Bienvenue sur JeRetiens : votre mini-encyclopédie pour tout comprendre, mieux mémoriser et enrichir votre culture générale
Depuis 2007, JeRetiens s’est imposé dans l’espace francophone comme incontournable pour l’apprentissage, la mémorisation et la culture générale. Avec nos 1331 articles détaillés, nous abordons autant les techniques mnémotechniques que des sujets d’encyclopédie : grands récits historiques, faits insolites, traditions culturelles, religion, linguistique, et bien plus encore. Totalement gratuit, notre site se veut à la fois pédagogique et ludique, offrant à chacun la possibilité d’apprendre, de comprendre et de retenir à son rythme.
Pourquoi JeRetiens est unique ?
Nous croyons que la curiosité est le moteur principal de la connaissance. Que vous cherchiez à améliorer votre mémoire, à approfondir votre culture générale ou simplement à découvrir de nouveaux sujets, vous trouverez chez nous un large éventail de contenus : de la polémologie à l’irénologie, de la bienséance à l’alphabet arabe, des sourates de l’islam aux capitales du monde, en passant par les douze travaux d’Hercule et de nombreuses anecdotes culturelles. Dans cette mini-encyclopédie, nous mettons l’accent sur la pédagogie, les exemples concrets et les astuces mémos pour rendre chaque lecture utile et passionnante.
Explorez notre sélection des meilleurs articles
Avec plus de 1240 contenus inédits, il peut être difficile de savoir par où commencer ! C’est pourquoi nous avons créé une rubrique dédiée : Les meilleurs articles. Vous y trouverez des dossiers approfondis sur des thèmes variés : par exemple, comprendre les souvenirs d’enfance, décrypter la fonction des rêves, revisiter des chapitres marquants de l’histoire, ou encore vous familiariser avec des codes culturels du monde entier. Nous vous recommandons également de consulter nos articles de fond sur la religion et la spiritualité, dont certains consacrés à la lecture et à la mémorisation des sourates, ou encore aux traditions bouddhistes. De la mythologie gréco-romaine aux coutumes du Moyen-Âge, en passant par des fiches sur la bienséance au quotidien, il y en a pour tous les goûts.
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Mémorisation : plus de 3500 moyens mnémotechniques
Parce que retenir facilement n’est pas qu’une question de talent, JeRetiens vous propose des moyens mnémotechniques originaux et accessibles à tous. Vous utilisez déjà, sans le savoir, des phrases-clés ou des images mentales (comme « Mais où est donc OrNiCar ? » ou les poings pour savoir si un mois a 30 ou 31 jours). Nous allons encore plus loin : nos méthodes vous aideront à assimiler des listes de mots, apprendre de nouveaux alphabets (par exemple l’alphabet arabe), mémoriser les capitals du monde, ou encore retenir des séquences complexes comme les sourates et leurs versets, le tout de manière ludique. Notre objectif ? Vous permettre de gagner du temps dans vos études, votre vie professionnelle ou simplement pour nourrir votre passion du savoir.
Des articles de fond pour nourrir votre culture générale
En parallèle des techniques de mémorisation, JeRetiens s’est aussi développé comme un média d’explications pédagogiques. Chaque article se veut à la fois précis et illustré d’exemples concrets. Vous pourrez ainsi explorer l’anatomie du cerveau, découvrir pourquoi nous n’avons que peu de souvenirs de la petite enfance, ou comment fonctionne la répétition espacée pour ancrer vos connaissances. Nous abordons également des sujets variés comme la bienséance et le savoir-vivre, l’évolution de certaines coutumes et même des réflexions sur la spiritualité, la littérature et l’étymologie.
Énigmes, quiz et casse-têtes : amusez-vous en apprenant
Pour rendre l’apprentissage plus amusant, nous proposons aussi des énigmes et casse-têtes. Vous y trouverez des défis logiques, des rébus, des devinettes historiques ou littéraires, et bien d’autres jeux qui feront travailler vos méninges tout en enrichissant votre culture générale. De nombreuses énigmes sont accompagnées de solutions explicatives et de pistes mnémotechniques pour progresser.
Une mini-encyclopédie gratuite, en constante évolution
Avec ses centaines de sujets, JeRetiens a évolué pour devenir une véritable base de connaissances en ligne. Notre plateforme est entièrement gratuite et résulte d’un travail collaboratif : chacun peut proposer ses propres trucs mnémotechniques, enrichir des articles existants ou suggérer de nouveaux thèmes à aborder. Au fil des ans, ce sont 17 ans d’articles, de retours de lecteurs et d’astuces testées qui alimentent ce site. Nous croyons que la connaissance doit être partagée librement pour que chacun puisse progresser et s’ouvrir à de nouveaux horizons.
Nos dernières publications
Si vous êtes un peu perdu, commencez par parcourir nos meilleurs articles : vous y trouverez nos coups de cœur et des textes de fond qui traitent aussi bien de mythologie, de religion, de science ou d’éducation. Nous mettons à jour régulièrement l’article du mois, pour mettre en lumière des sujets phares, des méthodes innovantes ou des découvertes insolites. Pensez également à jeter un œil aux nouveautés pour profiter de contenus encore frais !
Au passage, pour en savoir plus sur l’architecture, découvrez cet article ou celui-ci, qui explorent différents styles et techniques de construction.
La lyophilisation, anciennement appelée cryodessiccation, est un procédé d'élimination de l'eau (la dessiccation) généralement utilisé pour conserver des matières périssables,
JeRetiens n’est pas seulement une mine d’informations, c’est aussi une communauté. Nous vous invitons à partager vos méthodes, vos anecdotes culturelles ou vos demandes personnalisées pour enrichir encore le site. Vous pouvez également solliciter notre équipe pour inventer un mnémotechnique sur mesure adapté à vos besoins, que ce soit pour apprendre la liste des capitales d’un continent, réviser des textes religieux ou maîtriser de nouvelles règles de grammaire.
Du savoir pour tous : voyagez entre apprentissage et culture générale
Que vous soyez passionné d’histoire, avide de connaissances bibliques ou coraniques, amateur de mythologies ou de coutumes du monde, curieux de mieux apprendre une langue (avec par exemple l’alphabet arabe), ou simplement en quête d’une bonne méthode pour retenir vos cours, vous trouverez forcément votre bonheur dans notre mini-encyclopédie. Chaque article a pour vocation de vous fournir un contenu de fond, tout en vous proposant des moyens mnémotechniques lorsque c’est pertinent.
