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Depuis 2007, JeRetiens s’est imposé dans l’espace francophone comme incontournable pour l’apprentissage, la mémorisation et la culture générale. Avec nos 1331 articles détaillés, nous abordons autant les techniques mnémotechniques que des sujets d’encyclopédie : grands récits historiques, faits insolites, traditions culturelles, religion, linguistique, et bien plus encore. Totalement gratuit, notre site se veut à la fois pédagogique et ludique, offrant à chacun la possibilité d’apprendre, de comprendre et de retenir à son rythme.

Pourquoi JeRetiens est unique ?

Nous croyons que la curiosité est le moteur principal de la connaissance. Que vous cherchiez à améliorer votre mémoire, à approfondir votre culture générale ou simplement à découvrir de nouveaux sujets, vous trouverez chez nous un large éventail de contenus : de la polémologie à l’irénologie, de la bienséance à l’alphabet arabe, des sourates de l’islam aux capitales du monde, en passant par les douze travaux d’Hercule et de nombreuses anecdotes culturelles. Dans cette mini-encyclopédie, nous mettons l’accent sur la pédagogie, les exemples concrets et les astuces mémos pour rendre chaque lecture utile et passionnante.

Explorez notre sélection des meilleurs articles

Avec plus de 1240 contenus inédits, il peut être difficile de savoir par où commencer ! C’est pourquoi nous avons créé une rubrique dédiée : Les meilleurs articles. Vous y trouverez des dossiers approfondis sur des thèmes variés : par exemple, comprendre les souvenirs d’enfance, décrypter la fonction des rêves, revisiter des chapitres marquants de l’histoire, ou encore vous familiariser avec des codes culturels du monde entier. Nous vous recommandons également de consulter nos articles de fond sur la religion et la spiritualité, dont certains consacrés à la lecture et à la mémorisation des sourates, ou encore aux traditions bouddhistes. De la mythologie gréco-romaine aux coutumes du Moyen-Âge, en passant par des fiches sur la bienséance au quotidien, il y en a pour tous les goûts.

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Mémorisation : plus de 3500 moyens mnémotechniques

Parce que retenir facilement n’est pas qu’une question de talent, JeRetiens vous propose des moyens mnémotechniques originaux et accessibles à tous. Vous utilisez déjà, sans le savoir, des phrases-clés ou des images mentales (comme « Mais où est donc OrNiCar ? » ou les poings pour savoir si un mois a 30 ou 31 jours). Nous allons encore plus loin : nos méthodes vous aideront à assimiler des listes de mots, apprendre de nouveaux alphabets (par exemple l’alphabet arabe), mémoriser les capitals du monde, ou encore retenir des séquences complexes comme les sourates et leurs versets, le tout de manière ludique. Notre objectif ? Vous permettre de gagner du temps dans vos études, votre vie professionnelle ou simplement pour nourrir votre passion du savoir.

Des articles de fond pour nourrir votre culture générale

En parallèle des techniques de mémorisation, JeRetiens s’est aussi développé comme un média d’explications pédagogiques. Chaque article se veut à la fois précis et illustré d’exemples concrets. Vous pourrez ainsi explorer l’anatomie du cerveau, découvrir pourquoi nous n’avons que peu de souvenirs de la petite enfance, ou comment fonctionne la répétition espacée pour ancrer vos connaissances. Nous abordons également des sujets variés comme la bienséance et le savoir-vivre, l’évolution de certaines coutumes et même des réflexions sur la spiritualité, la littérature et l’étymologie.

Énigmes, quiz et casse-têtes : amusez-vous en apprenant

Pour rendre l’apprentissage plus amusant, nous proposons aussi des énigmes et casse-têtes. Vous y trouverez des défis logiques, des rébus, des devinettes historiques ou littéraires, et bien d’autres jeux qui feront travailler vos méninges tout en enrichissant votre culture générale. De nombreuses énigmes sont accompagnées de solutions explicatives et de pistes mnémotechniques pour progresser.

Une mini-encyclopédie gratuite, en constante évolution

Avec ses centaines de sujets, JeRetiens a évolué pour devenir une véritable base de connaissances en ligne. Notre plateforme est entièrement gratuite et résulte d’un travail collaboratif : chacun peut proposer ses propres trucs mnémotechniques, enrichir des articles existants ou suggérer de nouveaux thèmes à aborder. Au fil des ans, ce sont 17 ans d’articles, de retours de lecteurs et d’astuces testées qui alimentent ce site. Nous croyons que la connaissance doit être partagée librement pour que chacun puisse progresser et s’ouvrir à de nouveaux horizons.

Nos dernières publications

Si vous êtes un peu perdu, commencez par parcourir nos meilleurs articles : vous y trouverez nos coups de cœur et des textes de fond qui traitent aussi bien de mythologie, de religion, de science ou d’éducation. Nous mettons à jour régulièrement l’article du mois, pour mettre en lumière des sujets phares, des méthodes innovantes ou des découvertes insolites. Pensez également à jeter un œil aux nouveautés pour profiter de contenus encore frais !
Au passage, pour en savoir plus sur l’architecture, découvrez cet article ou celui-ci, qui explorent différents styles et techniques de construction.

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Dès la naissance des technologies informatiques, la problématique de stockage et de traitement des données a été particulièrement importante.

Il existe une variété de supports de stockage de données : magnétiques, optiques, mécaniques… Ils servent à stocker des informations numériques destinées à un usage opérationnel.

On distingue deux types de données : les données entrantes et les données sortantes. Les données entrantes sont les données que l’utilisateur saisit dans l’ordinateur, et les données sortantes sont les données que l’ordinateur émet après le traitement. Vu que la saisie des données prend du temps, la mémoire vive de l’ordinateur (RAM) n’est qu’une solution à court terme. Étant donné que sa capacité est limitée, une solution à long terme devient indispensable. C’est là qu’interviennent les entrepôts de données.

Comment fonctionne l’entrepôt de données ?

En termes simples, les ordinateurs se connectent aux dispositifs de stockage soit directement, soit via un réseau. Les utilisateurs indiquent aux ordinateurs le chemin d’accès aux données souhaitées et leur demandent d’y enregistrer les données traitées.

Dispositifs de stockage

Tous les dispositifs de stockage peuvent être divisés en deux types : ceux qui sont directement connectés à un ordinateur et ceux qui sont connectés à un réseau. Le premier type concerne le plus souvent les supports de stockage locaux qui sont physiquement connectés à un seul ordinateur, par exemple, les CD, les DVD, les clés USB, les disques durs externes, etc. Le stockage en réseau permet à plusieurs utilisateurs d’accéder aux données pour un travail collaboratif.

Qu'est-ce qu'un entrepot de données ?
Photo par Brett Sayles. Souce: Pexels

Compte tenu des diverses tâches de stockage, d’interprétation, de gestion et de manipulation des bases de données, toute entreprise a besoin de recourir à des outils comme SolarWinds Storage Resource Monitor permettant de surveiller et d’optimiser plusieurs plateformes SGBD, de diagnostiquer et d’améliorer le Serveur SQL et le service Azure SQL, de surveiller les performances et d’optimiser les bases de données traditionnelles open source et cloud.

