Bienvenue sur JeRetiens : votre mini-encyclopédie pour tout comprendre, mieux mémoriser et enrichir votre culture générale

Depuis 2007, JeRetiens s’est imposé dans l’espace francophone comme incontournable pour l’apprentissage, la mémorisation et la culture générale. Avec nos 1331 articles détaillés, nous abordons autant les techniques mnémotechniques que des sujets d’encyclopédie : grands récits historiques, faits insolites, traditions culturelles, religion, linguistique, et bien plus encore. Totalement gratuit, notre site se veut à la fois pédagogique et ludique, offrant à chacun la possibilité d’apprendre, de comprendre et de retenir à son rythme.

Pourquoi JeRetiens est unique ?

Nous croyons que la curiosité est le moteur principal de la connaissance. Que vous cherchiez à améliorer votre mémoire, à approfondir votre culture générale ou simplement à découvrir de nouveaux sujets, vous trouverez chez nous un large éventail de contenus : de la polémologie à l’irénologie, de la bienséance à l’alphabet arabe, des sourates de l’islam aux capitales du monde, en passant par les douze travaux d’Hercule et de nombreuses anecdotes culturelles. Dans cette mini-encyclopédie, nous mettons l’accent sur la pédagogie, les exemples concrets et les astuces mémos pour rendre chaque lecture utile et passionnante.

Explorez notre sélection des meilleurs articles

Avec plus de 1240 contenus inédits, il peut être difficile de savoir par où commencer ! C’est pourquoi nous avons créé une rubrique dédiée : Les meilleurs articles. Vous y trouverez des dossiers approfondis sur des thèmes variés : par exemple, comprendre les souvenirs d’enfance, décrypter la fonction des rêves, revisiter des chapitres marquants de l’histoire, ou encore vous familiariser avec des codes culturels du monde entier. Nous vous recommandons également de consulter nos articles de fond sur la religion et la spiritualité, dont certains consacrés à la lecture et à la mémorisation des sourates, ou encore aux traditions bouddhistes. De la mythologie gréco-romaine aux coutumes du Moyen-Âge, en passant par des fiches sur la bienséance au quotidien, il y en a pour tous les goûts.

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Mémorisation : plus de 3500 moyens mnémotechniques

Parce que retenir facilement n’est pas qu’une question de talent, JeRetiens vous propose des moyens mnémotechniques originaux et accessibles à tous. Vous utilisez déjà, sans le savoir, des phrases-clés ou des images mentales (comme « Mais où est donc OrNiCar ? » ou les poings pour savoir si un mois a 30 ou 31 jours). Nous allons encore plus loin : nos méthodes vous aideront à assimiler des listes de mots, apprendre de nouveaux alphabets (par exemple l’alphabet arabe), mémoriser les capitals du monde, ou encore retenir des séquences complexes comme les sourates et leurs versets, le tout de manière ludique. Notre objectif ? Vous permettre de gagner du temps dans vos études, votre vie professionnelle ou simplement pour nourrir votre passion du savoir.

Des articles de fond pour nourrir votre culture générale

En parallèle des techniques de mémorisation, JeRetiens s’est aussi développé comme un média d’explications pédagogiques. Chaque article se veut à la fois précis et illustré d’exemples concrets. Vous pourrez ainsi explorer l’anatomie du cerveau, découvrir pourquoi nous n’avons que peu de souvenirs de la petite enfance, ou comment fonctionne la répétition espacée pour ancrer vos connaissances. Nous abordons également des sujets variés comme la bienséance et le savoir-vivre, l’évolution de certaines coutumes et même des réflexions sur la spiritualité, la littérature et l’étymologie.

Énigmes, quiz et casse-têtes : amusez-vous en apprenant

Pour rendre l’apprentissage plus amusant, nous proposons aussi des énigmes et casse-têtes. Vous y trouverez des défis logiques, des rébus, des devinettes historiques ou littéraires, et bien d’autres jeux qui feront travailler vos méninges tout en enrichissant votre culture générale. De nombreuses énigmes sont accompagnées de solutions explicatives et de pistes mnémotechniques pour progresser.

Une mini-encyclopédie gratuite, en constante évolution

Avec ses centaines de sujets, JeRetiens a évolué pour devenir une véritable base de connaissances en ligne. Notre plateforme est entièrement gratuite et résulte d’un travail collaboratif : chacun peut proposer ses propres trucs mnémotechniques, enrichir des articles existants ou suggérer de nouveaux thèmes à aborder. Au fil des ans, ce sont 17 ans d’articles, de retours de lecteurs et d’astuces testées qui alimentent ce site. Nous croyons que la connaissance doit être partagée librement pour que chacun puisse progresser et s’ouvrir à de nouveaux horizons.

Nos dernières publications

Si vous êtes un peu perdu, commencez par parcourir nos meilleurs articles : vous y trouverez nos coups de cœur et des textes de fond qui traitent aussi bien de mythologie, de religion, de science ou d’éducation. Nous mettons à jour régulièrement l’article du mois, pour mettre en lumière des sujets phares, des méthodes innovantes ou des découvertes insolites. Pensez également à jeter un œil aux nouveautés pour profiter de contenus encore frais !
Au passage, pour en savoir plus sur l’architecture, découvrez cet article ou celui-ci, qui explorent différents styles et techniques de construction.

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Du savoir pour tous : voyagez entre apprentissage et culture générale

Que vous soyez passionné d’histoire, avide de connaissances bibliques ou coraniques, amateur de mythologies ou de coutumes du monde, curieux de mieux apprendre une langue (avec par exemple l’alphabet arabe), ou simplement en quête d’une bonne méthode pour retenir vos cours, vous trouverez forcément votre bonheur dans notre mini-encyclopédie. Chaque article a pour vocation de vous fournir un contenu de fond, tout en vous proposant des moyens mnémotechniques lorsque c’est pertinent.

Prêt à enrichir votre culture et booster votre mémoire ? Parcourez nos articles !

Grâce à ses multiples facettes – culture générale, mémoire, techniques d’apprentissage et sujets de fond –, JeRetiens vous offre un espace de découverte et d’entraînement intellectuel sans égal. Lancez-vous dans l’exploration de nos moyens mnémotechniques, testez votre logique dans nos énigmes, ou commencez par nos articles phares pour un aperçu de la richesse de notre contenu. Vous découvrirez vite que la curiosité et le plaisir d’apprendre sont les plus belles clés pour retenir et comprendre le monde qui nous entoure.

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Votre CV est le premier interlocuteur entre vous et votre futur employeur. Il doit être succinct et présenté dans un format facile à lire, avec une police simple, un style minimaliste et l’utilisation de points pour décomposer les informations.

Pour que votre CV se distingue, suivez la structure recommandée et les conseils ci-dessous et vous aurez les clés pour faire un bon CV.

Exemple de présentation de CV / Modèle de curriculum vitae
Exemple de présentation de CV / Modèle de curriculum vitae

Commencez par le nom, l’adresse et les coordonnées

Indiquez les principales coordonnées auxquelles les employeurs potentiels pourront vous joindre facilement et à tout moment. Veillez à ce que ces coordonnées soient présentées clairement et figurent en haut de votre CV.

Conseil : incluez un lien vers votre profil LinkedIn à jour dans vos informations d’introduction.

Présentez-vous

C’est ici que vous devez résumer et souligner ce que vous pouvez offrir à un employeur potentiel. Résumez les points forts de votre carrière qui attireront l’attention sur ce que vous avez accompli. Cette présentation doit être adaptée à chaque poste auquel vous postulez et viser à vous démarquer de la concurrence.

