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Pourquoi JeRetiens est unique ?

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Des articles de fond pour nourrir votre culture générale

En parallèle des techniques de mémorisation, JeRetiens s’est aussi développé comme un média d’explications pédagogiques. Chaque article se veut à la fois précis et illustré d’exemples concrets. Vous pourrez ainsi explorer l’anatomie du cerveau, découvrir pourquoi nous n’avons que peu de souvenirs de la petite enfance, ou comment fonctionne la répétition espacée pour ancrer vos connaissances. Nous abordons également des sujets variés comme la bienséance et le savoir-vivre, l’évolution de certaines coutumes et même des réflexions sur la spiritualité, la littérature et l’étymologie.

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On s’intéresse largement à la manière dont la technologie peut faciliter et accélérer le travail des gens ou leur simplifier la vie, mais il y a un autre secteur dans lequel la technologie joue un rôle central et offre certainement les résultats les plus spectaculaires. Il s’agit du domaine de la santé, dans lequel la technologie a joué un rôle déterminant à bien des égards. Mieux encore, à l’heure actuelle, nous ne faisons qu’effleurer les possibilités de demain. Et si certaines technologies médicales s’avèrent plutôt complexes, d’autres se prêtent à un usage courant.

Dans cet article, nous nous penchons sur la façon dont la technologie peut aider les personnes souffrant de perte auditive et améliorer leur vie quotidienne.

Comment améliorer l'audition suite à une perte auditive ?

Est-il courant de souffrir d’une perte auditive ?

On associe souvent perte d’audition et vieillesse. S’il est vrai qu’elle est plus fréquente chez les personnes âgées, la perte auditive peut toutefois toucher des personnes de tout âge. Cela vaut également pour les jeunes enfants, qui peuvent présenter une déficience auditive à des degrés divers.

Selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, un adulte sur quatre souffre de troubles auditifs en France. Cela ne signifie pas nécessairement que tous les cas sont graves, mais au moins 25 % des adultes sont confrontés à des difficultés d’audition. Pour beaucoup, ces résultats ont constitué un signal d’alarme, montrant à quel point la perte auditive est courante.

Néanmoins, il convient de noter que certaines tendances se dégagent de l’étude : les hommes âgés sont les plus exposés, suivis par les diabétiques, les personnes ayant un indice de masse corporelle élevé et les personnes ayant souffert ou souffrant actuellement de dépression.

L’étude souligne également que plus de 1,5 milliards de personnes dans le monde souffrent d’une quelconque forme de perte auditive, mais ce nombre devrait atteindre 2,5 milliards d’ici 2050 selon l’Organisation mondiale de la santé.

Les tests auditifs s’appuient sur la technologie

Mais alors, comment diagnostiquer une perte auditive ou un trouble de l’audition ? Il est nécessaire de procéder à un test auditif qui, comme vous l’avez peut-être deviné, fait appel à la technologie.

Vous serez généralement placé dans une pièce insonorisée et devrez porter des oreillettes ou des écouteurs reliés à un appareil spécial. Cet appareil diffusera des sons à tonalité et volume variables. Les sons sont diffusés dans une seule oreille à la fois, car les problèmes d’audition n’affectent pas nécessairement les deux oreilles. À chaque fois que vous entendrez un son, vous devrez réagir, en général en appuyant sur un bouton. Il s’agit d’une technologie de base qui remplit toutefois une mission très importante.

Ce type de test est réalisé par un spécialiste de l’audition afin de s’assurer qu’il est effectué correctement et que vous obtiendrez un diagnostic précis.

Il existe également des tests en ligne que vous pouvez passer depuis chez vous : ils vous aideront tout au moins à déterminer la direction à prendre et vous indiqueront si vous devez prévoir de passer un test plus complet. Les tests en ligne ne remplacent cependant pas les tests en présentiel, et si vous pensez avoir un problème, mieux vaut programmer un test auditif sans tarder.

Que vous souhaitiez prendre rendez-vous avec un professionnel de l’audition ou que vous ayez besoin de soins ou de réponses concernant une perte d’audition, vous pouvez vous rendre sur le site suivant pour obtenir de l’aide : phonak.com/fr-fr/trouver-un-audioprothesiste.

