièrement enclavé et isolé de la mer, tandis qu’un lagon et une lagune sont toujours connectés à l’océan par au moins une ouverture.
  • Leur composition en eau : Les lacs peuvent être d’eau douce ou salée, tandis que les lagons et les lagunes sont typiquement saumâtres ou salés.
  • Leur formation : Les lacs peuvent être formés par des phénomènes glaciaires, volcaniques ou tectoniques. Les lagons et les lagunes sont des formations côtières qui dépendent de la géographie des littoraux.
  • Leur profondeur : Les lacs sont généralement plus profonds que les lagons et lagunes.

Comprendre ces distinctions permet de mieux appréhender les écosystèmes propres à chaque type d’étendue d’eau. La biodiversité d’un lagon corallien sera par exemple bien différente de celle d’un lac d’altitude.

Le lagon de la côte ouest de la Réunion.
Le lagon de la côte ouest de la Réunion.

Conclusion

Si la confusion est courante, les lacs, les lagons et les lagunes n’en demeurent pas moins des corps d’eau fondamentalement différents. Le lac, souvent plus profond et isolé, est un écosystème en soi, dont l’histoire est liée à la géologie du continent. Le lagon et la lagune, quant à eux, sont des dépendances de l’océan, connectés à l’environnement marin et directement influencés par les courants, les marées et les formations littorales. Comprendre ces distinctions géographiques et hydrologiques nous permet de mieux apprécier la diversité de notre planète.

FAQ : tout savoir sur les lacs, lagons et lagunes

Quelle est la principale différence entre un lac et un lagon ?

Un lac est généralement une étendue d’eau enclavée, sans lien avec l’océan. Un lagon, en revanche, est une étendue d’eau côtière connectée à la mer, mais protégée par un récif de corail.

Qu’est-ce qui sépare une lagune de la mer ?

Une lagune est séparée de la mer par un cordon de sable, une flèche littorale ou une barrière de sédiments, et non par un récif corallien comme pour un lagon.

Les lacs peuvent-ils être salés ?

Oui, les lacs peuvent être salés. C’est le cas des lacs situés dans des bassins fermés où l’eau ne peut s’écouler. L’eau s’évapore et la concentration en sel augmente avec le temps. La mer Morte en est l’exemple le plus connu.

Quelle est la différence entre un lagon et une lagune ?

La différence est dans la barrière qui les sépare de l’océan : un lagon est séparé par un récif corallien, tandis qu’une lagune est séparée par un cordon de sable ou des sédiments.

Un lac est-il plus grand qu’un étang ?

La distinction entre un lac et un étang n’est pas scientifique. Un étang est généralement considéré comme plus petit et moins profond qu’un lac. Il se forme souvent dans des dépressions plus petites et peut abriter une flore aquatique sur la majorité de sa surface.

Qu’est-ce qu’un lagon d’atoll ?

Un lagon d’atoll se forme dans le cratère d’une ancienne île volcanique sous-marine. Au fur et à mesure que le volcan s’enfonce sous l’eau, le récif corallien qui l’entoure continue de grandir, formant un anneau d’îles qui délimitent une étendue d’eau.

Qu’est-ce que l’eutrophisation d’un lac ?

L’eutrophisation est le vieillissement naturel d’un lac. Il s’agit d’un processus au cours duquel le lac s’enrichit en nutriments et en matières organiques. Cela peut être accéléré par la pollution humaine, entraînant une prolifération d’algues et une diminution de l’oxygène, ce qui peut tuer les poissons et les autres organismes aquatiques.

Qu’est-ce qu’un lac glaciaire ?

Un lac glaciaire est un lac qui s’est formé dans une dépression creusée par un glacier. Lorsque le glacier fond, il laisse derrière lui une cavité qui se remplit d’eau. Les Grands Lacs d’Amérique du Nord en sont un exemple.

Un lagon peut-il être d’eau douce ?

Non, un lagon n’est jamais exclusivement d’eau douce car il est relié à l’océan. Cependant, il peut être saumâtre, c’est-à-dire un mélange d’eau douce et d’eau salée, si des rivières s’y jettent et diluent l’eau salée.

Peut-on trouver des lacs sur d’autres planètes ?