Les types de stockage et leurs différences

Au niveau des blocs, le stockage est le principe de base d’un disque dur traditionnel. Les fichiers sont découpés en « morceaux » de la même taille et dotés de leur propre « adresse ». Le système de fichiers est le lien entre le stockage au niveau des blocs et les entrées/sorties des données. Ces dernières sont stockées sous forme de fichiers et de dossiers qui sont accessibles pour l’utilisateur. Le principal problème d’un tel système réside dans ses limitations.

Il existe également des systèmes de stockage d’objets numériques qui diffèrent des systèmes de stockage de blocs par le fait qu’ils ne disposent pas de système de fichiers. Ils ne présentent aucune structure hiérarchique. De tels répertoires contiennent simplement des objets dotés d’identifiants uniques qui offrent à l’utilisateur la possibilité de récupérer les données. Les systèmes en question permettent de stocker des pétaoctets de données.

Le simple stockage de données se révèle souvent insuffisant, puisqu’il faut également les transformer et structurer. Les systèmes de fichiers ont des limites à cet égard, car la gestion des métadonnées, la hiérarchie et les backups ne sont pas accessibles.

Les enjeux

Le stockage local de données se révèle insuffisant en termes d’espace, de sécurisation, d’accès multi-utilisateurs, de vitesse et de performances. L’infrastructure de stockage constitue la base sur laquelle repose l’information. Dans cette optique, l’infrastructure de stockage doit soutenir les objectifs commerciaux et le modèle économique de l’entreprise.

Quels sont les enjeux du stockage de données ?
Photo par: ThisIsEngineering. Source: Pexels.

Le défi majeur consiste à créer une solution de stockage complète intégrant et mettant à jour l’infrastructure informatique existante tout en réduisant les coûts, d’où l’importance des solutions permettant de gérer les données à la fois localement et à partir de l’entrepôt de données Cloud.

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Le cri d’un animal est sa voix ordinaire et le nom de ce cri finit généralement par -ment ou par -age. Si le nom de plusieurs cris d’animaux sont connus dès l’enfance, comme le mugissement de la vache, le miaulement du chat, l’aboiement du chien ou encore le croassement du corbeau, d’autres noms de cris demeurent plus confidentiels.

Le tableau ci-dessous propose une liste de cris d’animaux ou de sons émis par les animaux.

En bref : Tout savoir sur le cri des animaux

  • Le cri d’un animal est souvent désigné par un nom se terminant en -ment ou -age.
  • De nombreux animaux partagent le même verbe pour leur cri, comme l’ours et l’hippopotame qui grognent.
  • Certains cris sont très spécifiques : on parle du barrissement de l’éléphant ou du braiment de l’âne.
  • Les onomatopées comme « miaou » pour le chat ou « coin coin » pour le canard sont des représentations simplifiées des cris animaux.
  • La communication animale ne se limite pas aux cris : elle inclut aussi les chants, les sifflements et les grognements.

Les mammifères terrestres : des cris familiers ou surprenants

Nom de l’animal
Nom du cri de l’animal Nom du cri de l’animal conjugué
Âne Braiment
Onomatopée : hi-han
L’âne brait
Bélier
Blatèrement Le bélier blatère
Biche
Brame, bramée ou bramement, raire, râle ou râlement La biche brame, rait ou rée, râle ou ralle
Bouc Béguètement, bêlement, chevrotement
Onomatopée : bé, bè ou bê
Le bouc béguète, bêle ou chevrote
Bœuf Beuglement, meuglement, mugissement
Onomatopée : meuh
Le bœuf beugle, meugle ou mugit
Brebis
Bêlement, chevrotement La brebis bêle ou chevrotte
Buffle Beuglement, mugissement, soufflement Le buffle beugle, mugit, ou souffle
Cerf Brame, bramée ou bramement, raire, râle ou râlement Le cerf brame, rait ou rée, râle ou ralle
Chacal Aboiement, jappement Le chacal aboie ou jappe
Chameau Blatèrement Le chameau blatère
Chat Feulement, miaulement, ronronnement
Onomatopée : miaou, ronron
Le chat feule, miaule ou ronronne
Cheval (ou l’étalon, la jument) Ébrouement, hennissement Le cheval s’ébroue ou hennit
Chèvre
Béguètement, bêlement, chevrotement
Onomatopée : bé, bè ou bê
La chèvre béguète, bêle, ou chevrote
Chevreuil Brame ou bramement, raire, râle ou râlement Le chevreuil brame, rait ou rée, râle ou ralle
Chien Aboiement, clabaudage, glapissement (chiot), grognement, grondement, hurlement, jappement
Onomatopée : wouf
Le chien aboie, clabaude, glapit (chiot), grogne, gronde, hurle, ou jappe
Chimpanzé Cri, hurlement Le chimpanzé crie ou hurle
Cochon Grognement
Onomatopée : groin-groin
Le cochon grogne
Daim Brame ou bramement, râle ou râlement Le daim brame ou râle
Éléphant Barrissement L’éléphant barrit
Gorille Cri, hurlement Le gorille crie ou hurle
Guenon
Cri, hurlement, piaillement La guenon crie, hurle ou piaille
Hase
Couinement, vagissement La hase couine ou vagit
Hippopotame Grognement L’hippopotame grogne
Hyène Hurlement, ricanement La hyène hurle ou ricane
Jument
Ébrouement, hennissement La jument s’ébroue ou hennit
Kangourou Toussotement, grognement, cliquetis Le kangourou tousse, grogne ou cliquette
Laie
Grognement, grommellement La laie grogne ou grommelle
Lama Hennissement Le lama hennit
Lapin Clapissement, couinement, glapissement Le lapin clapit, couine ou glapit
Lièvre Couinement, vagissement Le lièvre couine ou vagit
Lion Rugissement Le lion rugit
Loup Hurlement Le loup hurle
Marmotte Sifflement La marmotte siffle
Mouton Bêlement, chevrotement
Onomatopée : bé, bè ou bê
Le mouton bêle ou chevrotte
Ours Hurlement, grondement, grognement L’ours hurle, gronde ou grogne
Panthère Feulement, miaulement, rugissement La panthère feule, miaule ou rugit
Porc
Grognement Le porc grogne
Rat Chicotement, couinement Le rat chicote ou couine
Renard Glapissement, jappement Le renard glapi ou jappe
Rhinocéros Barrissement Le rhinocéros barète ou barrit
Sanglier Grognement, grommellement
Onomatopée : groin-groin
Le sanglier grogne ou grommelle
Singe Cri, hurlement, piaillement Le singe (ou la guenon) crie, hurle ou piaille
Souris Chicotement, couinement La souris chicote ou couine
Taureau
Beuglement, meuglement, mugissement
Onomatopée : meuh
Le taureau beugle, meugle ou mugit
Tigre Feulement, miaulement, râle ou râlement, rauquement, rugissement Le tigre feule, miaule, râle, rauque ou rugit
Truie
Grognement La truie grogne
Vache
Beuglement, meuglement, mugissement
Onomatopée : meuh
La vache beugle, meugle, ou mugit
Zèbre Hennissement Le zèbre hennit