La technologie aide à améliorer la qualité des appareils auditifs 

Il n’y a pas que les tests qui utilisent la technologie : les solutions permettant de remédier à la perte auditive s’appuient également sur les progrès technologiques. Les appareils auditifs ont révolutionné la façon dont les gens entendent et ils ont transformé la vie de nombreuses personnes depuis des décennies. Si ces dispositifs ne permettent pas de réparer les dommages, ils peuvent aider la personne à entendre à nouveau.

Les prothèses auditives ont beaucoup évolué au fil des ans, la technologie offrant des possibilités plus intéressantes et plus efficaces. Parmi les progrès réalisés, citons la réduction de la taille et du poids des appareils, leur apparence plus discrète dans l’oreille, le son plus clair, les fonctions automatiques, la connectivité sans fil, la possibilité pour deux appareils auditifs de fonctionner simultanément, un son plus fort, etc. Les appareils auditifs proposés à l’heure actuelle sont différents de ceux d’il y a dix ans ou plus.

La technologie a permis de créer des implants

Autre exemple de progrès rendu possible par la technologie : l’implant cochléaire. Celui-ci est idéal pour les personnes souffrant d’une perte auditive sévère à profonde, c’est-à-dire nettement plus importante que celle d’une personne lambda qui opterait pour un appareil auditif. L’implant est généralement utilisé conjointement avec une prothèse auditive afin de renforcer l’efficacité de cette dernière.

L’implant fonctionne en envoyant un signal sonore au nerf auditif de l’oreille. Il s’agit d’un très petit appareil électronique, qui comporte un processeur de son placé derrière l’oreille.

La technologie n’a pas de limites !

La technologie est en constante évolution, et c’est ce qui en fait un sujet si passionnant. Impossible de prédire ce qui se profile à l’horizon et de quelle manière les progrès réalisés amélioreront la vie des gens. Permettre à une personne de retrouver la faculté d’entendre est plutôt remarquable, et on peut s’attendre à ce que le secteur connaisse encore de nombreuses avancées.

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Pendant le Moyen Âge (476-1492), les territoires étaient structurés en fiefs et en seigneuries. Bien que théoriquement vassales du roi, ces terres étaient gérées par des seigneurs locaux qui avaient la responsabilité de protéger les populations. En échange de cette protection, les paysans, les artisans et les marchands étaient tenus de payer différentes taxes. Le système fiscal était alors à l’image de la société : fragmenté, arbitraire et profondément inégalitaire.

En bref : Les impôts au Moyen Âge

  • Un système inégalitaire : Les impôts variaient selon le statut social (serfs, moines, seigneurs) et le lieu.
  • De nombreuses taxes : Il existait des dizaines de taxes différentes, touchant la terre, les récoltes, le travail, le commerce et même le mariage.
  • L’arbitraire : Le droit fiscal reposait souvent sur des coutumes orales, ce qui entraînait de nombreux abus de la part des seigneurs.
  • Le but : Financer la protection de la population et les biens du seigneur (châteaux, moulins, routes…).
Quelles étaient les impôts et les taxes au Moyen Âge ?
Le Livre de richesse : seigneur percevant l’impôt, extrait des Traités théologiques, vers 1490.

Du Moyen Âge à la Révolution : l’évolution du système fiscal

Jusqu’au XIIIème siècle, le droit fiscal français ne reposait que sur des coutumes orales inconnues de la majeure partie de la population, ne laissant place qu’à l’arbitraire et aux abus, très largement généralisés. De plus, pendant tout le moyen-âge, les habitants étaient soumis à des régimes inégalitaires, en fonction du seigneur sous l’autorité duquel ils étaient. Enfin, étant donné la séparation de la société en différents états, les serfs, moines et seigneurs d’un même territoire, n’étaient pas soumis aux mêmes taxes. Ces inégalités et abus se prolongeront avec la monarchie, notamment sous Louis XIV et seront l’une des principales causes de la Révolution française de 1789. Dès 1790, les impôts les plus arbitraires (par exemple la gabelle ou la dîme) sont supprimés et une vaste politique de réforme fiscale conduit à la refonte du système.