Prêt à enrichir votre culture et booster votre mémoire ? Parcourez nos articles !
Grâce à ses multiples facettes – culture générale, mémoire, techniques d’apprentissage et sujets de fond –, JeRetiens vous offre un espace de découverte et d’entraînement intellectuel sans égal. Lancez-vous dans l’exploration de nos moyens mnémotechniques, testez votre logique dans nos énigmes, ou commencez par nos articles phares pour un aperçu de la richesse de notre contenu. Vous découvrirez vite que la curiosité et le plaisir d’apprendre sont les plus belles clés pour retenir et comprendre le monde qui nous entoure.
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Aujourd’hui, les règles de bonne pratique en matière de navigation sur Internet passent par l’utilisation d’un VPN (Nord VPN, Surfshark VPN, ou encore Express VPN pour les plus connus) afin de protéger la confidentialité de ses données. Dans cet article, nous nous intéresserons à la question de savoir si un VPN doit être allumé en permanence ou non.
Les avantages d’un VPN toujours actif
Navigation privée réelle
La plupart des navigateurs Web actuels proposent ce qu’ils appellent la « navigation privée ». On pourrait croire que cela vous permet de surfer sur le Web de manière anonyme, mais ce n’est pas le cas. Ce qu’il fait en réalité, c’est supprimer votre historique Web et vos cookies une fois que vous fermez votre navigateur. Votre FAI peut toujours voir tout ce que vous faites en ligne. Cela ne veut pas dire que ce n’est pas un bon outil, tant que vous comprenez ce qu’il fait.
Mais si vous souhaitez naviguer sur le Web en toute confidentialité, un VPN vous permettra de le faire. Comme je l’ai mentionné plus haut, un VPN remplacera votre adresse IP et votre localisation par celles du serveur VPN. Et le tunnel crypté rendra vos activités beaucoup plus difficiles à espionner par des tiers, notamment en jouant en ligne. En outre, la plupart des fournisseurs de VPN fournissent à leurs utilisateurs des adresses IP partagées. Cela permet de mélanger le trafic de tous les utilisateurs d’un serveur VPN donné et a l’avantage de rendre beaucoup plus difficile la corrélation entre un trafic spécifique et un utilisateur individuel, améliorant ainsi la confidentialité de chaque utilisateur.
Toutefois, si vous souhaitez rester anonyme lorsque vous naviguez sur le Web via un VPN, assurez-vous de ne pas vous connecter à des services en ligne, comme votre messagerie ou Facebook. Dès que vous le ferez, VPN ou pas, vous serez identifié et ne serez plus anonyme. N’oubliez pas non plus que les cookies stockés sur votre système pourraient également être utilisés pour vous identifier, même si vous ne vous connectez à aucun service. Il est donc préférable d’utiliser à la fois un VPN et la navigation privée dans votre navigateur.
Voici un petit conseil si vous souhaitez vous connecter à vos services à l’aide d’un VPN : trouvez un serveur dans la même région géographique que votre emplacement réel et utilisez toujours ce serveur lorsque vous vous connectez à des services liés à votre identité réelle. De cette façon, vous pourrez toujours bénéficier du cryptage du VPN, même si vous ne serez pas anonyme.
Leurrer les sites Internet en leur indiquant un autre emplacement
Comme indiqué ci-dessus, lorsque vous vous connectez à un serveur VPN, votre adresse IP semble être celle du serveur VPN auquel vous êtes connecté. Et votre adresse IP est utilisée pour déterminer approximativement votre emplacement physique. Cela signifie que si vous vous connectez à un serveur américain à partir de la France, tous les sites Web auxquels vous vous connectez vous « verront » comme étant situé en aux États-Unis et non en France. Vous bénéficierez de la confidentialité de la localisation même si vous vous connectez à différents services. Cependant, n’oubliez pas que dans la mesure où les adresses IP des serveurs VPN sont publiques, le service auquel vous vous connectez peut déduire que vous utilisez un VPN et que votre emplacement réel est probablement différent. L’avantage de changer son emplacement est de pouvoir avoir accès à de plus larges catalogues ou à du contenu géographiquement restreint.
Schéma du fonctionnement d’un réseau privé virtuel (VPN) simple.
De nos jours, de nombreuses entreprises offrent un accès WiFi gratuit à leurs clients. C’est bien. Mais nombre d’entre eux ne sont pas cryptés, sont vulnérables aux attaques et peuvent être utilisés pour la distribution de logiciels malveillants, pour ne citer que quelques inconvénients. Certains de ces réseaux WiFi gratuits peuvent également être malveillants, comme les réseaux pirates mis en place pour imiter un réseau légitime à proximité (par exemple, Hotel_WiFi – réseau légitime, contre Hotel_WIFI – réseau pirate) dans l’espoir que les utilisateurs peu méfiants ne remarquent pas la différence et se connectent au réseau pirate. Dès que vous vous connectez, l’opérateur du réseau pirate peut voir tout ce que vous faites en ligne. Le VPN vous protège des pirates.
Accéder au contenu non disponible dans votre région
Certains sites Web restreignent le contenu par région géographique. L’exemple le plus courant est celui des sites de diffusion en continu, qui disposent de différentes bibliothèques de contenus par région. Cependant, les sites de diffusion en continu sont devenus un peu à part dans cette catégorie récemment, et accéder à ces sites par VPN est devenu un véritable défi. J’aborderai plus bas la question de l’accès aux sites de streaming par VPN. Pour l’instant, j’aimerais omettre les sites de streaming de cette catégorie.
Étant donné que l’utilisation d’un VPN gratuit remplace l’adresse IP de votre appareil par celle du serveur VPN et que votre localisation sur Internet est dérivée de votre adresse IP, l’utilisation d’un VPN vous fait apparaître comme étant dans une région géographique différente et vous permettra généralement d’accéder aux ressources géo-restreintes (à l’exception des sites de streaming) bien que vous ne soyez pas réellement dans la région en question. Ainsi, des choses comme certains magasins en ligne qui n’affichent leur contenu qu’aux utilisateurs ayant une adresse IP publique locale vous seront accessibles.