Résumez vos compétences

Utilisez de brèves puces pour énumérer les compétences et l’expérience que vous possédez et qui sont spécifiques et pertinentes pour le poste. Les responsables du recrutement parcourront très rapidement cette section de votre CV pour voir ce que vous pouvez offrir et si vous êtes adapté au poste.

Conseil : dans la mesure du possible, utilisez les mêmes adjectifs que ceux utilisés dans l’annonce.

Mettez en évidence votre expérience pertinente

Cette section doit inclure vos antécédents professionnels dans l’ordre chronologique le plus récent, y compris les emplois rémunérés, le bénévolat ou les stages en entreprise. Il est important d’adapter cette section de votre CV au poste à pourvoir, en particulier lorsque les responsabilités clés des postes précédents sont applicables à votre candidature.

Conseil : mettez en évidence la façon dont vous avez surmonté les défis, tant sur le plan personnel que sur celui de l’équipe.

Nos astuces pour faire un CV quand on n’a pas d’expérience.

Mettez en avant vos réalisations

Votre CV est l’occasion de vous vendre et de souligner pourquoi vous êtes le meilleur candidat pour le poste. Il est donc important d’indiquer les cas où vous vous êtes surpassé ou avez accompli une réalisation importante.

Lorsque les réalisations sont mesurables, n’oubliez pas d’indiquer les chiffres, comme l’augmentation de 10 % des ventes par rapport aux objectifs.

Énumérez toute formation, tout enseignement et tout cours

N’indiquez que ce qui est pertinent ou requis pour le poste auquel vous postulez, en commençant par le plus récent. Il est important de mettre en évidence les domaines dans lesquels vous vous êtes perfectionné ou qui pourraient apporter de nouvelles connaissances à l’organisation.

Nos astuces pour rédiger un CV quand on n’a pas de diplôme.

Mentionnez vos intérêts et hobbies (facultatif)

C’est ici que vous pouvez mettre en évidence votre personnalité et vos éventuels passe-temps ou intérêts en dehors du travail. Notez que cette mention est facultative dans votre CV et qu’il vaut mieux éviter de mentionner quoi que ce soit qui pourrait causer des frictions dès le départ.

Des références sont disponibles sur demande

Vous pouvez indiquer que les références sont disponibles sur demande si vous n’êtes pas prêt à divulguer vos références avant la fin du processus de recrutement. Il est important de vous assurer qu’ils sont disponibles et joignables sur demande.

Nos cinq derniers conseils

Utilisez les bons mots-clés pour que votre CV soit repéré dans les recherches de mots.
Expliquez les lacunes éventuelles de votre CV et veillez à mettre en évidence les compétences que vous avez développées.
N’utilisez pas d’acronymes ou de termes liés à l’organisation.
Indiquez deux formes de contact, l’e-mail et le téléphone portable.
Vérification de l’orthographe et de la grammaire, vérifiez soigneusement votre CV pour détecter les éventuelles fautes d’orthographe et de grammaire. Vous pouvez même demander à un ami ou à un membre de votre famille de le relire pour vous.

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Vos collègues demandeurs d’emploi vous laissent-ils dans la poussière et décrochent-ils les meilleurs emplois parce qu’ils possèdent des diplômes que vous n’avez pas ? Suivez ces conseils pour mettre en valeur votre CV, écrire un bon CV, et rivaliser avec d’autres qui ont un parcours éducatif plus impressionnant. Lisez la suite pour réaliser un CV qui se détache des autres !

Exemple de présentation de CV / Modèle de curriculum vitae
Exemple de présentation de CV / Modèle de curriculum vitae

Mettez l’accent sur vos meilleurs titres de compétences

Réfléchissez aux raisons pour lesquelles un employeur devrait vous embaucher parmi tous les candidats au poste. Qu’offrez-vous que les autres n’ont pas ? Vous avez peut-être une expérience professionnelle pratique et des compétences pertinentes pour le poste. Si votre expérience est plus solide que vos études, placez vos antécédents professionnels avant vos études dans votre CV, et écrivez sur vos réalisations professionnelles, vos résultats antérieurs et votre connaissance du secteur.

Incluez une liste détaillée de vos réalisations au cours de votre carrière. Prouvez que vos performances professionnelles ont été exceptionnelles et que vous seriez un atout pour l’entreprise de votre futur employeur. Lorsque les responsables du recrutement lisent la section Formation de votre CV, ils devraient être tellement impressionnés par la valeur que vous offrez que les lacunes en matière de formation pourraient être négligées.

Il est vrai que certains employeurs ne s’intéresseront pas à vous parce que vous n’avez pas le niveau d’études requis pour le poste, mais vous trouverez d’autres employeurs qui apprécieront votre expérience, vos compétences et votre expertise.

Mettez en avant les études et les formations alternatives

Vous n’avez peut-être pas de diplôme officiel, mais vous avez participé à des formations continues tout au long de votre carrière. Vous pouvez mettre en valeur toutes vos formations continues en créant une section Développement professionnel dans la section Éducation. Pensez aux formations liées à l’emploi, aux certifications, aux conférences, aux formations en cours d’emploi, aux séminaires, à l’apprentissage en ligne et même aux études autodirigées. Pour certains professionnels, cette section peut être très impressionnante, et montrer une formation récente et à jour peut avoir plus de valeur qu’un diplôme daté.

Indiquez les formations en cours

Indiquez les formations partiellement achevées ou en cours de réalisation.

Exemples :

Si vous êtes actuellement inscrit à un programme :

Université / École (Ville, Pays)
Inscrit au programme Bachelier en Communication, spécialisation en [ … ], diplôme prévu pour juin 2023

Si vous avez partiellement terminé un programme et n’avez pas l’intention de le terminer :

Université / École (Ville, Pays)
Vous avez obtenu XX crédits en vue de l’obtention d’un Bachelier en Communication, de septembre 2020 à juin 2022.

Posez votre candidature même si vous n’avez pas le niveau d’études requis

Si vous voyez une offre d’emploi qui exige un certain niveau d’études et que vous pensez pouvoir faire le travail sur la base de votre expérience ou de vos compétences, envoyez quand même votre CV. Le responsable du recrutement préférera peut-être engager une personne ayant le niveau d’études indiqué, mais votre CV pourrait se démarquer grâce à vos autres qualifications.

Dans la mesure du possible, faites un suivi des CV que vous envoyez. De nombreux employeurs utilisant des systèmes électroniques de suivi des CV éliminent automatiquement les candidats qui ne répondent pas aux exigences en matière de formation. Vous aurez beaucoup plus de chances de convaincre un employeur que vous êtes un bon candidat si vous établissez un contact personnel avec un responsable du recrutement.

Retournez à l’école

Si vous continuez à vous heurter à des obstacles en raison de votre formation, si vous rédigez un cv sans avoir d’expérience, il est peut-être temps de reprendre les cours. Faites tout ce qu’il faut pour atteindre votre objectif : inscrivez-vous à des cours du soir, suivez des cours en ligne ou commencez un programme d’enseignement à distance. Le fait que vous poursuiviez vos études pourrait vous rendre plus attrayant pour les employeurs, et vous prendrez des mesures pour vous assurer que vous avez les qualifications nécessaires pour réussir sur un marché du travail compétitif.

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Se lancer dans une carrière après l’université devrait être passionnant. Mais de nombreux diplômés se retrouvent confrontés à la même énigme frustrante : il faut de l’expérience pour trouver un emploi, mais il faut un emploi pour acquérir de l’expérience.

Heureusement, les compétences que les employeurs apprécient le plus ne s’acquièrent pas uniquement dans le monde du travail. L’astuce pour rédiger un bon CV sans expérience consiste à trouver des moyens créatifs de montrer que vous avez les compétences transférables nécessaires pour faire de vous un candidat fantastique.