La déclaration des droits de l’homme et du citoyen va affirmer que « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (Art 1), et que « la loi doit être la même pour tous » (Art 6). Ceci implique qu’un même régime fiscal doit s’appliquer à tous les contribuables placés dans la même situation. De plus l’article 15 est un rempart contre l’arbitraire puisqu’il affirme que la société (donc l’ensemble des citoyens qui la compose) a « le droit de demander compte à tout agent public de son administration ». Avec la République, l’État ne se considère plus au-dessus de ses sujets, mais comme une entité au service des citoyens. Dans le but de financer au mieux cet État au service des citoyens, il est prévu à l’article 13 que la charge de l’État soit « également répartie entre tous les citoyens en raison de leurs facultés ». À l’égalité entre deux contribuables dans la même situation (équité horizontale), s’ajoute donc le principe que ceux qui ont le plus de moyens doivent contribuer davantage.

Découvre dans cet article une liste (quasi- !) exhaustive des différents impôts payés durant le Moyen Âge.

Les impôts majeurs du système féodal

Bien que les taxes médiévales soient innombrables, quatre d’entre elles constituent les piliers du système fiscal et symbolisent à elles seules les rapports de force de l’époque. Ces prélèvements, qui pesaient lourdement sur la vie des paysans, étaient à la fois les fondements économiques de la société féodale et les sources de son profond déséquilibre.

La Taille

La taille était l’impôt direct par excellence, prélevé sur les personnes et leurs biens fonciers. Initialement, elle était une redevance arbitraire, décidée par le seigneur selon ses besoins — d’où le terme de « taillable à merci ». Au fil du temps, elle a évolué pour devenir plus régulière, mais son assiette fiscale, son montant et sa fréquence restaient une prérogative du pouvoir seigneurial, ce qui la rendait particulièrement impopulaire. Un non-noble, un roturier, était par essence « taillable », ce qui faisait de cet impôt non seulement une charge économique, mais aussi un signe d’infériorité sociale. La taille royale est apparue plus tard pour financer le royaume, mais elle reposait sur le même principe d’inégalité.

La Dîme

Instituée par l’Église, la dîme était un impôt religieux prélevé sur la production agricole. Son nom même, dérivé du latin decima, indique qu’elle représentait en théorie un dixième des récoltes des paysans. Ce prélèvement en nature, qui s’ajoutait aux impôts seigneuriaux, était destiné à l’entretien du clergé, des églises et à l’assistance aux plus démunis. Cependant, la perception de la dîme par l’Église, souvent perçue comme la plus riche des institutions de l’époque, était une source de ressentiment pour des populations qui peinaient déjà à survivre de leur travail.

La Gabelle

La gabelle est l’un des impôts les plus célèbres pour son impopularité. Il s’agissait d’une taxe indirecte sur le sel, un produit vital pour l’alimentation et la conservation des denrées. L’État exerçait un monopole sur la production et la vente de sel, obligeant les habitants à en acheter une quantité minimum chaque année. Ce système créait de fortes inégalités régionales : la taxe était si élevée dans certaines provinces (les « pays de grande gabelle ») et si faible dans d’autres que la contrebande, les « faux-sauniers », s’est généralisée. La gabelle devint ainsi le symbole d’une injustice fiscale profonde et arbitraire.

La Corvée

Plus qu’un simple impôt, la corvée était une prestation en travail obligatoire. Les serfs devaient fournir gratuitement leurs bras au seigneur pendant un certain nombre de jours par an pour l’entretien de ses terres, de ses routes ou de ses châteaux. Elle n’était pas un simple échange de service, mais une manifestation physique de la dépendance du serf à l’égard de son seigneur. Cet impôt en nature, qui les détournait de leurs propres travaux agricoles, était l’une des charges les plus lourdes et les plus détestées, renforçant la sujétion de la population rurale.