Évitez la limitation de la bande passante
Certains FAI privilégient certains types de trafic sur leur réseau. Ils y parviennent en étranglant (en ralentissant artificiellement) d’autres types de trafic, généralement le trafic P2P et les flux vidéo. Lorsque vous vous connectez à un VPN, votre FAI voit cette connexion. Mais ensuite, il est coupé de la boucle. Une fois la connexion VPN établie, votre FAI ne verra que le charabia envoyé entre vous et le serveur VPN en raison du cryptage. De ce fait, votre FAI ne peut pas savoir ce que vous faites en ligne – le VPN cache votre trafic à votre FAI. Si votre FAI ne sait pas quel type de trafic vous générez, il ne peut pas non plus l’étrangler.
L’utilisation d’un VPN vous permet donc d’augmenter vos performances et d’améliorer votre confidentialité et votre indépendance vis-à-vis de votre FAI.
Notez qu’un VPN ne sera d’aucune utilité si votre bande passante est restreinte parce que vous avez atteint le plafond de données de votre forfait Internet.
Les inconvénients d’un VPN toujours actif
Voilà donc quelques-unes des principales raisons pour lesquelles je garde mon VPN actif en permanence. Mais il y a aussi des pièges. Et je veux aborder les sites de streaming et les VPN ici aussi.
Vitesse réduite
Le plus gros inconvénient de l’utilisation d’un VPN est la vitesse. Un VPN ajoute des frais généraux à votre connexion, ce qui se traduit par des ralentissements. Il faut du temps pour crypter les données sortantes, décrypter les données entrantes et les faire transiter par le serveur VPN. Si vous utilisez un fournisseur de VPN de haute qualité, il y a de fortes chances que le ralentissement ne soit pas critique, mais il sera là, comptez-y.
Donc, si vous faites quelque chose en ligne où la vitesse est plus importante que la confidentialité, vous pouvez désactiver votre VPN jusqu’à ce que vous ayez terminé cette tâche.
CAPTCHA et vérifications supplémentaires
L’utilisation d’un VPN peut également vous amener à voir plus de CAPTCHA que vous ne le souhaiteriez. Comme son nom l’indique (Completely Automated Public Turing test to tell Computers and Humans Apart, en français est public de Turing complètement automatique ayant pour but de différencier les humains des ordinateurs), un CAPTCHA est un test de réponse à un défi utilisé pour déterminer si l’utilisateur est humain ou non.
L’utilisation d’un VPN peut augmenter la fréquence des CAPTCHA et autres mécanismes de vérification lorsque vous naviguez sur le Web. Cela peut se produire pour plusieurs raisons, mais c’est généralement lié à un comportement suspect du point de vue du serveur web. Cela peut être parce que le serveur Web reconnaît votre adresse IP publique comme appartenant à un fournisseur de VPN et veut s’assurer qu’il a affaire à un véritable être humain. Ou bien parce que le service en question essaie d’empêcher tout accès non autorisé à votre compte, car il vous voit vous connecter depuis différents endroits. Quoi qu’il en soit, cela peut être un écueil à l’utilisation d’un VPN toujours actif.
Streaming
Enfin, nous en arrivons au streaming. Il y a quelques années à peine, il était assez facile d’accéder à des bibliothèques de streaming soumises à des restrictions géographiques. Tout ce que vous aviez à faire était de vous connecter à un serveur VPN situé dans cette région et voilà, un accès instantané au contenu de streaming non disponible dans votre région.
Cependant, les sites de streaming ont commencé à sévir contre cette pratique ces dernières années, et le streaming par VPN n’est plus aussi facile. Bien que certains fournisseurs prétendent fournir un accès, il peut y avoir beaucoup d’essais et d’erreurs – vous devrez peut-être changer de serveur à plusieurs reprises jusqu’à ce que vous en trouviez un qui fonctionne. Les fournisseurs de VPN plus importants et mieux établis sont généralement mieux équipés pour fournir un accès, mais celui-ci ne peut être garanti. Pour cette raison, vous voudrez peut-être désactiver votre VPN lors du streaming, car il n’apportera aucun avantage.
Certains fournisseurs, comme NordVPN, ExpressVPN et Surfshark VPN, parviennent à accorder un accès assez constant, donc c’est encore possible, mais seulement avec une poignée de fournisseurs VPN.
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En France, les écoles d’architecture croulent chaque année sous les demandes d’admission que formulent les lycéens sur ParcourSup. En effet, les écoles reçoivent environ 3000 dossiers de candidatures, pour une jauge moyenne de 130 places. Il est donc très difficile d’y accéder. Résultat : les prépas sont devenues incontournables pour intégrer les écoles d’architecture. Elles sont le sésame pour accéder aux plus prestigieuses institutions.
En quoi les prépas en architecture favorisent-elles le recrutement de ses candidats ? Comment s’y retrouver dans un marché qui regorge de propositions de formation ? Cet article vous donne les clés pour sélectionner la prépa en architecture qui vous aidera à réaliser votre ambition.
Il n’est jamais trop tard pour être diplômé et vivre la joie de celui qui a choisi la meilleure prépa architecture pour réaliser ses rêves d’architecte.
Quel est l’apport des prépas d’architecture ?
Une prépa en architecture s’effectue idéalement l’année de la terminale. La formule la plus courante est celle du stage intensif. Durant 1 semaine, soit 30h de cours, le candidat est accompagné dans la rédaction de sa lettre de motivation, la préparation de son oral et la confection de son portfolio. Autour de ces trois piliers qui fondent ce rapide cursus, les élèves sont informés des identités pédagogiques des 20 ENSA (école nationale supérieure d’architecture) qui composent le paysage français de la formation en architecture. Ils sont aussi guidés dans la stratégie de formulation des vœux sur ParcourSup. Certaines prépas, trouvent aussi le temps d’organiser une ballade urbaine.
Les prépas en architecture proposent aussi un training plus long qui s’étale sur toute l’année, à raison de 3h/semaine chaque samedi. Outre les aspects abordés durant le stage intensif, la prépa annuelle veille à construire la culture architecturale des candidats au travers des lectures, des visites d’exposition et de bâtiments emblématiques d’architecture. La prépa comporte aussi un volet dédié à la sensibilisation artistique (dessin, photographie). L’objectif de cette formation plus longue est de fournir des arguments au projet professionnel.
Quels sont les prix d’une prépa en architecture ?
Un stage intensif se négocie autour de 850€, une prépa annuelle quant à elle se monte à 1950€.