Vous vous demandez comment rédiger votre CV sans expérience professionnelle à mentionner ? Lisez la suite pour réaliser un CV qui se détache des autres !

Exemple de présentation de CV / Modèle de curriculum vitae
Exemple de présentation de CV / Modèle de curriculum vitae

1. Identifiez vos qualités les plus impressionnantes

Rédiger un CV, c’est essentiellement mettre au point un argumentaire de vente personnel. La première chose à faire est donc de déterminer ce que vous vendez ! Dressez une liste de toutes les choses pour lesquelles vous êtes doué, qu’il s’agisse de qualités professionnelles ou non. Ensuite, associez chaque élément de votre liste à une (ou plusieurs !) des principales compétences recherchées par les employeurs.

Vous vous débrouillez en football ? C’est le travail d’équipe et le dynamisme. Vous écrivez un blog qui fait toujours rire vos amis ? Vous êtes créatif et doué pour la communication écrite.

2. Commencez par une présentation personnelle

C’est la toute première chose qu’un employeur potentiel lira, alors il est essentiel de bien faire les choses. Un bon conseil ? Faites en sorte qu’elle soit aussi courte et simple que possible. 150 mots suffisent amplement.
Commencez par vous présenter en indiquant votre niveau d’études et une ou deux compétences principales (« Je suis un jeune diplômé travailleur et motivé »). Vous entrerez dans les détails plus tard, alors n’ajoutez votre matière ou votre université que si vous pensez que c’est particulièrement impressionnant ou pertinent pour le poste auquel vous postulez.

Veillez également à préciser ce que vous recherchez. Si vous ne postulez que pour un seul secteur, vous pouvez être spécifique – « Je recherche des postes dans les relations publiques » – mais si vous voulez garder vos options ouvertes, restez général : « Je cherche un rôle qui me mettra au défi ».

3. Énumérez les compétences plutôt que les rôles

La plupart des CV commencent par énumérer le(s) dernier(s) emploi(s) du candidat, mais si vous n’avez jamais travaillé auparavant ou si vous n’avez travaillé que dans des secteurs sans rapport, il est bien mieux de commencer votre CV par une liste de compétences que vous avez acquises. Les employeurs les considéreront comme beaucoup plus intéressantes et pertinentes que votre passage à empiler des rayons de supermarché !

C’est là que la liste pré-écrite de compétences et d’exemples s’avère utile. Vous pouvez rapidement recouper différentes expériences afin de disposer de plusieurs exemples pour chaque rubrique, avec des preuves à l’appui de vos affirmations. L’utilisation d’exemples rend un CV basé sur les compétences beaucoup plus puissant – et crédible !

4. N’oubliez pas les compétences évidentes

Possédez-vous un permis de conduire ? Savez-vous utiliser divers logiciels ? Connaissez-vous bien les médias sociaux ? Souvent, les diplômés omettent les compétences recherchées par les employeurs parce qu’ils pensent qu’elles sont évidentes ou sans importance.

Si vous savez faire quelque chose qui pourrait être utile sur le lieu de travail, indiquez-le. Les programmes informatiques que vous pouvez utiliser et les langues que vous pouvez parler sont particulièrement utiles (vous n’avez pas besoin de les parler couramment pour que ce soit utile, mais ne mentez pas sur vos capacités).

5. Traitez vos activités extrascolaires comme des emplois

Ce n’est pas parce que vous n’avez pas été payé pour une activité que vous n’avez pas acquis de précieuses compétences professionnelles. Dressez la liste de vos activités bénévoles comme vous le feriez pour un emploi, en précisant la durée de votre bénévolat, les tâches que vous avez accomplies et les compétences que vous avez développées.

Souvent, vous constaterez que les rôles extrascolaires sont plus proches des emplois pour diplômés auxquels vous postulez que les travaux occasionnels que vous avez effectués. Classez-les par ordre de priorité. Si vous postulez à des postes de rédacteur, les employeurs seront plus impressionnés d’apprendre que vous avez écrit pour le journal de votre école que de savoir que vous avez travaillé dans un fast-food local.

6. Mettez en valeur votre diplôme

Les diplômes sont une excellente source de compétences transférables. Si vous avez écrit une thèse, vous pouvez parler de vos capacités de recherche. Si vous avez fait des présentations dans le cadre de votre diplôme, vous pouvez prétendre avoir de l’expérience en matière de présentation. Vous pouvez également mentionner les compétences acquises dans le cadre de projets de groupe, l’organisation et la planification indépendantes, ainsi que toute connaissance spécifique pertinente pour le poste.

Ne commettez pas l’erreur de laisser des espaces vides dans votre CV simplement parce que vous manquez d’expérience professionnelle. La section expérience d’un CV est simplement un moyen de démontrer comment vos expériences passées pourraient être utiles à un futur employeur. Vous aurez beaucoup à tirer de votre diplôme, alors utilisez-la !

7. Donnez de la personnalité

Vous avez couru un marathon ? Vous avez gagné un prix ? Fait du saut en parachute ? Mettez-le sur votre CV.

Les employeurs reçoivent de nombreuses candidatures pour chaque emploi de jeune diplômé. Sortir du lot et être mémorable est un atout majeur pour être convoqué à un entretien.

S’il n’y a pas de compétences professionnelles évidentes liées à une réalisation ou à une activité, n’essayez pas de les faire figurer. Mentionnez simplement le hobby dans une section « autres intérêts » et ne vous embêtez pas à entrer dans les détails. L’objectif est simplement d’être mémorable, et non de convaincre les employeurs que le fait de sauter d’un avion vous a préparé à leur travail !

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La mémoire autobiographique désigne le récit qu’une personne fait de son histoire personnelle ou le souvenir d’événements personnels spécifiques. Il s’agit d’un processus cognitif d’ordre supérieur à multiples facettes qui comprend la mémoire épisodique. La mémoire épisodique fait référence aux souvenirs d’événements spécifiques. Il s’agit des moments instantanés vifs et détaillés dont la personne se souvient lorsqu’elle raconte son histoire ou construit sa mémoire autobiographique. Par exemple, une personne peut se souvenir de la chaleur du soleil sur son visage et de la légère brise qui secoue ses cheveux lorsqu’elle raconte ses dernières vacances.

En bref : Mémoire autobiographique

  • La mémoire autobiographique est le récit de notre histoire personnelle.
  • Elle se compose de souvenirs d’événements uniques, prolongés ou récurrents.
  • Elle englobe la mémoire épisodique, qui est le souvenir d’événements spécifiques.
  • À l’inverse de la mémoire épisodique, elle est liée à la construction de notre identité.
  • Elle peut évoluer avec le temps et nos connaissances.
Quels sont les différents types de mémoires ?
Schéma illustrant les différents types de mémoire : à gauche, la mémoire à court terme ; à droite la mémoire à long terme qui comprend la mémoire déclarative et la mémoire non déclarative. La mémoire déclarative est composée des informations épisodiques et sémantiques tandis que la mémoire non déclarative est associée à la mémoire procédurale, aux conditionnements classiques (donnant une réponse émotionnelle ou musculaire), aux apprentissages non associatifs et enfin à l’amorçage. Le dernier niveau du schéma indique les parties du cerveau dans lesquelles sont stockées les différents types de mémoire.

La mémoire autobiographique

La mémoire autobiographique est un mélange complexe de souvenirs d’événements uniques, récurrents et prolongés qui sont intégrés dans une histoire cohérente de soi, créée et évaluée par le biais de pratiques socioculturelles. La mémoire autobiographique se distingue de la mémoire épisodique en trois points :

  1. Elle repose sur un sentiment de soi qui émerge vers la fin des années préscolaires ;
  2. Elle se forme par l’engagement avec le monde et les autres et implique de multiples compétences en développement pour construire des histoires cohérentes qui contribuent au sentiment d’identité d’une personne basé sur son histoire ;
  3. Elle a la fonction socioculturelle de définir et de réguler les émotions d’une personne. En bref, la mémoire autobiographique concerne les histoires que nous racontons sur nous-mêmes et sur notre vie.