Oiseaux et insectes : chants et stridulations

Nom de l’animal
Nom du cri de l’animal Nom du cri de l’animal conjugué
Abeille Bourdonnement, vrombissement L’abeille bourdonne, vrombit
Aigle Glatissement L’aigle glatit ou trompette
Alouette Grisollement, tireli ou tirelis L’alouette grisolle, tirelire, ou turlute
Canard Cancan, nasillement
Onomatopée : coin coin
Le canard cancane ou nasille
Chauve-souris Grincement La chauve-souris grince
Chouette Chuintement, hululement ou ululement
Onomatopée : hou hou
La chouette chuinte, hue, hulule (ou ulule)
Cigale Chant, craquètement ou craquettement, stridulation La cigale chante, craquette ou stridule
Cigogne Craquètement ou craquettement La cigogne claquette ou craquette
Coq Chant
Onomatopée : cocorico
Le coq chante, coqueline, ou coquerique
Corbeau Craillement, croassement, graillement Le corbeau craille, croasse ou graille
Corneille Craillement, croassement, graillement La corneille craille, croasse ou graille
Criquet Stridulation Le criquet stridule
Cygne Sifflement, trompettement Le cygne siffle ou trompette
Dinde Glougloutement
Onomatopée : glouglou
La dinde glougloute
Dindon Glougloutement Le dindon glougloute
Épervier Glapissement, piaulement L’épervier glapit ou piaule
Faisan Criaillement Le faisan criaille
Geai Jasement, sifflement Le geai cajole, jase ou siffle
Guêpe Bourdonnement, vrombissement La guêpe bourdonne ou vrombit
Hibou Hululement ou ululement, bouboulement
Onomatopée : hou hou
Le hibou hulule (ou ulule), hue, ou bouboule
Hirondelle Gazouillement, trissement L’hirondelle gazouille ou trisse
Huppe Pupulement La huppe pupule
Jars Jargonnement Le jars jargonne
Merle Babil ou babillage, jasement, sifflement Le merle babille, flûte, jase ou siffle
Mésange Zinzulement La mésange zinzinule
Moineau Pépiement Le moineau pépie
Oie Cacardement, criaillement L’oie cacarde ou criaille
Paon Braillement, criaillement Le paon braille ou criaille
Perdrix Criaillement, gloussement La perdrix cacabe, criaille ou glousse
Perroquet Craquement, criaillement, jasement Le perroquetcraque, criaille ou jase
Pie Babil ou babillage, jacassement, jasement La pie babille, cajole, jacasse ou jase
Pigeon Roucoulade, roucoulement ou roucoulis Le pigeon caracoule ou roucoule
Pinson Ramage, sifflement Le pinson ramage ou siffle
Pintade Criaillement La pintade cacabe ou criaille
Poule Caquetage, caquet ou caquètement, gloussement
Onomatopée : cot cot
La poule caquette, claquette ou glousse
Rossignol Rossignolement Le rossignol rossignole ou trille
Sauterelle Stridulation La sauterelle stridule
Taon Bourdonnement, vrombissement Le taon bourdonne ou vrombit
Tourterelle Gémissement, roucoulade, roucoulement ou roucoulis La tourterelle caracoule, gémit ou roucoule

Animaux aquatiques et reptiles

Nom de l’animal
Nom du cri de l’animal Nom du cri de l’animal conjugué
Baleine Chant, gémissement, grondement La baleine chante, gémit, ou gronde
Crocodile Lamentation, vagissement Le crocodile lamente ou vagit
Dauphin Cliquetis, gloussement, grincement, sifflement Le dauphin cliquette, glousse, grince, siffle
Grenouille Coassement La grenouille coasse
Otarie Bêlement, grognement, rugissement L’otarie bêle, grogne ou rugit
Phoque Bêlement, grognement, rugissement Le phoque bêle, grogne ou rugit
Serpent Sifflement Le serpent siffle

En conclusion

Comme nous l’avons vu, la langue française est riche et précise lorsqu’il s’agit de décrire les sons que font les animaux, du bêlement du mouton au barrissement de l’éléphant. Maîtriser ce vocabulaire, c’est non seulement enrichir ses connaissances, mais aussi se connecter plus profondément au monde animal qui nous entoure. C’est un aspect fascinant de la linguistique et de la zoologie, qui montre à quel point les sons de la nature ont été intégrés dans notre langage quotidien pour mieux la comprendre et l’exprimer.

FAQ : tout savoir sur le cri des animaux

Comment appelle-t-on le cri d’un animal ?

Le cri d’un animal est généralement appelé par un nom commun se terminant par le suffixe -ment ou -age, comme le miaulement du chat, l’aboiement du chien ou le braiment de l’âne.

Quel animal fait le bruit le plus fort ?

La baleine bleue émet un chant qui peut atteindre 188 décibels, ce qui en fait l’animal le plus bruyant de la planète. Ces sons, plus puissants qu’un moteur de fusée, peuvent être entendus sur des centaines de kilomètres sous l’eau.

Comment se nomme le cri du hibou et de la chouette ?

Le cri du hibou et de la chouette est un hululement ou un ululement. On dit que le hibou ou la chouette « hulule » ou « ulule ». Ils peuvent également émettre des bruits plus rauques comme le chuintement.

Quel est le nom du cri de la grenouille ?

Le cri de la grenouille s’appelle le coassement. Le verbe correspondant est « coasser ». Ce son caractéristique est souvent audible près des points d’eau et des étangs.

Comment appelle-t-on le cri du loup ?

Le cri du loup est un hurlement. Il est souvent utilisé pour communiquer à longue distance avec d’autres membres de la meute, pour marquer leur territoire ou pour exprimer leur présence.

Quel nom donne-t-on au cri du cheval ?

Le cri du cheval est un hennissement. Le verbe associé est « hennir ». Ce cri est un moyen de communication essentiel entre les chevaux pour exprimer leurs émotions, de la joie à l’anxiété.

Quel est le nom du cri de l’éléphant ?

Le cri de l’éléphant est un barrissement. Le verbe est « barrir ». Ce son puissant est émis par leur trompe et sert à des fins de communication sociale sur de longues distances, ainsi qu’à exprimer diverses émotions.

Comment se nomme le cri du sanglier ?

Le cri du sanglier est le grognement ou le grommellement. Il se dit que le sanglier « grogne » ou « grommelle », et ces sons sont des indicateurs de sa présence en forêt.

Quel est le nom du cri du corbeau ?