Oui, des lacs ont été découverts sur d’autres corps célestes, comme sur la lune Titan de Saturne. Cependant, ces lacs sont composés de méthane et d’éthane liquides, et non d’eau.

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Découvrez et comprenez à travers notre article ce qu’est un crédit immobilier, comment fonctionne-t-il, quelles sont les conditions qu’il faut réunir pour l’obtenir ainsi que les trois principales formules de prêts immobiliers disponibles pour les futurs acquéreurs.

Qu’est-ce qu’un crédit immobilier ?

Un crédit immobilier aussi appelé prêt immobilier est un type d’emprunt permettant de financer dans le but d’acquérir tout ou une partie d’un bien immobilier (maison, appartement, château, résidence étudiante privée, ou encore un terrain), de financer la construction d’un bien, ou encore de de payer des travaux de rénovation.

Les crédits immobiliers existent depuis le XIXème siècle, sont encadrés par la loi et octroyés par des banques ou des institutions financières. La banque qui octroie un prêt immobilier demande généralement une garantie sur l’argent qu’elle prête prenant le plus souvent la forme d’une hypothèque sur le bien acheté. Ceci signifie que si les traites ne sont pas remboursées, la banque a le droit de saisir le bien et le revendre.

Quelles sont les conditions d’obtention d’un crédit immobilier ?

Un crédit immobilier classique permet à un acheteur d’emprunter entre 70 et 80% de la valeur d’un bien immobilier. Certains courtiers en prêts hypothécaires se limitent à 50% seulement pour les ressortissants de pays non membres de l’UE.

Une particularité des crédits hypothécaires est l’exigence légale appelée capacité d’emprunt selon laquelle l’ensemble des dettes, et donc y compris les loyers, les prêts hypothécaires et les autres dépenses régulières, ne doit pas dépasser 30% à 35% du revenu net du ménage. Les charges sont soustraites des ressources et cela détermine la capacité à emprunter.

C’est l’établissement bancaire qui détermine la capacité d’emprunt des futurs acquéreurs par un calcul très simple : les ressources dont on dispose soustraites par les charges que l’on paie. Au revenu disponible est appliqué un taux d’effort de 30 à 35%.

Comment calculer sa capacité d'emprunt ?
Schéma simple expliquant comment déterminer sa capacité d’emprunt grâce à la formule qu’utilisent les institutions bancaires. Le calcul est facile, il s’agit de prendre d’une part les ressources du ménage, qui sont composées par le salaire, les autres bénéfices, les rentes, etc., d’y soustraire les charges du ménage, qui sont composées du loyer, des mensualités des différents crédits souscrits, des pensions alimentaires éventuelles, etc. Cette soustraction (ressources – charges) donne le revenu disponible. De ce revenu n’est considéré que 30 ou 35% par les banques comme capacité d’emprunt. Un ménage qui gagne 4000€ par mois et a des charges de 1250€ aura donc un revenu disponible de 2750€, 30% de 2750€ est 825€ : sa capacité d’emprunt sera de maximum 825€ par mois.

Si le total des remboursements hypothécaires est supérieur à 35% des revenus du ménage, les banques françaises ne peuvent pas accorder de crédit supplémentaire, pour la Belgique, ce pourcentage est fixé à 40%. Il s’agit d’un calcul élaboré par les institutions financières et gouvernementales afin d’éviter le surendettement.

Le montant que l’on peut emprunter est donc limité à la fois par la valeur du bien et par nos revenus. Et également par l’âge pour les seniors (plus de 65 ans), les banques ne tiennent pas compte des revenus du travail, uniquement les revenus passifs (rentes, actions, etc.) ou les prestations de retraite sont pris en considération.

Les différents types de crédits immobiliers ?

Il existe trois grands types de crédits immobiliers : le prêt immobilier à taux fixe, le prêt hypothécaire à taux variable et le crédit-pont.