Relation avec la mémoire épisodique

La mémoire autobiographique se compose d’épisodes spécifiques, ou souvenirs épisodiques, ainsi que de connaissances conceptuelles, génériques et schématiques. Le plus souvent, ces aspects sont réunis lors du souvenir d’un événement spécifique et personnellement important. Si l’on demande à une personne, par exemple, de se souvenir de son plus ancien souvenir, elle inclura des connaissances sur elle-même, des images visuelles génériques sur le lieu et des informations très spécifiques sur l’heure, le lieu, ses propres actions et celles des autres.

Les souvenirs autobiographiques ne sont pas figés. Des études ont montré que les gens se souviennent le plus souvent de l’essentiel d’un événement, puis ont tendance à embellir ce qui s’est passé avec les connaissances qu’ils possèdent actuellement sur la situation. Ainsi, la mémoire autobiographique d’un événement peut changer au cours de la vie d’une personne. Les faits de base qui se sont produits peuvent être corrects, mais les détails sur ce que portait une personne et ce qu’elle a dit peuvent facilement changer avec le temps.

Comme la mémoire autobiographique, la mémoire épisodique est unique à chaque personne. Elle consiste à se souvenir d’événements passés qui se sont produits à un moment et dans un lieu précis et implique le plus souvent des détails sensoriels, perceptifs et émotionnels vifs. Ce qui différencie la mémoire épisodique des autres formes de mémoire déclarative, c’est la capacité de la personne à voyager mentalement dans le temps pour revivre l’événement au moment où elle s’en souvient.

Certains troubles entraînent une perte importante de la mémoire autobiographique. C’est l’une des principales plaintes des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou de démence. La mémoire épisodique peut être perturbée par un traumatisme cérébral résultant d’une commotion ou d’un accident vasculaire cérébral. D’autres affections, comme la maladie de Parkinson, la schizophrénie et les troubles dissociatifs, présentent des déficits dans les fonctions de la mémoire épisodique et, de ce fait, affectent la mémoire autobiographique.

Pour aller plus loin

La mémoire autobiographique est-elle uniquement épisodique ?

La mémoire autobiographique va au-delà de la simple mémoire épisodique. Il est préférable de les considérer comme des concepts qui se chevauchent, le premier permettant la formation d’une identité et le second permettant à une personne de revivre les événements qui ont conduit à la formation de son identité.

Quelle est la différence entre la mémoire épisodique et la mémoire sémantique ?

La mémoire épisodique et la mémoire sémantique font partie de la division de la mémoire connue sous le nom de mémoire explicite ou déclarative.. La mémoire épisodique et la mémoire sémantique sont fortement interconnectées, surtout dans les premiers stades de la récupération, lorsque les connaissances sémantiques personnelles aident à la recherche et à la récupération des événements. Cependant, alors que la mémoire épisodique a été associée à une activité accrue dans l’hippocampe et se réfère au souvenir d’événements avec des contextes spatio-temporels clairs, comme lors de la remémoration d’événements autobiographiques, la mémoire sémantique est axée sur des connaissances générales sur le monde. Il s’agit de la capacité à se rappeler et à appliquer une signification, des faits et des connaissances sans contexte spatio-temporel, par exemple, se rappeler que l’océan Pacifique est le plus grand des océans sans nécessairement se rappeler quand vous avez appris ce fait. En d’autres termes, la mémoire sémantique est indépendante du temps, du lieu et de toute impression de revivre un événement passé.

Quel est un exemple de mémoire épisodique ?

Des exemples de souvenirs épisodiques peuvent être le premier baiser d’une personne, son premier jour d’école, la fête d’anniversaire d’un ami ou la remise de diplôme d’un frère ou d’une sœur. Outre le souvenir global de l’événement lui-même, la mémoire épisodique fait appel aux cinq sens ainsi qu’au lieu et à l’heure de l’événement.

Quel est le meilleur exemple de mémoire autobiographique ?

Le meilleur exemple de mémoire autobiographique est l’histoire qu’une personne raconte lorsqu’on lui demande de se souvenir de son tout premier souvenir d’enfant.

Conclusion

La mémoire autobiographique et la mémoire épisodique sont intimement liées mais remplissent des fonctions distinctes et complémentaires. La mémoire épisodique permet de revivre des instants précis, riches en détails sensoriels et émotionnels, tandis que la mémoire autobiographique intègre ces épisodes dans un récit plus large qui façonne l’identité et la continuité de soi. Comprendre cette articulation éclaire non seulement la manière dont nous construisons notre histoire personnelle, mais aussi l’importance de la mémoire dans nos interactions sociales, nos émotions et notre rapport au temps. Étudier ces mécanismes, c’est mieux saisir ce qui nous rend uniques et ce qui nous relie aux autres à travers le partage de souvenirs.

FAQ : tout savoir sur sur la mémoire autobiographique

Qu’est-ce que la mémoire autobiographique ?

La mémoire autobiographique désigne l’ensemble des souvenirs personnels et des récits que nous faisons de notre vie. Elle permet de construire une identité en intégrant événements uniques, récurrents et prolongés dans une histoire cohérente.

Quelle est la différence entre mémoire autobiographique et mémoire épisodique ?

La mémoire épisodique renvoie à des événements spécifiques vécus avec des détails sensoriels, alors que la mémoire autobiographique intègre ces épisodes dans un récit global de soi, avec une fonction identitaire et socioculturelle.

À quel âge se développe la mémoire autobiographique ?

Elle émerge vers la fin de la période préscolaire, lorsque l’enfant commence à développer un sentiment de soi et à raconter des histoires cohérentes sur ses expériences.

Quels rôles joue la mémoire autobiographique dans la construction de l’identité ?

Elle sert à organiser les souvenirs de vie en un récit qui aide à définir qui nous sommes, à réguler nos émotions et à maintenir une cohérence entre passé, présent et futur.

Comment la mémoire autobiographique peut-elle changer avec le temps ?

Les souvenirs ne sont pas figés : on retient surtout l’essentiel d’un événement, mais les détails peuvent évoluer, influencés par nos connaissances actuelles ou notre vécu ultérieur.

Quelle est la différence entre mémoire épisodique et mémoire sémantique ?

La mémoire épisodique est liée aux souvenirs personnels situés dans un contexte spatio-temporel précis, tandis que la mémoire sémantique concerne des connaissances générales et décontextualisées, comme savoir que Paris est la capitale de la France.

Quels sont des exemples typiques de mémoire épisodique ?

Le premier jour d’école, un anniversaire d’enfance, un mariage ou encore un voyage marquant sont des souvenirs épisodiques riches en détails sensoriels et émotionnels.

Quels sont des exemples de mémoire autobiographique ?

Un récit de vacances, la première rencontre avec un ami proche ou la mémoire du tout premier souvenir d’enfance sont des exemples de mémoire autobiographique.

Quels troubles peuvent affecter la mémoire autobiographique ?

La maladie d’Alzheimer, les démences, les traumatismes crâniens ou encore certains troubles psychiatriques comme la schizophrénie peuvent altérer gravement la mémoire autobiographique.

Quelle est la relation entre mémoire autobiographique et émotions ?

La mémoire autobiographique contribue à réguler les émotions en permettant de donner du sens aux expériences vécues et de les intégrer dans un récit personnel.