Liste des impôts au Moyen Âge

Nom de l’impôt Description de l’impôt
La taille impôt direct sur la terre et les personnes, proportionnel au revenu ou à la superficie du bien
La taille royale impôt direct au profit du trésor royal, payé principalement par les roturiers.
La gabelle impôt indirect sur le sel, prélevé par l’État sur le produit de sa vente. L’exemption totale ou partielle de la gabelle était appelée le franc-salé
Droit de brouage impôt sur le droit de fabriquer du sel
Les aides impôt exceptionnel prélevé par les seigneurs sur ses vassaux en cas de guerre ou de crise financière
La capitation impôt direct prélevé sur chaque individu, quel que soit son revenu
L’octroi impôt indirect sur les marchandises entrant dans une ville ou une région
Le fouage impôt prélevé sur chaque feu (ou foyer)
Les banalités impôt indirect prélevé par les seigneurs sur les activités artisanales et commerciales dont il finance les installations (four, pressoir, moulin, etc.)
L’indire droit accordé au seigneur de doubler les taxes dans certains cas particuliers
La dîme impôt prélevé par l’Église sur la récolte des paysans correspondant à un dixième de la production
Le champart impôt sur les récoltes, consistant en une part des céréales produites. Cet impôt était prélevé après la dîme
La corvée impôt en travail obligatoire effectué sur le domaine d’un seigneur, pour l’entretien des routes, des ponts et des bâtiments publics, etc.
Le cens impôt foncier payé par le paysan au seigneur en contrepartie de l’utilisation d’une terre (la tenure ou censive)
L’afforage taxe sur le fait de percer un tonneau (mettre un tonneau en perce) afin d’y tirer du vin, par exemple
Les lods et ventes taxe seigneuriale prélevée à chaque fois qu’une terre censive était vendue
Les novales taxe sur les terres nouvellement défrichées et mises en valeur
Le tonlieu impôt indirect sur les marchandises importées ou exportées, plus précisément sur leur transport (par exemple lorsqu’elles franchissent un fleuve) et sur leur étalage dans les marchés
La leyde équivalente au tonlieu mais pour le Midi de la France, avec la particularité de ne s’appliquer qu’aux forains et aux étrangers
Le terrage impôt sur les récoltes de blé (et plus généralement sur ce qui est produit par la terre)
Droit de pontonnage impôt sur l’utilisation de bateaux ou de pontons pour traverser une rivière ou un canal
Droit de passage impôt sur les personnes et les marchandises traversant un territoire
Droit de péage impôt sur les marchandises passant par un pont ou une route
Droit de justice impôt prélevé par les seigneurs sur les condamnations prononcées dans leur juridiction
Droit de suite impôt sur les biens des condamnés à mort
Droit de déshérence impôt sur les biens d’un individu sans héritier
La mainmorte lorsqu’un serf meurt, la majeure partie de ses biens revient à son seigneur
Droit d’aubaine impôt sur les biens des étrangers morts dans le fief du seigneur
Droit de retrait lignage impôt sur les biens vendus hors de la famille
Droit de formariage taxe dont les serfs devaient s’acquitter lors du mariage si l’un d’entre eux provenait d’une seigneurie différente
Droit de pacage impôt sur le droit de faire paître les animaux
Droit de pâturage impôt sur le droit de faire pâturer les animaux
Droit de glandage impôt sur l’utilisation de la forêt pour la cueillette de glands et pour leur utilisation dans le cadre de la nourriture des cochons
Droit d’abeillage impôt sur l’utilisation et la mise en place des ruches d’abeilles
Droit de foulerie impôt sur le foulage des étoffes
Droit de mouture impôt sur la mouture des céréales dans les moulins
Le trop-perçu impôt sur la vente d’une récolte excédentaire
Le Franc-fief taxe à payer au Roi pour l’utilisation d’un fief (en tant que non-noble)
La forfuyance taxe à payer par un serf à son seigneur lorsqu’il souhaite quitter la seigneurie afin de se mettre au service d’un autre seigneur

Questions fréquentes sur les impôts médiévaux

Qui payait les impôts au Moyen Âge ?

Les impôts étaient principalement payés par les paysans, les artisans et les marchands. Le clergé et la noblesse, qui constituaient les deux premiers ordres de la société, bénéficiaient de larges exemptions fiscales, notamment pour leurs terres.

Quel était l’impôt le plus important ?

Il n’y avait pas un seul impôt dominant. La taille, impôt direct sur les personnes et les terres, était très répandue. La dîme prélevée par l’Église et la gabelle, l’impôt sur le sel, étaient également des taxes majeures et très impopulaires.

Qu’est-ce que la dîme et le champart ?

La dîme était un impôt prélevé par l’Église, représentant un dixième de la récolte. Le champart, quant à lui, était un impôt seigneurial sur les récoltes, prélevé en nature (une partie de la production) après la dîme.

Pourquoi la gabelle était-elle si impopulaire ?

La gabelle était l’impôt sur le sel. Sa grande impopularité venait de son caractère injuste, car le sel était un produit de première nécessité pour la conservation des aliments. L’impôt rendait le sel cher et sa consommation, parfois obligatoire, créait de fortes inégalités entre les régions.