Les prêts immobiliers à taux fixe

Les emprunteurs peuvent également choisir entre un prêt hypothécaire à taux fixe et un prêt hypothécaire à taux variable. Les prêts hypothécaires à taux fixe sont souvent assortis d’un taux plus élevé, mais ils offrent une certaine sécurité. Les prêts à taux d’intérêt fixe sont de plus en plus populaires en France notamment auprès des investisseurs qui souhaitent louer leur bien.
Les intérêts hypothécaires étant déductibles des revenus locatifs, ce type de prêt peut réduire considérablement les mensualités de l’investisseur.

Un produit hypothécaire à taux fixe intéressant est le crédit hypothécaire flexible. Ce produit offre la sécurité d’un taux d’intérêt fixe, mais permet aux emprunteurs de faire varier leurs paiements mensuels en fonction de leur situation personnelle.
En général, le prêteur fixe des limites de paiement supérieures et inférieures, mais dans certains cas, les paiements peuvent être suspendus jusqu’à deux ans, ou augmentés jusqu’à 30 % pour un remboursement plus rapide.

Les crédits immobiliers à taux variable

Les prêts hypothécaires à taux variable dépendent des taux Euribor à trois mois ou à un an, plus une marge de 1 à 3 %, de sorte qu’il peut être difficile d’obtenir une image transparente des taux à long terme.

Une variante populaire du crédit hypothécaire à taux variable est le prêt à taux révisable non capé mais à échéances plafonnées. Ce produit financier a un taux entièrement variable, mais les paiements de l’emprunteur sont plafonnés.
Bien que cela soit peu probable, il est possible que l’emprunteur se retrouve par inadvertance avec un prêt à taux révisable si les taux augmentent considérablement.

Le crédit-pont

Les emprunteurs en France et en Belgique ont également accès à ce que l’on appelle un crédit-pont, conçu spécifiquement pour les acheteurs qui sont prêts à acheter un bien immobilier mais qui attendent la vente de leur bien existant. Ces prêts sont des solutions à court terme qui permettent d’acheter un bien dans l’attente de la vente d’un bien en possession des acheteurs.

 

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Dans cet article, vous allez apprendre très simplement comment créer des mots de passe qui seront différents sur chaque site pour une meilleure sécurité et éviter les piratages tout en étant capable de retenir l’ensemble de ces mots de passe.

Cette méthode mnémotechnique est plus fiable qu’un gestionnaire de mots de passe d’un navigateur, ou encore que la fonction « mots de passe enregistrés » avec les empreintes biométriques car elle repose sur quelque chose d’infaillible : votre mémoire !

Tout cela peut sembler très complexe et pourtant c’est d’une simplicité absolue. Retenir 1 ou 100 mots de passe sera un jeu d’enfant et ne nécessitera pas d’effort supplémentaire en fonction du nombre élevé de mots de passe.

Comment créer des mots de passe faciles à retenir et sécurisés ?
Comment créer des mots de passe faciles à retenir et sécurisés ?

Pour qu’un mot de passe soit sécurisé, il ne doit pas être déchiffrable rapidement. C’est le problème que l’on retrouve généralement dans la plupart des mots de passe : des dates de naissance, des prénoms, des noms d’animaux, ou des combinaisons de dates ou de noms de de dates. Tout ceci est facile à décrypter, les robots essaient des séquences les unes après les autres et finissent par trouver la bonne, c’est ce qu’on appelle la méthode du « brute force ».

Prenons un exemple, votre date de naissance est le 27 mai 1983, vous indiquez comme mot de passe 27051983. Il y a huit caractères, que des chiffres, le robot pirate essaiera diverses combinaisons en partant de 00000000 puis 00000001, 00000002, 00000003, jusqu’à trouver la bonne. Avec la puissance de calcul des ordinateurs actuels, c’est assez rapide. Pareil si vous ajoutez un mot simple, ou encore pire : un mot du dictionnaire ! Les robots essaient tous ces mots car ils sont présents dans leur base de données.

De nombreux sites internet ou jeux en ligne demandent désormais d’ajouter au moins une lettre en minuscule, une lettre en majuscule, des chiffres, et parfois de la ponctuation pour rendre la tâche aux robots pirates plus ardue. En effet, en ajoutant des majuscules, des lettres, des symboles, c’est tout autant de milliers de combinaisons en plus que le robot devra générer. Et c’est-là que cela devient intéressant.