Le cri du corbeau se nomme un croassement, un craillement ou un graillement. On dit que le corbeau « croasse », « craille » ou « graille ».

Quel est le nom du cri du coq ?

Le cri du coq est un chant. Le verbe est « chanter » et l’onomatopée la plus connue est cocorico.

Comment appelle-t-on le cri du cerf ?

Le cri du cerf est le brame ou le bramement, particulièrement pendant la période de reproduction. On dit que le cerf « brame » ou « rait ».

Quel est le nom du cri de la marmotte ?

Le cri de la marmotte est un sifflement. Les marmottes émettent ces sifflements très forts pour prévenir les autres membres de leur groupe d’un danger imminent.

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Les premiers fards utilisés pour la mise en beauté des yeux remontent au temps de la civilisation égyptienne. Des vestiges de poudres et de contenants à fards datant de plus de 3000 ans avant J.-C., trouvés dans les tombes égyptiennes témoignent de leur usage répandu. Mais contrairement à la conception moderne du maquillage, leur rôle pendant l’Antiquité dépassait largement la fonction embellissante. Le maquillage des yeux était non seulement un indice d’appartenance à un statut social mais il avait une place dans les cérémonies religieuses.

Depuis quand se maquille-t-on ?
Différentes poudres de maquillage, avec leurs pinceaux prêts à l’emploi.

Alors que les premiers fards font leur apparition dans la culture égyptienne, il a fallu des siècles pour aboutir aux pratiques modernes de maquillage. De nos jours, il suffit de considérer la profusion de palettes à maquillage et la variété infinie de teintes et textures pour se rendre compte que le maquillage est devenu une source d’expression créative (par exemple, le catalogue du MAKEUP en contient plus de 500: https://makeup.fr/categorys/419835/). Mais voyons comment nous y sommes arrivés.

Les fards à paupières de l’Antiquité aux Temps Modernes

Le fameux trait noir qu’on dessinait au-dessus des cils supérieurs dans l’Égypte Ancienne se réalisait avec le mesdemet, un fard actuellement connu sous le nom de khôl. C’est à partir de cette pâte de minéraux et de graisse animale que le fard à paupières est né. Plutôt qu’un geste beauté, le trait noir tout pour des raisons religieuses et hygiéniques – étant fabriqué à partir de plomb et contenant du chlore, le khôl avait un pouvoir désinfectant, on croyait qu’il repoussait les insectes et protégeait les yeux du vent, du sable et du soleil aveuglant. Par la coloration des paupières, qui se réalisait principalement avec des pigments noirs et verts, les anciens égyptiens cherchaient également à s’approcher à l’apparence de leurs divinités.

Des hiéroglyphes attestant du maquillage à l'époque.
Des hiéroglyphes attestant du maquillage à cette époque.

Contrairement aux égyptiens, les anciens romains appliquaient les fards principalement pour leur fonction esthétique et se servaient de différents matériaux pour imiter l’effet du khôl – suies et cendres, liège brûlé, pâte d’amandes broyées, minéraux et fleurs sèches. Étant signe de richesse et d’origine aristocratique, le maquillage des paupières était réservé aux hommes et femmes appartenant à un haut rang social. L’idéal de beauté médiévale diffère de celui de l’Antiquité. Même si les hommes et les femmes dans les cours royales, le focus n’était pas sur la mise en beauté des yeux. Le visage entier devait être extrêmement pâle, caché sous des tons de poudre blanche, en contraste avec la rougeur des joues et des lèvres. La mode du visage et des paupières privées de couleurs règne jusqu’au XVIIIème siècle quand la Révolution Française met fin à l’obsession pour le teint blanc.

La beauté des yeux à travers les siècles

Ce n’est qu’à partir des années vingt du XXème siècle, sous l’influence des films muets, que les femmes ont succombé au charme du maquillage des yeux charbonneux et ont adopté cette tendance au quotidien. Durant les années folles on assiste à une démocratisation du maquillage sous l’impulsion du progrès de la chimique ce qui amène au remplacement graduel des ingrédients toxiques dans la compositions des ombres à paupières. Au cours des années 1930, les femmes ont commencé à expérimenter avec les teintes de fards pour donner une dimension plus esthétique au regard. La femme entrepreneuse Elizabeth Arden (née Florence Nightingale Graham) en tête d’un empire cosmétique aux États-Unis a été la première à parler de l’association des couleurs et du fait de les assortir à sa tenue.

La période après la Deuxième Guerre mondiale est marquée par l’envie d’adoucir les traits féminins. Le look poupée culte de l’époque misait sur le regard dans les tons clairs, le trait d’eyeliner épais et la frange de cils intensifiée. Durant les années soixante, les fards à paupières bleus, bleu vert et violet dominaient les looks de maquillage. Ce sont les années soixante-dix et l’ère disco qui ont imposé une nouvelle vision libératrice du maquillage pour donner  le feu vert aux teintes brillantes, métalliques et audacieuses.

 

 

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Pour beaucoup d’amateurs de vin, le Beaujolais évoque une image de légèreté et de convivialité, souvent résumée par l’expression « vin de copains ». Si cette réputation est en partie fondée, elle ne rend pas justice à la complexité et à la richesse d’un vignoble qui a entrepris une véritable révolution. Bien au-delà du célèbre Beaujolais Nouveau, une nouvelle génération de vignerons s’attache à redonner ses lettres de noblesse à la région, en s’appuyant sur un travail minutieux du terroir et du cépage Gamay.

En bref : Le Beaujolais, plus qu’un vin de copains

  • Le Beaujolais Nouveau, par son marketing, a longtemps façonné une image de vin simple et léger.
  • Une nouvelle génération de vignerons a entrepris une véritable révolution, en se concentrant sur la qualité et les pratiques culturales.
  • Le travail sur la notion de terroir (parcelles, sols, exposition) est devenu une priorité, à l’image des vins de Bourgogne.
  • Certains vins issus des dix crus du Beaujolais sont reconnus comme des vins de gastronomie, capables de vieillir.
  • Malgré cette montée en gamme, la majorité des vins du Beaujolais reste des vins simples, gourmands et conviviaux, parfaits pour le quotidien.

L’impact du beaujolais nouveau

Bien évidemment, le fameux beaujolais nouveau est passé par là. Et il a laissé des traces dans l’esprit du consommateur. Les autochtones ne sont pas les moins critiques au sujet des vins du Beaujolais. Souvent d’ailleurs, le singulier s’impose dans le propos du dégustateur lambda. Il y aurait ainsi UN vin du Beaujolais seul et unique. Notons d’ailleurs qu’il existe une confusion (enrichie par la phonétique) entre le beaujolais (vin) et le Beaujolais (vignoble). Cela renforce cet aspect d’unité pour ne pas dire d’unicité.