Pourquoi se souvient-on de certains détails et pas d’autres ?

Les souvenirs sont influencés par l’importance émotionnelle de l’événement, l’attention portée au moment vécu et la répétition du rappel, ce qui renforce certains détails mais en efface d’autres.

La mémoire autobiographique peut-elle être biaisée ?

Oui, elle est sujette à des reconstructions et embellissements. On peut modifier ou réinterpréter certains éléments en fonction de ses croyances, de ses émotions ou de son vécu ultérieur.

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Pour un parcours professionnel gratifiant et fructueux, il est indispensable de bien se former. Avec le système « learner centric », les apprenants ont accès à des formations sur mesure, adaptées à leurs besoins. Ce modèle d’apprentissage leur permet d’acquérir ou de renforcer des compétences de manière autonome. À Strasbourg, il est possible d’accéder à ce type de formations professionnelles à l’établissement StraFormation.

Qu'est-ce qu'un CSE ?

Découvrez les formations learner centric à Strasbourg

Qu’est-ce que le concept de learner centric ?

À l’inverse des méthodes classiques, ce style d’enseignement est centré sur l’apprenant. Il donne une importance particulière à l’expérience d’apprentissage. Pour le Dr Maryellen Weimer, spécialiste de l’enseignement, le système learner centric permet aux étudiants d’être plus investis dans le processus d’apprentissage.

Avec les méthodes classiques, le processus d’apprentissage repose entièrement sur les instructions délivrées par les enseignants. En revanche, les enseignements learner centric solllicitent l’esprit d’initiative et la capacité d’analyse des étudiants. L’étudiant est investi de la responsabilité de son apprentissage. Il est encouragé à réfléchir sur la façon dont il étudie.

Les formations learner centric de StraFormation tiennent compte des objectifs des apprenants. Elles sont également conçues pour optimiser le temps dont les apprenants disposent pour se former.

Quels sont les programmes de formation proposés ?

Chez StraFormation, il est possible de suivre des formations learner centric dans différents domaines. L’établissement propose des enseignements techniques sur la bureautique, la comptabilité, le droit, le marketing, les langues et bien d’autres domaines.

Différents modules comme le management d’équipe, la gestion administrative ou la formation de formateurs permet également aux entreprises d’améliorer leurs capacités managériales. Avec le volet « efficacité personnelle », l’établissement répond à des besoins plus individuels comme la gestion de temps ou de stress.

Financer sa formation professionnelle learner centric au centre de formation de Strasbourg

En optant pour une formation professionnelle au centre de formation de Strasbourg, les étudiants obtiennent un diplôme reconnu par l’État. Cet établissement propose également des enseignements 100 % learner centric, adaptés aux besoins et aux talents de chacun. Pour apprendre à réfléchir et à choisir soi-même les stratégies les plus adaptées à ses objectifs, c’est la méthode à choisir.

Pour certaines formations learner centric à Strasbourg, il est possible de recourir au compte personnel de formation (CPF). Ce fonds a été créé par l’État pour permettre à chaque travailleur de bénéficier d’une formation professionnalisante.

Grâce à ce compte, il est également possible de financer un programme learner centric pour une reconversion Fonds de Gestion des Congés individuels de Formation ou FONGECIF. Créés en 1983, ces organismes gèrent différents dispositifs de financement de formation proposés par l’État. Pour bénéficier d’un financement du FONGECIF, la première étape est de s’inscrire sur le site gouvernemental dédié.

En outre, les salariés peuvent demander à leur employeur de financer leur formation professionnelle. C’est le cas lorsqu’une société dispose d’un programme de renforcement de compétences pour leur personnel.

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Différence entre compléments alimentaires et médicaments : guide complet

Il y a beaucoup de confusion au sujet des médicaments et des compléments alimentaires, car ils ont tous deux la même taille ou la même forme. Il serait facile de supposer qu’ils sont tous deux utilisés à des fins de santé.

Si les bienfaits des compléments alimentaires ne sont plus à démontrer, ils ne peuvent être assimilés à des médicaments. Il est particulièrement important de répondre à une question : Quelle est la différence entre un complément alimentaire et un médicament ainsi que la façon dont ils sont considérés et traités ?

Gélules compléments alimentaires vitamines minéraux couleurs variées capsules translucides jaunes oranges blanches produits santé bien-être versus médicaments pharmaceutiques pilules comprimés traitement maladies prescriptions différences réglementation
Quelles sont les différences entre compléments alimentaires et médicaments ?

⚡ En bref : différences fondamentales compléments alimentaires et médicaments

Définitions juridiques et statuts réglementaires distincts : compléments alimentaires définis Directive européenne 2002/46/CE denrées alimentaires but compléter régime alimentaire normal source concentrée nutriments substances effet nutritionnel physiologique commercialisés forme doses (gélules capsules comprimés sachets ampoules sirops), statut juridique produits alimentaires soumis réglementation denrées alimentaires contrôles Répression Fraudes DGCCRF autorités sanitaires nationales ANSES, déclaration mise marché obligatoire télé-procédure TéléIcare composition étiquetage allégations nutritionnelles santé encadrés strictement règlement européen 1924/2006, pas autorisation mise marché (AMM) préalable contrairement médicaments notification suffisante. Médicaments définis Code Santé Publique article L5111-1 toute substance présentation possédant propriétés traiter prévenir maladies ou pouvant administrée vue restaurer corriger modifier fonctions physiologiques exerçant action pharmacologique immunologique métabolisme, statut juridique produit pharmaceutique soumis réglementation médicaments stricte AMM obligatoire délivrée ANSM (Agence Nationale Sécurité Médicament) après évaluation rigoureuse qualité sécurité efficacité essais cliniques phases I-II-III-IV, fabrication usines pharmaceutiques normes BPF (Bonnes Pratiques Fabrication) inspections régulières traçabilité lot pharmacovigilance obligatoire déclaration effets indésirables. Différence fondamentale statut compléments alimentaires aliments enrichis médicaments produits thérapeutiques chimiques.

Objectifs utilisations compositions radicalement différents : compléments alimentaires visent combler carences nutritionnelles apporter nutriments essentiels insuffisamment fournis alimentation quotidienne (vitamines minéraux oligo-éléments acides aminés acides gras essentiels oméga-3 fibres probiotiques antioxydants extraits plantes), maintenir optimiser fonctions physiologiques normales santé générale bien-être prévention déficits pas traiter maladies, populations cibles personnes saines carences marginales besoins accrus (femmes enceintes sportifs personnes âgées végétariens), utilisation volontaire auto-prescription conseil pharmacien naturopathe sans nécessité ordonnance médicale (sauf exceptions comme vitamine D forte dose), composition ingrédients origine naturelle majoritairement végétale minérale parfois animale (collagène oméga-3 poissons) dosages physiologiques nutritionnels faibles modérés sans activité pharmacologique puissante. Médicaments visent diagnostiquer prévenir traiter guérir maladies pathologies infections troubles santé restaurer corriger fonctions physiologiques altérées action thérapeutique curative symptomatique préventive vaccinale, populations cibles patients malades personnes risque pathologies infections nécessitant intervention médicale diagnostiquée, prescription médicale obligatoire médicaments ordonnance (antibiotiques antihypertenseurs psychotropes chimiothérapies etc) ou conseil pharmaceutique médicaments vente libre OTC automédication encadrée (antalgiques antipyrétiques anti-inflammatoires), composition principes actifs molécules chimiques synthétiques hémisynthétiques biotechnologiques dosages thérapeutiques précis activité pharmacologique puissante ciblée mécanisme action spécifique récepteurs enzymes voies métaboliques. Confusion dangereuse automédication compléments présentant allégations thérapeutiques illégales produits frontière statut ambigu (phytothérapie aromathérapie homéopathie) vigilance consommateurs professionnels santé essentielle.