Quels critères pour choisir sa prépa en architecture ?
Le choix d’une prépa en architecture peut s’avérer très stressant et s’assurer de prendre la bonne décision peut souvent sembler une tâche décourageante. De nombreux facteurs peuvent vous guider dans le choix de la prépa architecture la plus qualifiée :
Choisir une prépa spécialisée en architecture :
Le marché de la prépa en architecture a surtout été investi par les écoles d’art. Nous vous conseillons d’opter pour les prépas dédiées à l’architecture. Elles sont mieux informées de ce qui se déroule en école d’architecture et donne un enseignement plus performant. Nous vous recommandons notamment la prépa en architecture Archi Prep’ qui jouit d’une excellente réputation.
La réputation de la prépa
À l’ère du numérique, la réputation en ligne est devenue un aspect crucial dans notre manière de choisir. L’enseignement n’échappe pas à cette règle. Toute structure d’enseignement s’efforce de développer son image et sa présence en ligne et sur les réseaux sociaux. Nous vous conseillons de bien vous renseigner sur chaque prépa. Lisez les avis laissés par les anciens étudiants et leurs parents. Décortiquez notamment les commentaires négatifs.
Le taux de réussite
L’un des premiers critères de sélection d’une classe préparatoire en architecture concerne les résultats qui s’y obtiennent. Une bonne prépa doit afficher un taux d’admission élevé. Il suffit donc de vérifier les diverses communications des prépas par rapport à leurs performances. Vous pourrez ainsi identifier celles qui offrent des formations dignes d’intérêt.
La qualité du corps enseignant :
Vous pouvez vous fier à la renommée des enseignants de la prépa. S’ils disposent d’une solide expérience d’enseignement, ils seront certainement à même de répondre à toutes vos préoccupations. Renseignez-vous donc à ce sujet pour avoir la garantie d’une bonne formation.
L’assurance de bénéficier d’un suivi individualisé :
Choisissez une prépa qui garantit des classes avec de petits effectifs, c’est l’assurance de bénéficier de toute l’attention dont votre candidature a besoin.
Nous vous avons présenté un panel de critères objectifs, mais n’oubliez pas l’importance du contact humain et du ressenti. Nous vous invitons fortement à vous déplacer aux journées portes ouvertes et à échanger avec les enseignants et les élèves. Surtout méfiez-vous des beaux discours !
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En 2015, l’ONU et ses 193 pays membres ont adopté les ambitieux Objectifs de développement durable (ODD en français, SDG en anglais pour Sustainable Development Goals) un plan sur 15 ans qui aborde 17 problèmes mondiaux et interconnectés, notamment la réduction de la pauvreté et de la faim, la fin de la discrimination et la prévention des conséquences à long terme du changement climatique. Ils sont considérés comme le plan directeur pour parvenir à un avenir meilleur et plus durable pour tous et, pour citer l’ONU : pour sauver le monde.
Les 17 objectifs de développement durable : Éradication de la pauvreté ; Lutte contre la faim ; Accès à la santé ; Accès à une éducation de qualité ; Égalité entre les sexes ; Accès à l’eau salubre et à l’assainissement ; Recours aux énergies renouvelables ; Accès à des emplois décents ; Bâtir une infrastructure résiliente, promouvoir une industrialisation durable qui profite à tous et encourager l’innovation ; Réduction des inégalités ; Villes et communautés durables ; Consommation et production responsables ; Lutte contre le changement climatique ; Vie aquatique ; Vie terrestre ; Justice et paix ; Partenariats pour la réalisation des objectifs.
Combiner les facteurs sociaux, économiques et environnementaux pour s’attaquer aux problèmes majeurs de notre époque signifie que les solutions recherchées ont plus de chances d’être bénéfiques à long terme et ne se feront pas au détriment de l’environnement, de la justice sociale ou des droits de l’homme.
Cela représente un changement important par rapport aux approches précédentes qui faisaient une distinction entre les objectifs économiques, environnementaux et sociaux. Bien que chaque objectif ait ses propres cibles à atteindre, le plan d’action de 15 ans décrit dans le programme 2030 vise également à s’éloigner d’une mise en œuvre cloisonnée en reconnaissant la nature interconnectée des problèmes mondiaux et la nécessité d’approches conjointes.
Les ODD reconnaissent que la croissance économique, l’inclusion sociale et la protection de l’environnement sont étroitement liées et que, pour atteindre ces objectifs, il faut les aborder ensemble afin de créer un changement durable et positif. La pauvreté et la faim dans le monde sont indissociables du changement climatique et de la dégradation de l’environnement. La nécessité d’une croissance économique durable va de pair avec celle de créer des sociétés plus équitables et pacifiques.
L’objectif est que les gouvernements, ainsi que les parties prenantes du secteur privé, de la société civile, du monde universitaire et de la communauté, adhèrent à ces ODD et travaillent en partenariat pour les atteindre d’ici 2030. Les objectifs vont au-delà de la simple création de changements. Ils visent à bouleverser les conversations et les approches mondiales des problèmes qui affectent les populations et la planète depuis des années.
Schéma représentant le développement durable, à l’intersection des trois pôles : social, économique et écologique.
Les ODD s’appliquent à tous les pays, qu’ils soient développés ou en développement ; chaque pays apportera sa contribution, en fonction des défis qui lui sont propres et des ressources disponibles. À dix ans de l’échéance, un effort mondial ambitieux est en cours pour tenir la promesse de 2030, en accélérant la mise en œuvre de solutions durables à tous les grands défis mondiaux, de la pauvreté à l’égalité des sexes en passant par le changement climatique, les inégalités et la réduction du déficit financier.
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La lyophilisation, anciennement appelée cryodessiccation, est un procédé d’élimination de l’eau (la dessiccation) généralement utilisé pour conserver des matières périssables, dans le but de prolonger leur durée de conservation et/ou de les préparer au transport. La lyophilisation consiste à congeler le produit, puis à réduire la pression et à ajouter de la chaleur pour permettre à l’eau gelée du produit de se transformer directement en vapeur (sublimation). Une fois l’aliment ou le produit lyophilisé, il suffit de le réhydrater avec un liquide (eau, lait,…) pour qu’il retrouve sa forme, son goût et sa couleur.