Pour plus de sécurité, il est recommandé de ne pas utiliser le même mot de passe sur tous les sites car si il était découvert, il ouvrirait la porte à tous vos comptes sur Internet.
Il convient de se diversifier, mais alors comment retenir la galaxie de mots de passe générés sur les dizaines de sites sur lesquels vous surfez ?

La réponse est très simple : construisez votre mot de passe de manière mnémotechnique, déterminez une base qui sera toujours la même et ajoutez une variation différente pour chaque site sur lequel vous possédez un compte.

La base de votre mot de passe doit être quelque chose que vous connaissez bien, par exemple votre mot de passe habituel, ou votre date de naissance, en prenant compte d’ajouter au moins une majuscule, une minuscule, et un caractère spécial.
Dans mon cas, mon mot de passe de base pourrait être &Sam27051983&
J’utilise mon prénom, ma date de naissance, et je l’encapsule entre deux esperluettes (le symbole &).

Mais il faut aller plus loin, maintenant que j’ai ma base, comment m’assurer que ce mot de passe diffère sur chaque site ?

La solution est toute simple, j’ajoute le nom du site de manière codée. Par codée, entendons une manière précise pour écrire le nom des sites. Par exemple, le nom intégral suivi d’un point d’exclamation, ou alors les quatre premières lettres suivies d’un point d’exclamation.
A nouveau, l’usage d’un caractère spécial renforce considérablement le mot de passe.

Pour Facebook, mon mot de passe serait donc ma base, suivie de Facebook! ou de Face!
Ce qui donnerait : &Sam27051983&Facebook! ou &Sam27051983&Face!
Pour mon compte JeRetiens, ce serait : &Sam27051983&JeRetiens! ou &Sam27051983&JeRe!
Pour mon compte LeMonde, ce serait : &Sam27051983&LeMonde! ou &Sam27051983&LeMo!

Les possibilités sont infinies et il est impossible d’oublier le mot de passe, pourtant il est différent sur chacun des sites.

La clef de cette méthode est de prendre une base que vous connaissez et que vous n’oublierez pas et ensuite d’y adjoindre, toujours de la même manière, le nom du site associé au mot de passe, écrit de la façon que vous avez choisie.

Prenons quelques exemples :
Mon mot de passe habituel est le nom de mon animal de compagnie : Globule, je transforme ce mot en rajoutant des chiffres et des symboles &Globule21, je décide de séparer mon mot de passe de base du nom des sites internet par un slash / et je choisis d’indiquer le nom des sites en entier, avec une majuscule au début (le reste en minuscules) et de le terminer par un point . ce qui donne : &Globule21/Facebook. &Globule21/Gmail. ou encore &Globule21/Lavoixdunord.

Tout le succès de cette méthode repose sur le fait de renforcer votre mot de passe habituel d’abord par des chiffres/symboles/usage de minuscules et majuscules et ensuite par l’ajout du nom du site sur lequel vous êtes enregistré. Impossible de l’oublier, impossible à trouver.

Grâce à cette méthode, vous êtes en mesure de générer des centaines de mots de passe indéchiffrables car vous en maîtrisez les deux parties (la manière dont vous en écrivez la base et la manière dont vous en écrivez le nom du site associé). Et si vous souhaitez changer de mot de passe, il vous suffit de modifier un seul symbole ou un seul chiffre dans votre base ou dans la manière d’écrire le nom du site internet auquel votre compte est associé, et de mettre à jour tous vos mots de passe et magie : vous les retiendrez toujours !

Et puisqu’il faut rendre à César, ce qui appartient à César, cette méthode a été élaborée par mon frère !

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Dans toute construction de maison, la toiture reste primordiale. C’est l’un des principaux facteurs qui contribuent au bien-être et au confort des occupants. Sa réalisation est un enjeu décisif qui dessine l’aspect esthétique de la maison. Toutefois, la construction de la toiture nécessite le respect des règles d’urbanisme et des dispositions techniques à prendre en compte pour assurer une meilleure isolation et solidité. Quelles sont les étapes importantes sur lesquelles reposent la réalisation et la pose d’une toiture de qualité ? Découvrez dans cet article les différents types de toiture disponibles sur le marché et les étapes à suivre pour les réaliser.