Fabrication contrôle qualité efficacité sécurité niveaux exigence inégaux : compléments alimentaires fabrication entreprises agroalimentaires nutraceutiques laboratoires compléments sous-traitants façonniers normes qualité ISO 22000 HACCP bonnes pratiques hygiène alimentaire moins strictes pharmaceutiques, contrôles qualité matières premières produits finis analyses physico-chimiques microbiologiques dosages principes actifs contaminants pesticides métaux lourds réalisés responsabilité fabricant laboratoires externes certification volontaire (pas obligatoire) labels qualité garantie (AFNOR NF ISO), efficacité basée études scientifiques limitées hétérogènes dosages souvent inférieurs thérapeutiques allégations santé autorisées réglementées EFSA doivent reposer preuves scientifiques suffisantes MAIS niveau preuve inférieur médicaments pas essais cliniques randomisés contrôlés systématiques, effets secondaires généralement bénins transitoires rares (troubles digestifs réactions allergiques) sauf surdosages interactions médicamenteuses accumulations toxiques vitamines liposolubles A D E K minéraux fer cuivre, pharmacovigilance nutrivigilance ANSES système déclaration effets indésirables volontaire sous-déclaration massive. Médicaments fabrication industries pharmaceutiques multinationales usines BPF contrôles drastiques chaque étape synthèse formulation conditionnement inspections ANSM imprévues sanctions lourdes non-conformité traçabilité complète lots numéros rappels possibles incidents qualité, efficacité démontrée essais cliniques rigoureux phases I tolérance doses phase II efficacité posologie phase III efficacité grande échelle versus placebo comparateur phase IV pharmacovigilance post-AMM, sécurité évaluée précisément rapport bénéfice-risque balance thérapeutique effets indésirables répertoriés fréquence gravité notice patient résumé caractéristiques produit RCP professionnel, pharmacovigilance obligatoire déclaration immédiate effets indésirables graves inattendus centres régionaux pharmacovigilance CRPV base nationale BNPV signalements patients professionnels sanctions retrait marché possible. Asymétrie exigences réglementaires compléments alimentaires versus médicaments justifiée risques bénéfices différents MAIS zones grises problématiques.

Les compléments alimentaires

La définition officielle, telle qu’énoncée par la Directive 2002/46/CE du Conseil européen et du Parlement européen est la suivante : les compléments alimentaires sont des denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d’autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinés, commercialisés sous forme de doses.

Ils sont fabriqués à partir d’aliments mais sont disponibles sous une forme non alimentaire, de sorte qu’ils ressemblent à des médicaments. Les compléments alimentaires contiennent des nutriments isolés qui présentent des avantages médicaux connus. Par exemple, les comprimés à mâcher de vitamine C ou les comprimés de calcium sont des compléments spécifiques.

Ces doses peuvent revêtir différents aspects, gélules et capsules, sirops et sachets, voire des ampoules.

Tout comme les médicaments, les compléments alimentaires font l’objet d’un examen par les autorités (Répression des Fraudes) avant leur mise sur le marché, qui étudient leur composition, leur sécurité, et leur conformité.
Les Directions Départementales de la Protection de la Population font des contrôles réguliers dans les entreprises afin de s’assurer de la conformité des produits.

Les médicaments

Les médicaments délivrés sur ordonnance sont un ensemble de médicaments ou de substances qui doivent faire l’objet d’une prescription d’un médecin avant de pouvoir être délivrés. Cela suit généralement un calendrier de traitement régulier qui doit être strictement respecté.

Ils sont fabriqués en laboratoire par des sociétés pharmaceutiques et sont conçus pour traiter des maladies ou des problèmes de santé spécifiques. Ces médicaments font l’objet d’essais cliniques approfondis et disposent de nombreuses données scientifiques pour étayer leur sécurité et leur efficacité. Parmi les exemples de médicaments pharmaceutiques, citons les médicaments sur ordonnance, comme une pilule pour traiter l’hypertension artérielle, ou les médicaments en vente libre, comme un antiacide.

Les médicaments sur ordonnance sont destinés à cibler une partie particulière du corps qui souffre ou une maladie particulière. L’objectif des médicaments sur ordonnance est de fournir un remède, sinon de maintenir et d’améliorer l’état actuel de l’organisme.

Comparaison entre les compléments alimentaires et les médicaments

La prise en charge médicale de nombreuses maladies et affections peut inclure la restriction ou l’apport de nutriments essentiels spécifiques. Lorsque de tels nutriments sont nécessaires, il existe souvent des produits disponibles sur ordonnance ou en vente libre, comme dans le cas de l’acide nicotinique ou des acides gras oméga-3. Bien qu’ils puissent sembler contenir des ingrédients similaires, il peut y avoir des différences importantes entre les préparations sur ordonnance et les compléments alimentaires. La fabrication des produits pharmaceutiques délivrés sur ordonnance est réglementée par la Commission Européenne, qui impose des normes de cohérence et d’assurance qualité.
Les compléments alimentaires sont accessibles aux consommateurs en vertu des dispositions de la Directive 2002/46/CE que nous avons évoquée en début d’article.
Les consommateurs et les professionnels de la santé doivent être conscients des différences qualitatives et quantitatives importantes entre les préparations sur ordonnance et les compléments alimentaires, en particulier lorsqu’un nutriment essentiel fait partie de la gestion médicale d’une maladie ou d’une affection.

Les compléments alimentaires sont des produits pris par voie orale qui contiennent certains ingrédients comme des vitamines et des acides aminés. Ils sont généralement destinés à compléter un besoin diététique. Ils peuvent soit renforcer, soit améliorer le régime alimentaire d’une personne afin de renforcer l’apport en nutriments à son organisme.

Par rapport aux médicaments sur ordonnance, les compléments ne nécessitent pas nécessairement une prescription médicale. Les compléments alimentaires sont facilement disponibles sur le marché et peuvent être achetés sans ordonnance.

Les compléments alimentaires ne sont pas considérés comme des médicaments. Ils ne permettent pas de guérir une maladie ou d’un malaise. Ils sont simplement pris pour compléter ou renforcer les besoins en nutriments tels que les vitamines et les minéraux.

Tableau comparatif compléments alimentaires et médicaments

Compléments alimentaires Médicaments
Les compléments sont utilisés pour combler les lacunes nutritionnelles et fournir les bonnes vitamines ou minéraux à votre corps. Les médicaments sont des substances chimiques qui sont utilisées pour diagnostiquer, guérir, traiter ou prévenir des maladies.
Les suppléments font partie de votre alimentation et constituent un régime naturel et sain. Il s’agit d’un médicament et d’une composition pharmaceutique destinés à soigner des maladies spécifiques.
Ils sont fabriqués à partir de fruits et de légumes/extraits issus de l’agriculture biologique. Ils sont fabriqués cliniquement dans des laboratoires.
Les suppléments sont inoffensifs et ne créent pas de dépendance. Les médicaments peuvent entraîner une dépendance et une accoutumance.
Ils comblent les lacunes en matière de vitamines et de minéraux essentiels. Résultats rapides et ne peuvent pas guérir les maladies liées au mode de vie comme la pression artérielle ou le sucre.
Ils préviennent et aident à guérir les maladies liées au mode de vie et donnent des résultats à long terme. Les médicaments soignent les maladies de façon temporaire, par exemple en soulageant la douleur, en contrôlant la glycémie ou en soignant une infection.