Les impôts étaient-ils les mêmes partout ?

Non, le système fiscal était très fragmenté. Les impôts, leurs montants et leurs noms variaient considérablement d’une seigneurie à l’autre. Le droit fiscal était basé sur des coutumes locales, créant un système inégalitaire et arbitraire.

C’est quoi la corvée ?

La corvée était un impôt prélevé en travail. Les paysans devaient travailler gratuitement sur le domaine du seigneur pendant une période donnée, pour entretenir les routes, les ponts ou les châteaux. C’était l’une des taxes les plus symboliques de la dépendance paysanne.

Qu’est-ce que la mainmorte ?

La mainmorte était une taxe qui s’appliquait à la mort d’un serf. Une grande partie de ses biens revenait alors à son seigneur, qui pouvait ainsi s’assurer de ne pas perdre ses richesses au profit des héritiers.

Quelle est la différence entre la taille et la taille royale ?

La taille était un impôt direct perçu par les seigneurs locaux. La taille royale était une version de cet impôt, perçue directement par le trésor du Roi. Elle touchait principalement les roturiers et était l’une des principales sources de revenus du pouvoir monarchique.

Les impôts du Moyen Âge, complexes et souvent injustes, sont le reflet d’une époque où l’organisation de la société reposait sur un système de dépendance et de privilèges. L’accumulation de ces taxes, basées sur des coutumes orales et l’arbitraire des seigneurs, fut une source de misère et de révoltes qui alimentèrent les tensions sociales pendant des siècles. En comprenant ce système, on saisit mieux le contexte et l’importance des principes d’égalité et d’équité fiscale que la Révolution française a inscrits dans la loi, pour construire un État moderne, au service de tous les citoyens et non plus d’une minorité privilégiée.

Conclusion

Les impôts du Moyen Âge, complexes et souvent injustes, sont le reflet d’une époque où l’organisation de la société reposait sur un système de dépendance et de privilèges. L’accumulation de ces taxes, basées sur des coutumes orales et l’arbitraire des seigneurs, fut une source de misère et de révoltes qui alimentèrent les tensions sociales pendant des siècles. En comprenant ce système, on saisit mieux le contexte et l’importance des principes d’égalité et d’équité fiscale que la Révolution française a inscrits dans la loi, pour construire un État moderne, au service de tous les citoyens et non plus d’une minorité privilégiée.

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Vous n’obtenez pas les notes que vous souhaitez à l’école ? Ne vous inquiétez pas, il existe toujours une solution. Avec un professeur particulier en ligne, vous bénéficiez d’une aide personnalisé qui vous aidera à maîtriser les matières dans lesquelles vous avez des faiblesses. Qu’il s’agisse de mathématiques, de physique, de français ou de géographie, il y a toujours un moyen d’atteindre vos objectifs. Voici les clés pour améliorer vos notes à l’école.

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Comment puis-je atteindre mes objectifs avec un professeur en ligne ?

Le premier facteur pour atteindre vos objectifs est de croire en vous. Apprendre une matière à l’école peut sembler difficile lorsque vous ne comprenez pas les concepts. Avec le soutien scolaire, vous obtenez de nouvelles perspectives et une nouvelle compréhension des choses qui vous semblaient autrefois impossibles. Vous pouvez également poser des questions à votre professeur quand il y’a quelque chose que vous n’arrivez pas à comprendre. Il peut alors essayer de l’expliquer d’une manière différente pour que vous compreniez parfaitement. Lorsque vous commencez à comprendre le sujet, il devient plus facile au fil du temps et vous cela renforce votre motivation. De cette façon, vous commencez à améliorer votre confiance en vous, votre motivation pour étudier et finalement atteindre votre objectif.

Comment améliorer mes notes?

Résoudre une équation, ce n’est pas seulement obtenir la bonne réponse, c’est aussi comprendre les différentes étapes pour arriver à la solution. Les explications de quelqu’un qui peut montrer différents exemples de résolution de l’équation sont un moyen rapide et très utile pour améliorer la compréhension. Les professeurs particuliers en ligne de Top Soutien Scolaire sont des étudiants de haut niveau issus d’universités et ont une grande maîtrise de la matière qu’ils enseignent. Les professeurs sont certifiés et adaptés à vos besoins et à vos objectifs afin que vous puissiez tirer le meilleur parti de chaque leçon.