En outre, le beaujolais nouveau a été d’un tel poids marketing qu’un esprit peu coutumier de la chose bachique peut facilement, confusément (et donc bien trop rapidement) associer le vin du Beaujolais au seul et unique beaujolais nouveau. Ainsi, il en ressortira chez beaucoup un intérêt très modéré (dans le meilleur des cas) voire le dégoût ou l’ironie comme mentionné précédemment.

Le Beaujolais fait sa révolution

Et pourtant, le vignoble du Beaujolais, ses vignerons ont entamé depuis plusieurs années maintenant une véritable révolution. Quoi de neuf en Beaujolais ? pourrait-on s’interroger.

Du neuf pour le beaujolais nouveau

Tout d’abord, signalons que le beaujolais nouveau actuel n’a rien à voir avec le beaujolais nouveau qui se faisait il y a une dizaine ou une quinzaine d’années. La crise du vignoble beaujolais dans son ensemble (années 1990 – 2000) est passée par là. Une nouvelle génération de vignerons s’est progressivement installée. Une meilleure connaissance technique associée à des pratiques culturales moins excessives a favorisé dans l’ensemble une renaissance du beaujolais nouveau. Celui-ci est devenu de belle qualité chez bon nombre de vignerons. Et c’est tant mieux ! Qui s’en plaindrait ? Bien souvent, les vins associent désormais une belle maturité, une rondeur gourmande, le tout équilibré par une fraîcheur salivante. Le vin témoigne de cet esprit simple, gourmand et facile que l’on aime partager en toute occasion du quotidien, qui appelle la chaleur et la convivialité des proches. Un « vin de copains » comme on aime à dire.

Question de terroir

Mais l’histoire du renouveau du vignoble du Beaujolais est trop belle pour s’arrêter là. En effet, dans leur volonté de monter en gamme, les vignerons ses sont mis à (re)découvrir leur terroir. Une vaste étude réalisée sur plusieurs années, portant sur l’identification des différents types de sols, a été menée avec précision et rigueur. Un travail riche d’enseignements. Plus de 300 types de sols ont été mis au jour.

Les lieux-dits (notamment sur les dix crus du Beaujolais) ont commencé à être mis en valeur et à être vinifiés séparément. Cette approche « parcellaire » à l’égal de ce qui se fait depuis bien longtemps dans le vignoble bourguignon se veut marqueur de qualité. La montée en gamme des vins est en marche. D’ailleurs, on peut noter sur un plan marketing, que cela s’accompagne d’une identification de ces lieux-dits sur les étiquettes des bouteilles.

En travaillant ainsi, le vigneron peut mieux révéler le terroir de ses vignes, mieux mettre en valeur ses spécificités et adapter ses pratiques culturales et de vinification. La spécificité des sols et sous-sol évoquée plus haut mais aussi la topographie (qui est importante en Beaujolais avec parfois des pentes conséquentes), sans oublier l’exposition et l’altitude évidemment ; tous ces éléments sont à prendre en considération.

Ainsi, progressivement, on s’est rendu compte que le gamay pouvait vieillir et bigrement bien. Ce cépage a également la capacité de supporter un élevage sous-bois quand ce dernier est adapté et est fait sans excès démonstratif. Le gamay n’est pas non plus un cabernet-sauvignon.

Le Beaujolais et ses ambassadeurs

Petit à petit les vins de gastronomie en Beaujolais se sont manifestés. Ils sont tout d’abord apparus sur les tables des grands établissements gastronomiques parisiens / londoniens / new-yorkais. Des sommeliers de renom les ont mis en valeur dans leur établissement. La presse spécialisée s’en est faite l’écho. Les blogs des amateurs ont suivi.

Ces beaujolais de gastronomie, de terroir sont issus majoritairement des dix crus du Beaujolais (partie Nord du Vignoble). Certains noms sont particulièrement propices à mettre en valeur leur aspect gastronomique. On citera par exemple, Moulin à Vent, Fleurie, Morgon, Côte de Brouilly. Cette liste n’est en rien exhaustive. En effet, certains vins AOC beaujolais-villages voire AOC beaujolais peuvent se retrouver parfaitement sur des tables de bistronomie dans un esprit un peu canaille.

Qu’est-ce qu’un vin de Gastronomie ?

Mais finalement, un vin de gastronomie c’est quoi ? Pour faire simple, on peut dire qu’un vin de gastronomie est un vin qui accompagne et sublime un plat et qui se laisse sublimer par lui en retour. Il y a une osmose qui se crée (1+1=3). Il est donc capable de faire montre de complexité, de personnalité et d’adaptabilité. Certains vins des crus du Beaujolais sont à même de pouvoir présenter de tels profils organoleptiques. Mais soyons franc, il s’agit là d’un faible pourcentage, d’une minorité. Peut-être 10, 15 ou 20 %.

La plus grosse partie des vins produits dans le Beaujolais restera des vins simples mais parfaitement équilibrés qui ne manqueront pas de charme pour les occasions de la vie du quotidien. Simple rime avec bon et avec gamay du Beaujolais.

Conclusion

Le vignoble du Beaujolais est en pleine renaissance, bousculant les idées reçues et se détachant progressivement de l’image de « vin de soif » que le Beaujolais Nouveau a pu lui conférer. Grâce au travail rigoureux d’une nouvelle génération de vignerons, à la redécouverte de leurs terroirs et à une approche plus qualitative, le Beaujolais offre désormais une palette de vins bien plus large. Si la majorité de la production reste fidèle à son esprit de convivialité et de plaisir immédiat, une part croissante, notamment issue des crus, se positionne comme un vin de gastronomie, capable de rivaliser avec les meilleurs vins du monde. Le Beaujolais prouve ainsi qu’un même cépage, le gamay, peut à la fois être un vin simple et un grand vin de terroir.

FAQ : tout savoir sur le vignoble du Beaujolais

Pourquoi les vins du Beaujolais ont-ils une mauvaise réputation ?

La mauvaise réputation des vins du Beaujolais est en partie liée au succès commercial du Beaujolais Nouveau dans les années 1990 et 2000, qui a souvent privilégié la quantité sur la qualité, créant l’image d’un vin très simple, voire médiocre.

Qu’est-ce que le Beaujolais Nouveau ?

Le Beaujolais Nouveau est un vin de primeur, mis en bouteille seulement quelques semaines après les vendanges. Il est réputé pour sa légèreté et ses arômes de fruits frais. Il est commercialisé le troisième jeudi de novembre de chaque année.

Qu’est-ce qu’un cru du Beaujolais ?

Les crus du Beaujolais sont des appellations d’origine contrôlée (AOC) situées dans le nord du vignoble. Il en existe dix, réputés pour produire des vins de garde plus complexes et structurés : Brouilly, Chénas, Chiroubles, Côte de Brouilly, Fleurie, Juliénas, Morgon, Moulin-à-Vent, Régnié et Saint-Amour.

Le Beaujolais est-il un vin de Bourgogne ?

Le Beaujolais est souvent considéré comme la partie méridionale du vignoble de Bourgogne. Bien que les deux régions partagent des pratiques similaires comme la vinification parcellaire, le Beaujolais se distingue par son cépage principal, le gamay, et un terroir différent du Pinot Noir et du Chardonnay bourguignons.