Conclusion : comprendre les différences pour un usage approprié et sécurisé

La distinction fondamentale entre compléments alimentaires et médicaments repose sur trois piliers essentiels : le statut juridique réglementaire, l’objectif d’utilisation thérapeutique versus nutritionnel, et le niveau d’exigence en matière de preuves scientifiques d’efficacité et de sécurité. Les compléments alimentaires demeurent des denrées alimentaires destinées à compléter l’alimentation quotidienne en apportant nutriments et substances bénéfiques pour maintenir et optimiser les fonctions physiologiques normales, prévenir les carences marginales, et soutenir le bien-être général des personnes en bonne santé. Ils ne constituent en aucun cas des médicaments et ne peuvent légalement revendiquer d’action curative, préventive ou thérapeutique sur des maladies spécifiques. Leur utilisation relève d’une démarche volontaire de santé préventive et d’optimisation nutritionnelle, accessible sans ordonnance médicale obligatoire, bien qu’un conseil professionnel (médecin, pharmacien, diététicien) reste vivement recommandé pour choisir les produits appropriés aux besoins individuels, éviter surdosages et interactions médicamenteuses, et garantir qualité et sécurité.

À l’inverse, les médicaments constituent des produits pharmaceutiques strictement réglementés, développés scientifiquement selon des protocoles rigoureux d’essais cliniques, destinés spécifiquement à diagnostiquer, prévenir, traiter ou guérir des pathologies, infections, troubles ou dysfonctionnements identifiés médicalement. Leur prescription par un professionnel de santé habilité (médecin, dentiste, sage-femme) s’avère obligatoire pour les médicaments soumis à ordonnance, garantissant une évaluation individualisée du rapport bénéfice-risque, un suivi thérapeutique approprié, et une surveillance des effets indésirables potentiels. La confusion dangereuse entre ces deux catégories de produits – alimentée par des formes galéniques similaires (gélules, comprimés), un marketing parfois ambigu, et des allégations santé exagérées – expose les consommateurs à des risques multiples : automédication inappropriée, retard diagnostic et traitement pathologies sérieuses, interactions médicamenteuses non détectées, surdosages toxiques vitamines minéraux liposolubles, dépenses inutiles produits inefficaces promesses mensongères. La vigilance critique, l’information rigoureuse, et l’accompagnement par des professionnels de santé compétents demeurent les meilleurs garants d’un usage rationnel, sécurisé et bénéfique tant des compléments alimentaires que des médicaments, dans le respect strict de leurs indications, limites et cadres réglementaires respectifs.

FAQ : Questions sur compléments alimentaires et médicaments

Peut-on remplacer un médicament par un complément alimentaire ?

NON catégoriquement jamais substituer médicament prescrit complément alimentaire sans accord médecin risque majeur santé. Médicaments prescrits traitent pathologies diagnostiquées maladies infections troubles nécessitant intervention thérapeutique ciblée principe actif dosage précis efficacité démontrée essais cliniques arrêt brutal modification traitement peuvent entraîner aggravation maladie rechute décompensation complications graves voire décès exemples hypertension artérielle arrêt antihypertenseur risque AVC infarctus, diabète arrêt insuline hypoglycémiants risque coma acidocétose, épilepsie arrêt antiépileptiques risque crises convulsives état mal épileptique, infections bactériennes arrêt antibiotiques résistance bactérienne rechute septicémie, dépression arrêt antidépresseurs syndrome sevrage idées suicidaires, asthme arrêt corticoïdes bronchodilatateurs crise asthmatique insuffisance respiratoire. Compléments alimentaires nutriments concentrés action nutritionnelle physiologique douce préventive aucune activité pharmacologique curative puissante comparable médicaments dosages insuffisants traiter pathologies établies allégations thérapeutiques interdites réglementation produits frontière danger phytothérapie plantes médicinales aromathérapie huiles essentielles dose-dépendante toxicité possible. Exceptions rares situations médicales spécifiques médecin peut recommander complément ASSOCIÉ médicament (pas remplacement) exemples vitamine D calcium traitement ostéoporose combiné bisphosphonates, acide folique vitamine B12 traitement anémie mégaloblastique, oméga-3 prévention secondaire maladies cardiovasculaires adjuvant statines, probiotiques restauration flore intestinale antibiotiques TOUJOURS sous supervision médicale dosages thérapeutiques précis surveillance biologique régulière. Automédication dangereuse consultation médicale obligatoire toute pathologie diagnostiquée traitement cours jamais arrêter modifier prescription sans avis médecin compléments alimentaires soutien prévention bien-être personnes saines pas alternative traitements médicamenteux nécessaires.

Les compléments alimentaires ont-ils des effets secondaires comme les médicaments ?

OUI compléments alimentaires peuvent provoquer effets secondaires indésirables MAIS généralement moins fréquents moins graves médicaments. Effets secondaires communs troubles digestifs (nausées diarrhée constipation ballonnements crampes abdominales) liés fibres fer magnésium probiotiques fortes doses dépassant capacités absorption digestive tolérance individuelle, réactions allergiques cutanées (urticaire démangeaisons éruptions) respiratoires (rhinite asthme) anaphylaxie rare ingrédients protéines lait soja gluten fruits coque pollens, céphalées migraines fatigue insomnie liés stimulants caféine guarana ginseng ou vasodilatateurs ginkgo biloba. Effets secondaires graves rares MAIS possibles surdosages chroniques vitamines liposolubles hypervitaminose A (toxicité hépatique troubles vision malformations fœtales), hypervitaminose D (hypercalcémie lithiases rénales calcifications tissus mous), hypervitaminose E (troubles coagulation hémorragies), minéraux fer (hémochromatose surcharge hépatique cardiaque), cuivre zinc (compétition absorption déséquilibres), calcium (lithiases rénales constipation), interactions médicamenteuses millepertuis diminue efficacité contraceptifs antidépresseurs anticoagulants immunosuppresseurs, vitamine K antagoniste AVK anticoagulants oraux, calcium diminue absorption antibiotiques tétracyclines quinolones fer hormones thyroïdiennes, pamplemousse inhibe cytochrome P450 augmente concentration nombreux médicaments statines immunosuppresseurs, ginkgo biloba anticoagulants aspirine risque hémorragique. Populations vulnérables risques accrus femmes enceintes allaitantes (risques malformations tératogénicité passage lait maternel), enfants (immaturité métabolique hépatique rénale), personnes âgées (polymédication interactions insuffisances organes), pathologies hépatiques rénales (accumulation toxicité), maladies auto-immunes (stimulation immunitaire échinacée contre-productive). Qualité produits variable contaminations métaux lourds pesticides micro-organismes dosages incorrects étiquetages mensongers produits internet douteux. Pharmacovigilance nutrivigilance ANSES système déclaration effets indésirables compléments alimentaires volontaire sous-déclaré importance signaler professionnels santé. Respect dosages notices précautions emploi consultation médicale pharmaceutique avant utilisation surveillance symptômes arrêt immédiat effets indésirables graves essentiels sécurité.

Comment savoir si un produit est un complément alimentaire ou un médicament ?