⚡ En bref : La lyophilisation expliquée
Un procédé en trois phases : la lyophilisation élimine l’eau par sublimation (passage direct du solide au gaz) en trois étapes : congélation (-20°C à -80°C), séchage primaire sous vide où 95% de l’eau se sublime, et séchage secondaire qui élimine l’humidité résiduelle jusqu’à 1-5%. Le produit conserve sa forme et sa structure poreuse.
Conservation exceptionnelle des nutriments : les aliments lyophilisés conservent 97% de leurs valeurs nutritionnelles, contre seulement 40% pour la mise en conserve et 60% pour la déshydratation classique. Les basses températures préservent vitamines, minéraux, saveurs et textures mieux que toute autre méthode de conservation.
Durée de vie maximale : correctement conditionnés, les aliments lyophilisés se conservent 10 à 25 ans, soit 20 ans de plus que les conserves (3 ans), les aliments déshydratés (4 ans) ou congelés (2 ans). Utilisé depuis 1906, ce procédé équipe notamment les astronautes et les randonneurs.
Lorsque des produits solides comme les fraises sont lyophilisés, la forme originale du produit est conservée. Si le produit à lyophiliser est un liquide, comme c’est souvent le cas dans les applications pharmaceutiques, les propriétés du produit final sont optimisées par la combinaison d’excipients (c’est-à-dire d’ingrédients inactifs). Les principales applications de la lyophilisation comprennent la biologie (par exemple, les bactéries comme la spiruline, et les levures), la biomédecine (par exemple, les greffes chirurgicales), la transformation des aliments (par exemple, le café) et la conservation.
Des fraises lyophilisées, aliment notoire de la nourriture des astronautes.
Comment fonctionne la lyophilisation ?
La lyophilisation se déroule en trois phases :
Congélation
Séchage primaire (sublimation)
Séchage secondaire (adsorption)
Une lyophilisation correcte peut réduire les temps de séchage de 30 %.
Phase de congélation
La congélation est la phase la plus critique de la lyophilisation, et il existe de nombreuses méthodes pour la réaliser. La congélation peut se faire dans un congélateur, un bain réfrigéré (congélateur en coquille) ou sur une étagère dans le lyophilisateur. Le fait de refroidir le matériau en dessous de son point triple garantit que la sublimation, plutôt que la fusion, se produira. Cela préserve sa forme physique. La congélation s’effectue entre -20°C et -80°C.
Le point triple est un point où coexistent trois phases différentes : solide, liquide et gazeuse. Ce point intervient à une pression et à une température précise;
La lyophilisation est plus facile à réaliser avec de gros cristaux de glace, qui peuvent être produits par une congélation lente ou un recuit. Cependant, avec les matériaux biologiques, lorsque les cristaux sont trop gros, ils risquent de briser les parois cellulaires, ce qui entraîne des résultats de lyophilisation moins qu’optimaux. Pour éviter cela, la congélation se fait rapidement. Pour les matériaux qui ont tendance à précipiter, on peut utiliser le recuit. Ce procédé implique une congélation rapide, puis une augmentation de la température du produit pour permettre la croissance des cristaux.
Phase de séchage primaire (sublimation)
La deuxième phase de la lyophilisation est le séchage primaire (sublimation), au cours duquel la pression est abaissée et la chaleur est ajoutée au matériau afin que l’eau se sublime. Le vide accélère la sublimation. Le condenseur froid fournit une surface à laquelle la vapeur d’eau peut adhérer et se solidifier. Le condenseur protège également la pompe à vide de la vapeur d’eau. Environ 95 % de l’eau contenue dans le matériau est éliminée au cours de cette phase. Le séchage primaire peut être un processus lent. Une chaleur trop importante peut altérer la structure du matériau.
Phase de séchage secondaire (adsorption)
La dernière phase de la lyophilisation est le séchage secondaire (adsorption), au cours duquel les molécules d’eau liées aux ions sont éliminées. En élevant la température à un niveau supérieur à celui de la phase de séchage primaire, les liaisons sont rompues entre le matériau et les molécules d’eau. Les matériaux lyophilisés conservent une structure poreuse. Une fois le processus de lyophilisation terminé, le vide peut être rompu avec un gaz inerte avant que le matériau ne soit scellé. La plupart des matériaux peuvent être séchés jusqu’à 1-5% d’humidité résiduelle.
Les aliments lyophilisés conservent-ils leurs nutriments ?
En raison de la basse température utilisée dans le traitement, la qualité du produit réhydraté est excellente. Les aliments lyophilisés sont aussi sains que lorsqu’ils étaient frais. Les aliments lyophilisés conservent 97% des nutriments par rapport à d’autres méthodes de conservation des aliments telles que la mise en conserve qui ne conserve que 40% ou la déshydratation qui ne conserve que 60%.
Les autres méthodes de conservation des aliments, comme la mise en conserve et la déshydratation, utilisent des températures plus élevées qui dégradent la valeur nutritive des aliments. Une fois réhydratés, les aliments lyophilisés conservent 97 % de la valeur nutritionnelle qu’ils avaient lorsqu’ils étaient frais. La plus grande perte de nutriments que vous constaterez au cours du processus de lyophilisation/réhydratation est celle des vitamines A, C et E.
La lyophilisation conserve une grande partie de la saveur et de la texture d’origine lorsqu’elle est réhydratée. Les aliments lyophilisés ne rétrécissent pas. Elle ne rend pas non plus les aliments durs. Les aliments lyophilisés, s’ils sont conservés correctement, ont une durée de vie de 10 à 25 ans. Jusqu’à 20 ans de plus que les autres méthodes de conservation telles que la mise en conserve (3 ans en moyenne), la déshydratation (4 ans en moyenne), ou encore la congélation (2 ans en moyenne).
La lyophilisation existe depuis longtemps. Elle existe depuis 1906 et a été perfectionnée au fil des ans pour maintenir les aliments à leur niveau nutritionnel optimal tout en conservant leur goût. Les aliments lyophilisés contiennent peu ou pas de conservateurs ou d’additifs. Les aliments lyophilisés utilisent de vrais aliments et ingrédients.
Conclusion : la lyophilisation, championne de la conservation alimentaire
La lyophilisation représente aujourd’hui la méthode de conservation alimentaire la plus performante, alliant préservation nutritionnelle exceptionnelle et durée de stockage record. En éliminant l’eau par sublimation plutôt que par évaporation, ce procédé ingénieux maintient intacte la structure cellulaire des aliments, préservant ainsi 97% de leurs nutriments originaux là où les méthodes traditionnelles en perdent la majorité.