Quels sont les différents types de toiture ?

Avant toute installation de toiture, il faut d’abord connaître les différents types de toiture qui existent. Ceci dit, il existe 3 grands types de toiture pour maison à savoir la toiture en pente, la toiture-terrasse ou plate et la toiture arrondie.

Toiture en pente

Connue pour sa capacité à évacuer les eaux pluviales, la toiture réduit considérablement les problèmes liés à l’infiltration et à l’étanchéité. C’est la toiture la moins chère et la plus répandue. La hauteur du pignon de la maison, le nombre de versants de la toiture et la surface de la maison sont autant de facteurs qui vous permettront de définir les degrés de pente afin d’intégrer votre habitation à l’architecture locale. Ce type de toiture vous donne la possibilité d’insérer des ouvertures vitrées pour donner du charme et une bonne luminosité à votre espace de vie.

Toiture-terrasse ou plate

C’est une toiture esthétique qui dispose d’un seul pan horizontal légèrement incliné pour évacuer les eaux pluviales. Facile à mettre en place, elle permet d’installer des panneaux ou aménager un toit végétalisé. Autrement dit, elle donne la possibilité aux habitants d’y accéder facilement et d’installer des matériaux isolants. Le but ici est de gagner de la place. Ce type de toiture convient aux maisons de style moderne ou contemporain.

Toiture arrondie

La toiture arrondie se présente sous forme d’une courbure simple. Moins répandu, ce type de toiture permet d’employer des matériaux de couverture tels que le zinc, la tôle et le bois. Il est réputé pour l’originalité de son architecture ainsi que pour son design. L’installation d’une telle toiture est complexe, ce qui explique le coût élevé de sa réalisation.

Toutefois, il faut préciser qu’il existe également des toitures spécifiques pour les vérandas, les abris de jardin et même pour les garages.

Comment poser une toiture ?
Comment poser une toiture ?

Quelles sont les différentes étapes de la réalisation de votre toiture ?

Pour une réalisation sûre et solide de la toiture de votre maison, il est important de suivre certaines étapes.

Respectez les normes en vigueur

Le choix de votre toiture doit nécessairement répondre aux normes techniques de construction en vigueur. Cela vous permet de privilégier uniquement les matériaux de qualité et de suivre les documents techniques pour la mise en œuvre de l’installation de votre toiture. Vous devez également respecter la réglementation locale et obtenir l’autorisation des responsables compétents avant cette opération.

Prendre en compte le climat

La pente, la conception et les matériaux des toitures sont des facteurs qui varient d’une zone climatique à une autre. Pour cela, il faut tenir compte des conditions climatiques de la zone pour garantir une meilleure isolation de votre toiture.

Construire une charpente solide

Installer une toiture revient à faire reposer tous les éléments extérieurs de la toiture sur une charpente solide, capable de supporter le poids. Pour cela, il faut qu’elle soit réalisée selon les règles techniques. Mieux vaut confier cette partie de l’opération à un professionnel.

Réaliser une toiture isolée et étanche

Une bonne isolation de la toiture permet d’obtenir un gain thermique important, ce qui permet de réaliser des économies sur les factures d’énergie. Pour cela, il faut prioriser les matériaux étanches pouvant favoriser une bonne isolation, améliorer le confort acoustique de la maison et lutter également contre l’humidité et l’apparition de moisissures.

À qui confier la réalisation de la toiture de sa maison ?

La réalisation de la  toiture d’une maison est une tâche qui nécessite beaucoup d’attention. Pour cela, il faut choisir un artisan professionnel en tenant compte de son expérience, de ses différentes réalisations. Toutefois, pour vous simplifier la vie, vous pourrez bénéficier d’un accompagnement dans votre projet d’installation de toiture. Vous pouvez avoir de plus amples informations sur https://www.guide-toiture.com, que ce soit pour connaître les différents tarifs des matériaux, les prix de pose ou faire une comparaison des artisans. Vous pourrez également obtenir jusqu’à 5 devis gratuits pour votre projet de réalisation de toiture.