Identification précise statut juridique produit essentielle usage approprié sécurité. Critères réglementaires obligatoires étiquetage mention explicite « complément alimentaire » obligatoire face principale emballage selon Directive 2002/46/CE versus médicament mention « médicament » boîte conditionnement, numéro enregistrement compléments alimentaires numéro notification TéléIcare format CA-année-numéro visible parfois étiquette versus médicaments numéro AMM (Autorisation Mise Marché) format FR-numéro CIP (Code Identifiant Présentation) obligatoire boîte, liste ingrédients quantités détaillées pourcentages AJR (Apports Journaliers Recommandés) vitamines minéraux versus médicaments substance active DCI (Dénomination Commune Internationale) excipients, allégations santé autorisées compléments limitées fonctions physiologiques normales « contribue fonctionnement normal système immunitaire » « participe maintien ossature normale » INTERDITES allégations thérapeutiques « traite prévient guérit maladie » versus médicaments indications thérapeutiques précises pathologies autorisées AMM, absence ordonnance médicale compléments vente libre pharmacies parapharmacies magasins bio internet versus médicaments prescription obligatoire certains ou conseil pharmaceutique OTC. Lieux vente distribution compléments alimentaires pharmacies parapharmacies magasins spécialisés bio grande distribution internet sites e-commerce large accessibilité versus médicaments exclusivement pharmacies (ordonnance obligatoire) ou parapharmacies (OTC limités) circuit contrôlé réglementé. Forme galénique trompeuse gélules comprimés capsules similaires médicaments confusion visuelle possible distinguer lecture attentive étiquetage. Allégations marketing suspectes produits présentant promesses thérapeutiques guérison traitement maladies spécifiques termes médicaux diagnostic prévention pathologies ILLÉGALES compléments alimentaires signalent produit frauduleux statut ambigu ou médicament déguisé dangereux signaler DGCCRF ARS. Prix indicateur imparfait compléments généralement moins chers médicaments MAIS gamme prix large selon qualité marques. Conseil professionnel pharmacien peut identifier précisément statut produit vérifier réglementation interroger base données officielle médicaments compléments doute consulter plutôt risquer automédication inappropriée. Vigilance internet produits étrangers importations parallèles contrefaçons statuts juridiques différents pays réglementations hétérogènes privilégier achats circuits officiels France Europe traçabilité garantie qualité.

Faut-il informer son médecin de la prise de compléments alimentaires ?

OUI absolument impératif informer médecin traitant tous professionnels santé consultés (spécialistes chirurgiens anesthésistes pharmaciens) intégralité compléments alimentaires pris régulièrement occasionnellement. Raisons médicales majeures interactions médicamenteuses nombreuses fréquentes sous-estimées compléments peuvent diminuer augmenter modifier effets médicaments prescrits exemples millepertuis diminue 50% efficacité contraceptifs pilule antidépresseurs ISRS anticoagulants AVK immunosuppresseurs anti-rejets greffes chimiothérapies anticancéreux, vitamine K antagoniste anticoagulants AVK risque thromboses embolies INR déséquilibré, calcium magnésium fer chélatent antibiotiques tétracyclines fluoroquinolones réduisent absorption efficacité infections mal soignées résistances, pamplemousse inhibe cytochrome P450 métabolisme hépatique augmente concentration sanguine statines (risque rhabdomyolyse), immunosuppresseurs (toxicité rénale hépatique), antihypertenseurs (hypotension), ginkgo biloba échinacée ginseng anticoagulants aspirine risque hémorragique majeur chirurgies, oméga-3 fortes doses anticoagulants antiagrégants plaquettaires cumul risque saignements. Situations cliniques spécifiques chirurgies programmées arrêt certains compléments 2 semaines avant intervention (ginkgo ail oméga-3 vitamine E) risques hémorragiques peropératoires complications anesthésie, examens biologiques perturbations résultats analyses sanguines biotine vitamine B8 fortes doses (suppléments cheveux ongles) interfère dosages hormonaux thyroïdiennes TSH faux résultats diagnostics erronés, pathologies chroniques diabète hypertension insuffisances organes compléments peuvent aggraver déséquilibrer maladies modifier besoins médicamenteux posologies ajustements nécessaires, grossesse allaitement risques tératogénicité passage lait surveillance médicale stricte. Bilan exhaustif consultation médecin doit lister précisément noms marques dosages fréquences durées prises tous compléments utilisés même paraissant anodins vitamine C multivitamines probiotiques, apporter emballages notices faciliter identification composition exacte, mentionner automédications passées actuelles projets futurs achats prévus, poser questions doutes interactions effets compatibilité traitements cours. Médecin peut alors évaluer pertinence compléments besoins réels carences avérées biologiquement ou supplémentation inutile, vérifier compatibilité traitements médicamenteux absence interactions dangereuses, adapter posologies médicaments si nécessaire compenser interactions, conseiller arrêts temporaires situations risque (chirurgies examens), orienter choix produits qualité dosages appropriés marques fiables certifiées. Communication transparente médecin-patient essentielle sécurité efficacité traitements nombreux patients omettent mentionner compléments considérant anodins naturels inoffensifs erreur dangereuse dialogue ouvert sans jugement clé prise charge optimale.

Où acheter des compléments alimentaires de qualité en toute sécurité ?

Choix circuits distribution garantissant qualité traçabilité sécurité sanitaire essentiel éviter produits frelatés dangereux. Pharmacies circuit privilégié sécurité maximale pharmaciens professionnels santé formés conseil personnalisé vérification interactions compatibilité traitements, sélection marques laboratoires réputés fiables contrôles qualité rigoureux, traçabilité lots garantie provenance, prix souvent supérieurs grande distribution MAIS qualité assurée. Parapharmacies alternative intéressante personnel formé (pas pharmaciens) conseils généraux, gamme large marques diverses prix compétitifs, contrôles qualité variables selon enseignes privilégier chaînes réputées (ParaSelection Pharmacie Lafayette), absence vérification interactions médicamenteuses approfondie consultation pharmacien préférable cas traitements. Magasins spécialisés bio diététique (Naturalia Biocoop La Vie Claire) produits bio écologiques végans certifications agriculture biologique labels qualité, personnel sensibilisé nutrition naturelle MAIS formations médicales limitées conseils parfois approximatifs idéologiques, gamme ciblée phytothérapie compléments naturels plantes moins large gamme complète, prix généralement élevés positionnement premium bio. Grande distribution supermarchés hypermarchés (Carrefour Auchan Leclerc Casino) rayons compléments alimentaires développés gamme basique multivitamines minéraux oméga-3 probiotiques, prix attractifs accessibilité géographique horaires larges, MAIS absence total conseil professionnel qualifié risque achats inadaptés besoins, qualité hétérogène marques distributeurs versus laboratoires spécialisés, risques ruptures stocks gestion approximative. Internet sites e-commerce achats en ligne confort domicile livraison rapide prix souvent compétitifs promotions, MAIS risques majeurs sites frauduleux produits contrefaits composition douteuse ingrédients dangereux interdits (sibutramine phénolphtaléine), absence contrôles qualité traçabilité incertaine provenance inconnue, impossibilité conseil professionnel personnalisé, délais livraison variables frais port, RÉSERVER achats sites officiels laboratoires réputés (Nutri&Co Solgar Vit’all+ Bion Lero Arkopharma) ou marketplaces sécurisées (Amazon vendeurs certifiés) vérifier avis clients notations indépendantes. Critères qualité sélection privilégier laboratoires français européens réputés historique long expertise reconnue certifications ISO HACCP BPF volontaires, vérifier composition étiquetage détaillé liste exhaustive ingrédients dosages précis AJR absence additifs controversés colorants artificiels conservateurs suspects, rechercher labels qualité garantie AFNOR certification biologique AB EU contrôles indépendants, consulter avis consommateurs vérifiés sites indépendants (Que Choisir 60 Millions consommateurs) forums spécialisés, comparer prix qualité méfier prix trop bas suspects, vérifier dates péremption conservation conditions stockage. Éviter absolument sites internet étrangers sans traçabilité européenne, produits promesses miraculeuses allégations thérapeutiques illégales, compléments composition floue ingrédients non détaillés, prix anormalement bas défiant concurrence, vendeurs non identifiables coordonnées absentes, absence numéros enregistrement notifications réglementaires. Signaler produits suspects frauduleux DGCCRF Signal Conso ARS protéger autres consommateurs.

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