Le secret réside dans l’utilisation de températures extrêmement basses qui évitent la dégradation des vitamines, minéraux et composés aromatiques. Cette performance technique explique pourquoi la lyophilisation équipe les astronautes dans l’espace, les randonneurs en expédition, et trouve des applications cruciales dans l’industrie pharmaceutique pour la conservation de vaccins et médicaments sensibles.
Avec une durée de conservation pouvant atteindre 25 ans sans additifs ni conservateurs, les aliments lyophilisés offrent une autonomie alimentaire inégalée. Bien que le procédé soit plus coûteux que les méthodes conventionnelles, son rapport qualité-conservation en fait une solution d’avenir pour la sécurité alimentaire, la réduction du gaspillage et la préservation optimale de la valeur nutritionnelle de nos aliments.
FAQ : Tout savoir sur la lyophilisation
Quelle est la différence entre lyophilisation et déshydratation ?
La lyophilisation congèle l’aliment puis élimine l’eau par sublimation (passage direct du solide au gaz) sous vide, à très basse température. La déshydratation classique utilise de la chaleur (40-70°C) pour évaporer l’eau. Résultat : la lyophilisation conserve 97% des nutriments contre 60% pour la déshydratation, préserve mieux la forme, la texture et le goût, et offre une durée de conservation 5 fois supérieure. En revanche, la lyophilisation est plus coûteuse et nécessite un équipement industriel sophistiqué.
Peut-on lyophiliser des aliments à la maison ?
Techniquement oui, mais c’est complexe et coûteux. Des lyophilisateurs domestiques existent (2000-5000€), mais restent des investissements conséquents. Une alternative artisanale consiste à utiliser la congélation sous vide en plaçant les aliments au congélateur dans un récipient sous vide, mais les résultats sont bien moins efficaces qu’avec un vrai lyophilisateur. Pour la plupart des gens, acheter des aliments déjà lyophilisés reste plus pratique et économique.
Tous les aliments peuvent-ils être lyophilisés ?
La plupart des aliments se lyophilisent bien, mais certains posent problème. Les aliments riches en sucre (miel, confiture, chocolat) ou en graisse (beurre, huiles, viandes grasses) ne se lyophilisent pas correctement car ces composants ne contiennent pas d’eau et restent collants. Les aliments à forte teneur en eau (fruits, légumes, viandes maigres, café, herbes) donnent d’excellents résultats. Les produits laitiers, les œufs, et les plats cuisinés se lyophilisent également très bien.
Comment réhydrater correctement un aliment lyophilisé ?
Ajoutez simplement de l’eau froide ou chaude selon l’aliment, en quantité égale au poids d’eau initial (généralement indiqué sur l’emballage). Les fruits réhydratent en 5-10 minutes, les légumes en 10-15 minutes, les viandes en 15-20 minutes. L’eau chaude accélère le processus. Certains aliments comme les fraises lyophilisées peuvent se consommer directement sans réhydratation, comme des chips croustillantes. Ne sur-réhydratez pas : l’aliment deviendrait pâteux.
Pourquoi les aliments lyophilisés sont-ils si légers ?
Parce que l’eau représente 70 à 95% du poids des aliments frais. En éliminant toute cette eau, le poids diminue drastiquement : 100g de fraises fraîches deviennent environ 8-10g de fraises lyophilisées. Cette légèreté explique l’utilisation massive dans l’aérospatiale, la randonnée et les rations militaires. Un repas complet lyophilisé pèse 100-200g contre 500-800g pour son équivalent frais ou en conserve.
Les aliments lyophilisés ont-ils le même goût que les aliments frais ?
Une fois réhydratés, les aliments lyophilisés retrouvent 95-98% de leur goût original, nettement supérieur aux conserves ou aux aliments déshydratés classiques. Les basses températures du procédé préservent les composés aromatiques volatils. Cependant, la texture peut légèrement différer : certains aliments deviennent plus tendres, d’autres légèrement moins croquants. Les fraises, par exemple, sont moins fermes mais conservent parfaitement leur parfum sucré.
Combien de temps peut-on vraiment conserver des aliments lyophilisés ?
Dans des conditions optimales (emballage hermétique avec absorbeur d’oxygène, température fraîche et stable, à l’abri de la lumière), les aliments lyophilisés se conservent 10 à 25 ans, voire 30 ans pour certains produits. Une fois l’emballage ouvert, consommez dans les 6-12 mois en refermant hermétiquement après chaque usage. Les signes de dégradation incluent : odeur rance, changement de couleur important, ou perte de croustillant (signe d’absorption d’humidité).
La lyophilisation est-elle écologique ?
C’est mitigé. Avantages : réduction massive du gaspillage alimentaire, transport plus léger (moins de CO2), pas de chaîne du froid nécessaire, conservation sans additifs chimiques. Inconvénients : procédé très énergivore (consommation électrique élevée pour le vide et la congélation), coût environnemental de fabrication des équipements sophistiqués. Bilan : écologique si utilisée pour éviter le gaspillage de surplus alimentaires, moins si elle remplace systématiquement des aliments frais locaux.
Pourquoi les aliments lyophilisés coûtent-ils plus cher ?
Le processus est complexe et énergivore : équipement industriel coûteux (lyophilisateurs valant plusieurs centaines de milliers d’euros), consommation électrique importante, temps de traitement long (12-48h selon les produits), main-d’œuvre qualifiée, et conditionnement spécial sous vide avec absorbeurs d’oxygène. Ces coûts se répercutent sur le prix final. Cependant, rapporté à la durée de conservation et au poids (très réduit), le coût réel reste compétitif pour certains usages spécifiques.
Les astronautes mangent-ils vraiment des aliments lyophilisés ?
Oui, depuis les années 1960. La NASA utilise massivement la lyophilisation pour ses missions spatiales : légèreté cruciale (chaque kilo économisé = des milliers d’euros), conservation sans réfrigération (impossible dans l’espace), réhydratation facile avec l’eau recyclée à bord. Les glaces lyophilisées des astronautes sont d’ailleurs célèbres : elles se consomment directement sous forme solide et fondent dans la bouche. Les agences spatiales modernes (ESA, SpaceX) continuent d’utiliser cette technologie.
Peut-on lyophiliser des plats cuisinés complets ?