Le Beaujolais peut-il vieillir ?

Contrairement aux idées reçues, certains vins du Beaujolais, en particulier ceux issus des crus les plus prestigieux comme le Moulin-à-Vent ou le Morgon, ont un excellent potentiel de garde et peuvent se bonifier en bouteille pendant 5 à 10 ans, voire plus.

Quelle est la différence entre un Beaujolais et un Beaujolais-Villages ?

Un Beaujolais provient de l’ensemble de la région viticole. Un Beaujolais-Villages est un vin produit à partir de raisins provenant d’une sélection de 38 villages qui bénéficient de terroirs plus qualitatifs, offrant des vins avec plus de caractère.

Quel cépage est utilisé pour faire le vin rouge du Beaujolais ?

Le cépage principal et presque exclusif utilisé pour le vin rouge du Beaujolais est le gamay noir à jus blanc. Ce cépage confère au vin ses arômes fruités et sa légèreté.

Qu’est-ce qu’un vin de gastronomie ?

Un vin de gastronomie est un vin qui possède la complexité et la personnalité nécessaires pour accompagner et sublimer un plat. Il ne se contente pas d’être un « vin de soif » mais est capable de créer une véritable harmonie avec la nourriture.

Qu’est-ce qu’un « vin de copains » ?

L’expression « vin de copains » désigne un vin simple, facile à boire et convivial, qui ne nécessite pas une longue maturation ou une analyse complexe. Il est idéal pour être partagé en toute occasion.

Le Beaujolais Nouveau actuel est-il de meilleure qualité qu’avant ?

Oui. Une nouvelle génération de vignerons a mis en place de meilleures pratiques culturales et de vinification, ce qui a permis d’améliorer considérablement la qualité du Beaujolais Nouveau, qui est aujourd’hui plus rond, fruité et équilibré.

Quel est le type de sol du Beaujolais ?

Le sol du Beaujolais est très diversifié, mais on y trouve majoritairement des granites, du schiste et des terrains sableux. C’est cette diversité qui permet de produire une grande variété de vins.

Quels sont les dix crus du Beaujolais ?

Les dix crus du Beaujolais sont : Brouilly, Chénas, Chiroubles, Côte de Brouilly, Fleurie, Juliénas, Morgon, Moulin-à-Vent, Régnié et Saint-Amour.

Quelles sont les notes aromatiques du Gamay ?

Le gamay du Beaujolais est connu pour ses arômes de fruits rouges frais (cerise, fraise, framboise), avec parfois des notes de banane, de bonbon anglais ou de fleurs (pivoine, iris).

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Le Gamay est un cépage clé du paysage viticole français : il donne des vins rouges avec une belle structure acide et des arômes fruités. Les vins produits à partir du Gamay sont très gourmands, avec par exemple des notes de fruits rouges, et on peut les déguster frais. Le Gamay produit également par macération semi-carbonique des vins rosés fruités, à consommer jeunes (5 à 10 ans) car à courte durée de conservation, et qui figurent souvent parmi les bons millésimes. Découvrez où est cultivé le cépage rouge Gamay en France et dans le monde.

En bref : Tout savoir sur le Gamay

  • Le Gamay, ou gamay noir à jus blanc, est un cépage français issu d’un croisement entre le Pinot noir et le Gouais Blanc.
  • Il est connu pour produire des vins rouges fruités et gourmands, et des rosés, qui peuvent se déguster frais.
  • Sa région de prédilection est le Beaujolais, qui concentre la majorité des 30 000 hectares cultivés en France.
  • Historiquement, il a été introduit par le duc de Bourgogne pour sa productivité, avant de se développer dans le Beaujolais, la Vallée de la Loire et d’autres régions françaises.
  • À l’étranger, la Suisse est le deuxième pays producteur, mais on le retrouve aussi en Italie, aux États-Unis ou au Canada.

D’où vient le Gamay ?

Le gamay est un cépage français, parfois appelé gamay noir à jus blanc caractérisé par des petites grappes compactes et des baies juteuses de taille moyenne et de couleur d’un noir violet. Très productif, on le cultive de manière limitée pour privilégier la qualité à la quantité. Le gamay est utilisé pour produire des vins rouges gourmands et très fruités ainsi que des vins rouges primeurs. Il a donné des millésimes de grande qualité ces dernières années (2009, 2010, 2011, 2013 et 2015).

La vigne du Gamay : la feuille et la grappe de raisins
Illustration de la feuille et de la grappe du gamay.

D’après une analyse ADN réalisée en 1999 par des chercheurs de l’ENSAM, de l’INRA et de l’Université de Californie à Davis, le Gamay serait issu d’un croisement entre le Pinot noir et le Gouais Blanc. On le distingue du Gamay de Bouze, le Gamay de Chaudenay, le Gamay Fréaux ou encore le Gamay du Saint-Laurent et le Gamay du Rhône, ses cousins teinturiers.

Le gamay est aujourd’hui notamment cultivé dans la région du Beaujolais, où on le surnomme le Gamay Beaujolais. Ce cépage provient à l’origine du hameau de Gamay, à Saint-Aubin sur la Côte de Beaune en Bourgogne. Au Moyen-Âge, on le plante massivement dans cette région même s’il est réputé de moins bonne qualité que le Pinot Noir, car il est plus productif et offre un excellent rapport quantité plantée / volume produit. Le duc de Bourgogne Philippe le Hardi est l’un des premiers à apprécier les qualités de ce cépage, qu’il va transporter jusqu’à la région de Mâcon, près de Lyon, pour l’utiliser dans la production du Beaujolais. Par chance, le cépage convient aux sols granitiques de cette région et produit bientôt un vin de qualité.

Face au succès du Gamay dans la région de Mâcon, les vignerons du Val de Loire finissent par adopter ce cépage qui leur permet de produire plus rapidement leurs vins, et donc de les commercialiser plus vite.

Les régions produisant du Gamay

En France, le Gamay a été introduit dans les vignobles du Val de Loire, ce qui a permis grâce à la proximité du Port de Nantes d’exporter facilement les vins produits, des vins rouges fruités et charnus, à partir de ce cépage à travers le monde. Le Gamay est aujourd’hui planté sur 35 000 dans le monde, dont 30 000 hectares en France et 22 000 hectares dans la région du Beaujolais. On le trouve cependant ailleurs en France : Val de Loire, Bourgogne, Moselle, Lorraine, Savoie, Auvergne… Parmi les AOC produites avec le Gamay, on trouve celles de Crémant-de-Bourgogne, Mâcon, Anjou, Touraine, Rosé de Loire, Côtes-d’Auvergne, Saint-Pourçain, Bugey, Gaillac, Côtes du Luberon…

Où est produit le gamay en France ?
Carte de France des régions produisant le cépage gamay.