 

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L’espresso, ou expresso, est un grand classique de la culture du café. Si sa dégustation est un plaisir simple, sa préparation relève d’une alchimie complexe qui dépend de la précision de chaque étape. En apparence, la méthode est simple : faire passer de l’eau chaude sous haute pression à travers du café finement moulu. Mais pour obtenir un café parfait, une machine sophistiquée est nécessaire pour maîtriser chaque paramètre. Découvrons ensemble les mécanismes de cette merveille de technologie, de l’arrivée d’eau jusqu’à l’extraction finale.

En bref : comment faire un bon espresso ?

  • Un bon espresso s’obtient en faisant passer de l’eau chaude et pressurisée à travers des grains de café très finement moulus.
  • La machine doit maintenir une pression constante d’environ 9 bars, ce qui est géré par une pompe.
  • La température de l’eau doit être précise et stable pour extraire les arômes de manière optimale.
  • Le café moulu est pressé dans un porte-filtre avant d’être placé dans le groupe d’extraction.
  • La préparation d’un espresso nécessite de la minutie et de la maîtrise de chaque paramètre pour obtenir une boisson équilibrée.

Les éléments clefs d’une machine à espresso

La préparation d’un espresso de qualité repose sur une succession d’étapes qui, pour être parfaites, demandent à la machine de gérer plusieurs paramètres avec une grande précision. Voici les composants principaux qui rendent cela possible.

L’arrivée et le chauffage de l’eau

La première étape est l’alimentation en eau. Les machines peuvent être reliées directement au système de plomberie ou être équipées d’un réservoir à remplir. L’eau est ensuite aspirée et acheminée vers un élément chauffant appelé chaudière. Cette pièce est cruciale car la température de l’eau influence directement l’extraction des arômes. C’est pourquoi les machines modernes utilisent des systèmes précis pour réguler la chaleur, comme le contrôleur PID (Proportionnel, Intégral, Dérivé) ou un panneau numérique. Ces technologies surveillent la température avec une sonde et ajustent le chauffage si nécessaire, garantissant ainsi la constance essentielle à un bon espresso.

La pompe et la pression

Une fois l’eau chauffée, la pompe entre en action. Son rôle est double : elle propulse l’eau vers les grains de café et, surtout, elle génère la pression nécessaire à l’extraction. Historiquement, cette pression était créée à la main avec un levier, mais les machines modernes utilisent une pompe pour la maintenir autour de 9 bars. C’est cette haute pression qui permet à l’eau de traverser rapidement la mouture et d’en extraire les huiles et les arômes, pour obtenir la mousse onctueuse caractéristique de l’espresso, appelée la crema.

Machine à espresso à piston
Une machine à espresso à piston.

Le groupe d’extraction et le porte-filtre

L’eau pressurisée arrive ensuite au groupe d’extraction, la dernière étape de son parcours avant le café. Ce « groupe » est un ensemble de pièces qui comprend le porte-filtre, un élément amovible dans lequel le café est tassé. L’utilisateur y verse le café moulu, le tasse fermement à l’aide d’un tamper, puis verrouille le porte-filtre sur le groupe d’extraction. C’est à ce moment que l’eau sous pression est diffusée à travers la galette de café pour en extraire la saveur. La conception de ces pièces varie selon les machines, des modèles domestiques aux distributeurs de boissons chaudes professionnels, influençant l’efficacité et la durabilité du processus.

Un groupe d'extraction de machine à expresso domestique
Un groupe d’extraction de machine à expresso domestique.

[caption id="attachment_30339" align="aligncenter" width="900"]Un porte-filtre de machine à expresso domestique. Un porte-filtre de machine à expresso domestique, élément dans lequel le café est tassé.

Les étapes de la préparation de l’espresso

Pour l’utilisateur, le processus se résume à trois étapes simples, une fois que la machine est prête :

  1. Préparation du café : Le café est finement moulu, puis versé dans le porte-filtre et tassé de manière uniforme.
  2. Extraction : Le porte-filtre est inséré dans le groupe d’extraction. L’utilisateur lance le processus, et la machine fait le reste. L’eau chaude est envoyée sous pression à travers le café.
  3. Infusion : L’eau passe à travers la mouture et se transforme en espresso, qui s’écoule directement dans la tasse. Le résultat est une boisson concentrée, intense et coiffée d’une fine crème.