Absolument, c’est même une application majeure. Les plats cuisinés lyophilisés (bœuf bourguignon, curry, pâtes à la carbonara) conservent parfaitement leurs saveurs et se réhydratent en 10-15 minutes avec de l’eau chaude. L’industrie outdoor (randonnée, alpinisme) propose des centaines de recettes lyophilisées. Limites : les sauces très grasses ou sucrées peuvent rester collantes, et certaines textures (pâtes, riz) deviennent légèrement plus molles qu’à l’état frais.
La lyophilisation détruit-elle les vitamines ?
Très peu. La lyophilisation préserve 95-98% des vitamines, minéraux et antioxydants. Les principales pertes concernent les vitamines thermosensibles (A, C, E) qui diminuent de 3-5%, ce qui reste négligeable comparé aux pertes de 50-80% lors de la mise en conserve ou du séchage à chaud. Les vitamines B, la vitamine K, les minéraux (fer, calcium, magnésium) et les protéines restent quasiment intacts. La lyophilisation est la méthode de conservation qui préserve le mieux la valeur nutritionnelle.
Les animaux peuvent-ils manger des aliments lyophilisés ?
Oui, l’industrie des aliments pour animaux utilise la lyophilisation, notamment pour les croquettes premium et les friandises. Les chats et chiens apprécient particulièrement les viandes lyophilisées (poulet, bœuf, poisson) qui conservent intensément leur goût et leur odeur. Les propriétaires de reptiles, oiseaux et poissons d’aquarium utilisent aussi des insectes et proies lyophilisées. Avantage : conservation longue sans réfrigération et valeur nutritionnelle optimale.
Existe-t-il des alternatives à la lyophilisation pour une longue conservation ?
Oui, plusieurs méthodes existent mais avec des compromis : la déshydratation classique (moins chère, mais nutriments et goût moins bien conservés), la stérilisation/conserves (pratique, mais altère texture et goût), la congélation (bonne préservation mais nécessite électricité continue et durée limitée à 1-2 ans), le séchage au soleil (gratuit mais résultats variables), et la conservation sous vide (prolonge de quelques semaines seulement). La lyophilisation reste inégalée pour combiner durée maximale, qualité nutritionnelle et préservation des saveurs.
Comment savoir si un aliment lyophilisé est encore bon ?
Vérifiez l’emballage : s’il est gonflé (entrée d’air), l’aliment est compromis. Un aliment lyophilisé sain doit être croustillant et léger. Signes de détérioration : aspect collant ou mou (absorption d’humidité), odeur rance ou désagréable, couleur très altérée (brunissement excessif), présence de moisissures (rare mais possible si humidité). En cas de doute, testez une petite quantité réhydratée : si le goût est normal, l’aliment reste consommable. Les dates « meilleur avant » sont conservatrices ; bien stockés, les produits restent bons au-delà.
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Un expert en développement durable est chargé de coordonner les projets et initiatives de développement durable. Il est employé pour aider les entreprises et les organisations à trouver un équilibre entre responsabilité environnementale, efficacité commerciale et respect des normes sociales. Plus encore, l’expert en développement durable peut aider à remplir les 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU pour 2030.
A travers cet article, comprenez quelles sont les compétences recherchées pour devenir expert ou spécialiste en développement durable, le parcours scolaire à effectuer, et enfin les fonctions et tâches à réaliser dans le milieu professionnel.
Schéma représentant le développement durable, à l’intersection des trois pôles : social, économique et écologique.
Quelles études pour devenir un spécialiste du développement durable ?
Pour devenir un expert du développement durable, vous devez généralement être titulaire d’un diplôme en sciences de l’environnement. Ces matières mettent fortement l’accent sur les compétences statistiques et analytiques. Des matières préalables, ou des connaissances supposées, dans un ou plusieurs des domaines suivants : anglais, mathématiques, chimie et physique, sont normalement exigées. Les universités ont des conditions préalables différentes et certaines ont des conditions d’entrée souples ou proposent des études en ligne ou en élève libre. Contactez les établissements qui vous intéressent pour plus d’informations, comme l’école ESI Business school par exemple.
Une formation complète sanctionnée par un diplôme a une équivalence BAC+5.
Quelles sont les qualités et compétences personnelles à avoir pour être expert du développement durable ?
Il y a quatre compétences fondamentales à maîtriser pour effectuer ce travail :
Il convient tout d’abord d’avoir une bonne compréhension de l’écrit, puis d’avoir une capacité à travailler efficacement au sein d’une équipe, ensuite de nourrir une passion réelle pour l’environnement et enfin d’avoir un bon sens de l’organisation.
Quelles sont les fonctions et les tâches d’un expert en développement durable ?
Si vous envisagez de faire des études afin de devenir spécialiste en développement durable, vous serez amené à réaliser les tâches et à exercer les responsabilités suivantes :
Créer et superviser des projets de développement durable.
Proposer des initiatives de développement durable en fonction de leur coût et de leur faisabilité.
Interagir avec des professionnels du développement durable pour coordonner les objectifs et les stratégies des projets.
Fournir un soutien administratif pour les questions environnementales.
Travailler avec les entreprises pour réduire leurs émissions de carbone.
Organiser des activités de bénévolat dans le domaine de l’environnement
Améliorer la chaîne de production d’une entreprise pour utiliser des matériaux recyclables (pour les emballages, par exemple).
Réduire la consommation d’eau et d’électricité d’une entreprise.
Quelles sont les conditions de travail d’un expert du développement durable ?
Les experts en développement durable travaillent généralement dans des bureaux, des laboratoires ou des installations industrielles. Ils peuvent passer du temps à l’extérieur à surveiller ou à diriger des opérations, ou à résoudre des problèmes sur place.
L’expert en développement durable peut travailler dans le secteur privé ou le secteur public, où il produit des rapports et des analyses. Son travail peut contribuer aux changements de politiques et aux décisions d’affaires, ainsi qu’à l’éducation des salariés, des clients, ou de la population dans une acception plus large. Dans le secteur privé, il peut être employé par un large éventail d’industries, fournissant des rapports et des solutions qui peuvent influencer les activités et la rentabilité d’une entreprise. Au sein du gouvernement, un spécialiste du développement durable peut travailler sur des rapports destinés à orienter les décisions réglementaires et les projets d’infrastructure.
Astuces pour un bon début de carrière dans le développement durable
L’entrée dans le monde professionnel est parfois compliquée si la formation n’est pas accompagnée d’une immersion dans le milieu du travail.