Le Beaujolais

La région iconique du Gamay est le Beaujolais, où le cépage a été introduit au Moyen-Âge à la demande du duc de Bourgogne Philippe le Hardi. Les sols siliceux et granitiques sont très propices à la culture du Gamay et donnent un cépage de qualité. Le Gamay donne notamment le Beaujolais Nouveau, le Beaujolais-Village et les grands crus du Beaujolais. Ces vins rouges sont très fruités, avec des nuances de framboises et de fraise. C’est dans les années 70-80 que le vin du Beaujolais produit à partir du Gamay est devenu une véritable institution, à l’instigation des spécialistes du vin, alors qu’il était auparavant réservé aux vignerons.

La Bourgogne

La Bourgogne est la région d’origine du Gamay, où il a été introduit au 14ème siècle, concurrençant ainsi le Pinot Noir, le cépage principal de la région. Aujourd’hui, on cultive toujours le Gamay en Bourgogne où il donne de grands vins rouges Mâconnais. Le fameux Bourgogne Passe-tout-grains est un mélange de Gamay et de Pinot noir. Sinon, le Gamay donne le Bourgogne Grand Ordinaire, les Coteaux de Bourgogne et certains crémants de Bourgogne.

La Vallée de la Loire

Face au succès du Gamay en Bourgogne et dans le Beaujolais au Moyen-Âge, les vignerons du Val de Loire l’ont aussi adopté. Aujourd’hui, le Gamay donne les Coteaux du Vendômois mais aussi des vins rosés (sous les appellations Anjou et Saumur).

Les régions qui produisent du Gamay dans le monde

Le Gamay n’est pas uniquement cultivé en France. On le cultive aussi en Italie dans le Val d’Aoste, en Suisse dans les cantons du Valais, de Vaud et de Genève, en Espagne, au Portugal, en Europe de l’Est (Bulgarie, Roumanie, Hongrie, Slovénie), en Israël, en Russie, en Californie, en Australie, au Canada, en Afrique du Sud ou encore au Brésil. La Suisse est, après la France, le deuxième pays dans lequel le Gamay est le plus cultivé, notamment dans le canton du Valais. Le Gamay se hisse au 3ème rang des cépages rouges les plus cultivés en Suisse après le Pinot noir et le Merlot.

Conclusion

Originaire de Bourgogne, le Gamay a trouvé sa terre d’élection dans le Beaujolais, mais son succès s’étend bien au-delà. Grâce à sa capacité à produire des vins fruités, gourmands et appréciés pour leur fraîcheur, ce cépage a conquis de nombreuses régions en France et à travers le monde. Que ce soit en tant que base du célèbre Beaujolais Nouveau, composant d’un vin d’assemblage ou comme unique cépage d’un grand cru, le Gamay s’est imposé comme un acteur majeur du paysage viticole mondial. Sa polyvalence et sa capacité à s’adapter à des terroirs variés font de lui un allié de choix pour les vignerons cherchant à produire des vins à la fois accessibles et de caractère.

FAQ : Tout savoir sur le Gamay

Qu’est-ce que le Gamay ?

Le Gamay, aussi appelé Gamay noir à jus blanc, est un cépage de raisin rouge français connu pour produire des vins rouges et rosés fruités, avec une belle acidité et des arômes de fruits rouges (fraise, framboise).

D’où vient le Gamay ?

Le Gamay est originaire d’un hameau de la région de Bourgogne, au Moyen-Âge. Il est le fruit d’un croisement naturel entre le Pinot noir et le Gouais Blanc.

Quelle est la région la plus connue pour le Gamay ?

Le Beaujolais est la région viticole la plus emblématique du Gamay. C’est là que le cépage est le plus largement cultivé en France et qu’il exprime le mieux les caractéristiques de son terroir.

Quelles sont les notes aromatiques typiques du Gamay ?

Les vins de Gamay sont réputés pour leurs arômes de fruits rouges frais comme la framboise, la cerise, la groseille, mais aussi parfois des notes de banane ou de bonbon.

Le Gamay peut-il être utilisé pour faire du vin rosé ?

Oui, le Gamay est souvent utilisé pour faire des vins rosés fruités et légers, notamment par macération semi-carbonique. Ces vins sont généralement à consommer jeunes pour profiter de leur fraîcheur.

Dans quels autres pays que la France trouve-t-on du Gamay ?

Après la France, la Suisse est le deuxième pays producteur de Gamay. On le trouve aussi en Italie, aux États-Unis (Californie), au Canada, en Australie et dans plusieurs pays d’Europe de l’Est.

Est-ce que le Gamay peut vieillir ?

Si la plupart des vins de Gamay sont faits pour être bus jeunes, ceux issus de terroirs spécifiques, notamment des crus du Beaujolais (comme le Moulin-à-Vent ou le Morgon), peuvent avoir un excellent potentiel de garde.

Le Gamay est-il un vin de soif ?

Le Gamay est souvent considéré comme un « vin de soif » ou « vin de copains » en raison de sa facilité à boire et de son caractère fruité et gourmand. Il est idéal pour des occasions conviviales et une consommation quotidienne.

Qu’est-ce que le Beaujolais Nouveau ?

Le Beaujolais Nouveau est un vin de primeur produit à partir du Gamay et mis en vente chaque année le troisième jeudi de novembre. Il est connu pour son côté très fruité et léger, mais il ne représente qu’une petite partie des vins de la région.

Quelles sont les conditions idéales pour la culture du Gamay ?

Le Gamay s’épanouit particulièrement sur des sols granitiques et siliceux, comme ceux que l’on trouve en Beaujolais. Il s’adapte bien à différents climats, du plus frais au plus tempéré.

Quels sont les vins produits à partir du Gamay en dehors du Beaujolais ?

En dehors du Beaujolais, le Gamay est utilisé pour les vins rouges de la région du Mâconnais en Bourgogne, certains vins de la Vallée de la Loire (Anjou, Touraine) et divers vins d’autres régions françaises comme l’Auvergne ou la Savoie.

Quelle est la différence entre le Gamay et le Pinot Noir ?

Le Gamay et le Pinot Noir ont un lien de parenté, mais le Pinot Noir est un cépage plus complexe qui donne des vins plus structurés et plus aptes au vieillissement, tandis que le Gamay est plus productif et donne des vins plus légers et fruités.

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Les fruits de mer, comme la crevette et la langoustine, sont l’une des cuisines les plus appréciées, mais souvent ces deux crustacés sont confondus. Et qu’en est-il du scampi ? Découvrons ensemble les différences entre les crevettes et les langoustines et comment les reconnaître.

Quelle est la différence entre une crevette et une langoustine ou scampi ?
Les différences d’apparence entre la crevette (à gauche) et la langoustine, aussi appelée scampi (à droite).