De là, il est possible de créer d’autres boissons comme le cappuccino, le latte ou le macchiato en utilisant le buse à vapeur de la machine, qui chauffe ou mousse le lait à la demande.

Comment faire un bon expresso ?
Comment faire un bon expresso ?

Conclusion

Faire un bon espresso est bien plus que de simplement « passer de l’eau à travers du café ». C’est un art précis qui dépend d’un équilibre parfait entre plusieurs facteurs : la pression, la température et la qualité de la mouture. Une machine à espresso de qualité est conçue pour contrôler ces variables avec une grande précision, transformant ainsi chaque étape, de l’eau au café, en une chaîne d’événements qui aboutit à une tasse de café parfaite, riche en arômes et en saveurs.

FAQ : tout savoir sur la préparation de l’espresso

Qu’est-ce que l’espresso ?

L’espresso est une méthode de préparation du café où une petite quantité d’eau chaude est forcée sous haute pression à travers une galette de café finement moulu. Le résultat est un café concentré, coiffé d’une couche de crème.

Quelle est la différence entre un café normal et un espresso ?

La différence principale est la méthode de préparation. Le café « normal » (ou café filtre) est préparé par gravité, tandis que l’espresso utilise une pression élevée. L’espresso est plus concentré en arômes et en caféine et a une texture plus épaisse.

Quelle pression est nécessaire pour faire un espresso ?

Pour un espresso parfait, la pression idéale est d’environ 9 bars. Les machines modernes sont équipées d’une pompe pour maintenir cette pression constante tout au long de l’extraction.

Pourquoi la température de l’eau est-elle si importante ?

La température de l’eau est cruciale car elle influence l’extraction des arômes. Une eau trop froide donnera un café acide, tandis qu’une eau trop chaude le rendra amer et brûlé. La température idéale se situe généralement entre 90 et 96 °C.

Qu’est-ce qu’une chaudière sur une machine à espresso ?

La chaudière est la pièce de la machine qui chauffe l’eau à la température nécessaire pour l’extraction de l’espresso. Sur les machines de qualité, elle est souvent fabriquée en cuivre ou en acier inoxydable pour assurer une température stable.

Qu’est-ce que le groupe d’extraction ?

Le groupe d’extraction est la tête d’infusion de la machine. C’est l’endroit où le porte-filtre est verrouillé et où l’eau chaude et pressurisée est diffusée à travers le café moulu pour extraire l’espresso.

Pourquoi faut-il tasser le café moulu ?

Il est important de tasser fermement le café moulu pour qu’il offre une résistance uniforme à l’eau. Cela permet à l’eau de passer de manière homogène à travers la galette de café, assurant une extraction équilibrée et la formation de la crema.

Qu’est-ce que la crema ?

La crema est la mousse onctueuse et dorée qui se forme à la surface de l’espresso. Elle est le résultat des huiles et des gaz du café qui sont extraits sous haute pression. Une bonne crema est un indicateur de la qualité de l’extraction.

Qu’est-ce qu’une buse à vapeur et à quoi sert-elle ?

La buse à vapeur est un accessoire qui utilise la vapeur d’eau de la chaudière pour chauffer et faire mousser le lait. Elle est utilisée pour préparer des boissons comme les cappuccinos et les lattes.

Quelle est la différence entre un espresso et un ristretto ?

Le ristretto est une version plus courte de l’espresso, préparée avec la même quantité de café mais moins d’eau. Il est plus concentré et a un goût plus intense, avec moins d’amertume.

Quelle est la meilleure mouture pour l’espresso ?

La mouture pour l’espresso doit être très fine, presque comme de la poudre. Une mouture trop fine peut bloquer l’eau, tandis qu’une mouture trop grossière la laisse passer trop vite, ce qui rend le café faible et sans goût.

Peut-on faire un bon espresso avec une machine à capsules ?

Les machines à capsules sont pratiques, mais elles ne permettent pas le même niveau de contrôle qu’une machine traditionnelle. Le résultat est généralement considéré comme un café de qualité inférieure à un véritable espresso, car les paramètres (mouture, pression, température) ne peuvent pas être ajustés.


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