Pour ce faire, il convient de suivre un programme de formation, un stage ou de réaliser un projet de fin d’études sur le terrain.
En suivant un programme de formation, un stage ou en réalisant un projet de fin d’études sur le terrain, vous démontrez que vous pouvez appliquer vos connaissances en matière de développement durable à des situations réelles. Si vous allez à l’université, demandez à votre professeur quelles sont les possibilités de formation qui s’offrent à vous. Vous pourrez peut-être obtenir un stage par l’intermédiaire de la faculté ou vous mettre en relation avec une organisation pertinente hors campus. Pensez à inclure dans votre CV tout projet ou tout stage afin de montrer votre expérience.
En plus des stages et des projets de fin d’étude, envisagez d’obtenir des certifications. Divers programmes forment des experts professionnels en développement durable, en leur enseignant des sujets tels que l’audit des déchets et l’engagement des parties prenantes. Une fois que vous avez suivi un cours auprès d’une organisation réputée, vous pouvez obtenir une certification officielle qui démontre vos connaissances en matière de durabilité.
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Nous avons tous fait partie d’une organisation, quelle qu’elle soit. Et selon la façon dont l’organisation gère ses affaires, il peut s’agir d’une organisation informelle ou formelle. Il existe différents types d’organisations. Alors que certaines sont formées pour générer des profits, d’autres le sont pour des raisons sociales. Connaître les différences entre les organisations formelles et informelles aide les individus à savoir quelles règles suivre et quel est le point d’autorité. Dans cet article, nous allons explorer la différence entre les organisations formelles et informelles.
Une organisation formelle est un groupe de personnes ayant une relation formelle, des politiques et des règles écrites et visant à atteindre un objectif commun. Les organisations formelles sont fondées sur la conformité. En tant que telles, elles disposent d’une structure d’autorité.
L’objectif d’une organisation formelle est la réalisation d’un ensemble d’objectifs. Il peut s’agir de réaliser des bénéfices, de dispenser une éducation, de fournir une assistance médicale à un groupe de personnes ou de gouverner. Dans ces contextes, chaque membre se voit confier des tâches, telles que déléguées par les personnes en autorité. La responsabilité est également une caractéristique majeure des organisations formelles, l’incapacité à accomplir les tâches fixées entraînant une réaction.
Il existe différents types d’organisations formelles, notamment les organisations de type hiérarchique et personnel, hiérarchique, matricielle, de gestion de projet et fonctionnelle.
Quelles sont les caractéristiques d’une organisation formelle ?
Règles et règlements : Les organisations formelles ont un ensemble de règles et de règlements qui doivent être suivis par tous.
Interrelations définies : Les organisations formelles ont des interrelations mutuelles et définies entre les employés et les clients qui sont établies par la hiérarchie.
Stabilité : Les organisations formelles ont des conditions de travail stables puisqu’elles doivent atteindre un objectif donné.
Division du travail : Les organisations formelles se caractérisent par une division du travail par le biais des départements établis. Cela renforce la structure et le bon fonctionnement d’une entité.
Les organisations informelles
Il s’agit d’une organisation qui se forme lorsqu’un groupe de personnes interagit, développe des connexions et forme une entité via des interactions mutuelles. Comme les organisations formelles, les organisations informelles ont également une structure qui dépend des relations, des normes et des affiliations des membres. Les membres collaborent également en fonction de leurs capacités et de leurs aptitudes à atteindre l’objectif souhaité.
Quelles sont les caractéristiques d’une organisation informelle
Canaux de communication non formels : La plupart des organisations informelles disposent de canaux de communication indépendants. Et dans la plupart des cas, ils sont informels. Par exemple, un appel suffit pour transmettre une communication d’une personne de rang inférieur à une personne de rang supérieur.
Pas de règles et de règlements : Une organisation informelle est gérée sur la base des interactions personnelles des personnes.
Instabilité : Les organisations informelles ne sont pas stables. En tant que telles, les gens peuvent partir sans beaucoup de règlements.
Similitudes entre les organisations formelles et informelles
Toutes deux rassemblent un groupe de personnes ayant un objectif commun.
Différences entre une organisation formelle et informelle
Une organisation formelle est un groupe de personnes qui entretient une relation formelle, qui a défini des politiques et des règles écrites et qui poursuit un objectif commun. D’autre part, une organisation informelle est une organisation qui se forme lorsqu’un groupe de personnes interagit, développe des liens et forme une entité par le biais d’interactions mutuelles.
Les organisations formelles sont formées pour atteindre un certain nombre d’objectifs. D’autre part, si les organisations informelles ont des objectifs à atteindre, ceux-ci ne sont pas toujours définis.
Alors que les organisations formelles ont une hiérarchie d’autorité claire et documentée, les organisations informelles n’ont pas de structure d’autorité claire.
Les organisations formelles ont des structures de communication claires qui sont définies par la chaîne de commandement. En revanche, les organisations informelles n’ont pas de canaux de communication clairs, ce qui signifie qu’une personne de rang inférieur peut communiquer directement avec une personne de rang supérieur.
Les organisations formelles sont délibérément créées par une équipe de gestionnaires. En revanche, les organisations informelles sont créées spontanément par quelques membres.
Les organisations formelles sont dotées d’un plan bien pensé qui assure leur stabilité. En revanche, les organisations informelles ne sont pas stables.
Les organisations formelles sont régies par un ensemble de lois et de règlements. En revanche, les organisations informelles sont régies par des valeurs, des normes et des croyances.
Alors que les organisations formelles se concentrent sur l’exécution du travail, les organisations informelles se concentrent principalement sur les relations interpersonnelles.
En conclusion
Une organisation formelle est un groupe de personnes ayant une relation formelle, des politiques et des règles écrites et un objectif commun. Les organisations formelles sont formées pour atteindre un objectif spécifique. En tant que telles, elles ont tendance à être plus performantes que les autres types d’organisations. D’autre part, une organisation informelle est une organisation qui se forme lorsqu’un groupe de personnes interagit, développe des liens et forme une entité via des interactions mutuelles. Bien qu’elles aient des objectifs à atteindre, ceux-ci ne sont pas toujours définis.
Il est fréquent qu’a sein d’une organisation formelle se mette en place une organisation informelle, notamment dans le cadre du personnel.
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