En bref : Crevette vs langoustine et scampi

  • La langoustine, aussi appelée scampi, est un crustacé qui vit dans les mers et océans, apparenté au homard.
  • La crevette est un crustacé de taille plus petite que la langoustine, très répandu dans le monde.
  • Les langoustines ont une chair plus sucrée, tandis que le goût des crevettes est moins prononcé.
  • La langoustine possède des pinces et est de couleur orange pâle, même crue.
  • Le terme scampi vient de l’italien et désigne le même animal que la langoustine.

Les langoustines

Les langoustines ont un aspect assez identique à celui des écrevisses, mais contrairement à ces dernières qui vivent en eau douce, les langoustines se trouvent dans les océans et les mers. De plus, la classification des espèces indique que les langoustines sont apparentées aux homards, mais qu’elles ont tendance à être plus petites qu’eux. En moyenne, les langoustines mesurent entre 8 et 24 centimètres. Les langoustines sont munies d’un exosquelette, leur carapace a une teinte et des tons orange clair, et elle ne change pas de couleur après la cuisson, contrairement à celle du homard qui passe du bleu nuit tant qu’il est en vie à orange lorsqu’il est cuit.

Les langoustines vivent dans les fonds vaseux ou sablo-vaseux où elles creusent leur terrier entre 200 et 600 mètres de profondeur. On trouve des langoustines entre 20 et 800 mètres de profondeur.

Si l’on considère le goût et les propriétés gustatives, les petites langoustines sont généralement plus savoureuses que les plus grandes, étant donné la chair sucrée de la queue. En revanche, les plus grosses langoustines ont moins de goût, mais elles ont plus de chair autour des pinces et du corps en général. Les langoustines sont communément appelées homards de Norvège. On les retrouve sur la côte norvégienne et peuvent être pêchées dans la mer du Nord ou encore dans l’Atlantique Nord.

En ce qui concerne leur consommation, les langoustines sont très appréciées en Espagne, en France et en Italie. Le nom italien des langoustines est scampi, en français on rajoute un « s » : des scampis. Cette sémantique est communément admise pour désigner la langoustine : langoustine et scampis désignent le même animal.

Les crevettes

Les crevettes sont généralement pêchées, vendues et consommées dans le monde entier, car il s’agit de l’un des fruits de mer les plus courants. Toutefois, leur disponibilité dépend de l’endroit où elles se trouvent. Par exemple, les crevettes sont largement consommées en Amérique du Nord. On peut trouver des crevettes dans les eaux froides comme dans les eaux chaudes, que ce soit dans les régions polaires ou tropicales. Cependant, les crevettes d’eau douce sont très limitées en nombre. En général, les crevettes sont capturées au fond des plans d’eau salée ou encore sont pêchées dans des bassins d’élevage sur les plages de sable fin avec un filet que l’on pousse pour récolter les crevettes qui s’enfouissent dans le sable. Les crevettes roses quant à elles se pêchent sur les côtes rocheuses où l’épuisette est raclée contre la paroi des roches.

En ce qui concerne leur taille, les crevettes ont tendance à être plus petites que les autres fruits de mer, comme les langoustines. Il n’existe pas de taille standard pour les crevettes. En effet, il existe plusieurs variétés de crevettes comme les crevettes grises, les crevettes roses, etc. Les grandes crevettes pêchées en eaux salées sont appelées gambas.

En conclusion

Les crevettes sont souvent confondues avec les langoustines, néanmoins elles diffèrent par le goût (la langoustine est plus sucrée que la crevette) et par la taille (la langoustine est plus grande que la crevette). Il existe de nombreuses variétés de crevettes qui se retrouvent de par le monde, qu’il s’agisse des régions polaires ou tropicales, tandis que les langoustines se retrouvent en mer du Nord ou dans l’océan Atlantique.

FAQ : tout savoir sur la différence entre crevette, langoustine et scampi

Quelle est la différence principale entre une crevette et une langoustine ?

La différence principale réside dans leur apparence, leur taille et leur goût. La langoustine, plus grande, a un corps plus massif, des pinces et une chair sucrée. La crevette est plus petite et possède un goût plus délicat.

Est-ce que la langoustine et le scampi sont le même animal ?

Oui, la langoustine et le scampi sont le même animal. Le terme « scampi » est simplement le nom italien de la langoustine, qui est également couramment utilisé en France.

Comment la langoustine se compare-t-elle au homard ?

La langoustine est apparentée au homard et lui ressemble beaucoup, mais elle est généralement plus petite. Contrairement au homard qui change de couleur en passant du bleu au rouge-orange à la cuisson, la carapace de la langoustine est déjà orange clair avant d’être cuite.

Où trouve-t-on les langoustines ?

Les langoustines vivent dans les fonds vaseux ou sablo-vaseux de la mer du Nord et de l’océan Atlantique Nord, à des profondeurs allant de 20 à 800 mètres.

Où trouve-t-on les crevettes ?

Les crevettes sont très répandues dans le monde entier. On les trouve dans les eaux salées, qu’elles soient froides (régions polaires) ou chaudes (régions tropicales). Les crevettes d’eau douce sont beaucoup plus rares.

Pourquoi la langoustine est-elle appelée « homard de Norvège » ?

Elle est surnommée « homard de Norvège » car elle est pêchée sur les côtes norvégiennes et dans les eaux de l’Atlantique Nord. De plus, elle fait partie de la même famille que le homard, mais sa taille plus petite la rend plus accessible.

Les crevettes sont-elles de différentes tailles ?

Oui, il n’existe pas de taille standard. On trouve de petites crevettes, comme les crevettes grises, et de plus grandes, comme les crevettes roses ou les gambas, qui sont une variété de grande crevette.

Comment distinguer une langoustine d’une crevette à la vente ?

La langoustine est facile à distinguer : elle est plus grosse, a des pinces et sa carapace est toujours d’une couleur orange clair, même crue. Les crevettes sont plus petites et n’ont pas de pinces.

Quelle est la différence de goût entre une crevette et une langoustine ?

La chair de la langoustine, en particulier celle de la queue, est plus sucrée et plus délicate que celle de la crevette. Les plus grosses langoustines, en revanche, ont moins de goût mais plus de chair.

Qu’est-ce qu’une gambas ?

Une gambas est simplement une grande crevette pêchée dans les eaux salées.

Comment sont pêchées les crevettes et les langoustines ?

Les langoustines sont pêchées dans des terriers, au fond des océans et des mers. Les crevettes sont souvent pêchées sur les plages de sable (crevettes grises) ou sur les côtes rocheuses (crevettes roses) à l’aide de filets ou d’épuisettes.

Qu’est-ce qu’une langoustine à pattes jaunes ?

Il n’existe pas d’espèce de langoustine à pattes jaunes. La langoustine classique a les pinces et le corps de la même couleur orange clair. C’est peut-être un animal différent qui a été confondu avec la langoustine.

Quelle est la meilleure façon de cuisiner une langoustine ?

La langoustine est souvent cuite à la vapeur, grillée ou rôtie pour conserver au mieux sa chair sucrée et délicate. Les pinces et la queue sont les parties les plus consommées.

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