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Où en France puis-je trouver un professeur particulier ?

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Depuis la crise sanitaire, le nombre de salariés désireux de devenir indépendants a fortement augmenté. La quête d’un métier qui a du sens, le besoin de liberté et l’autonomie sont autant de raisons de vouloir se mettre à son compte. La plupart du temps, les professionnels optent pour le statut de freelance ou le portage salarial. Pour faire le bon choix, il est important de connaître le principe et les avantages de chaque formule.

Qu'est-ce qu'un CSE ?
Des gens heureux de travailler ensemble et qui discrètement minent des bitcoins avec leur ordinateur.

Comment fonctionnent le portage salarial et le freelancing ?

Dans le langage courant, le « freelance » renvoie au professionnel indépendant, qui vend ses services à des particuliers ou des entreprises. Il s’agit généralement de prestations « intellectuelles » comme le conseil, la formation, la communication, l’informatique, etc. Le freelance n’est soumis à aucun lien de subordination, il est totalement libre dans la sélection de ses missions, la gestion de son temps et de son lieu de travail.

En portage salarial, le consultant signe un contrat de travail avec une entreprise de portage (EPS) pour héberger son activité. Il recherche ses clients et négocie les conditions directement avec le client. L’EPS établit ensuite un contrat de prestation avec ce dernier en reprenant les modalités convenues avec le salarié porté.

Quels sont les avantages respectifs du portage salarial et du statut de freelance ?

Le portage salarial

Le portage salarial s’adresse à une grande diversité de profils, la seule exigence étant de justifier d’une expertise solide dans un ou plusieurs domaines. Peuvent ainsi devenir salariés portés les cadres d’entreprises, les formateurs, mais également les retraités, les demandeurs d’emploi et même les jeunes diplômés.

Le salarié porté n’a pas besoin de créer une entité légale distincte pour exercer son métier. Les contraintes administratives sont donc moindres, d’autant que la société de portage s’occupe de toutes les tâches liées aux volets administratif, juridique, fiscal et social (contractualisation, déclarations, facturation, recouvrement, paiement des charges sociales, etc.).

Par ailleurs, le contrat de travail signé avec la société de portage lui confère le statut de salarié, qui s’accompagne de droits sociaux complets (assurance maladie, mutuelle, cotisation retraite, indemnité chômage, congés payés, formation professionnelle).

Le salarié porté perçoit un salaire mensuel versé par la société de portage, sur la base du chiffre d’affaires qu’il réalise et après déduction des diverses charges. Sa situation est ainsi plus stable et le bulletin de salaire lui est très utile pour demander un prêt bancaire par exemple.

Enfin, le collaborateur porté a accès à des formations régulières et à un accompagnement personnalisé qui lui permettent d’améliorer constamment son offre de services. L’EPS peut même proposer des missions que le consultant est libre d’accepter ou de refuser. Il intègre en plus un réseau de consultants aux compétences variées, multipliant les chances de trouver de nouveaux clients et de renforcer les compétences.

Le statut de freelance

Le consultant qui choisit d’être freelance doit choisir un régime social et fiscal. Il peut exercer en tant que micro-entrepreneur, s’installer en tant que libéral ou encore créer une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) ou une société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU).

Quels sont les inconvénients d’être en salarié porté ou freelance ?

Le salarié porté

En contrepartie des services fournis par la société de portage, elle prélève des « frais de gestion » correspondant à 5 % à 10 % des honoraires facturés à chaque client. En outre, pour bénéficier de cette protection sociale complète, le salarié porté doit payer des cotisations sociales plus élevées que l’entrepreneur, puisqu’il est également redevable de la part de l’employeur. Le chiffre d’affaires hors taxes du salarié porté est donc ponctionné d’environ 45 % pour les diverses charges. Cela signifie que pour toucher un salaire net suffisant, il doit multiplier les missions et appliquer un TJM relativement élevé.

Enfin, bien qu’il ne soit pas hiérarchiquement dépendant de la société de portage, cette dernière peut mettre fin au contrat de travail en cas de non-respect des obligations contractuelles ou d’absence de missions sur une certaine période.

Comment choisir en portage salarial et freelancing ?

Le portage salarial est conseillé à l’actif qui hésite entre rester salarié ou devenir entrepreneur ou qui cherche un moyen de faire une transition ou une reconversion en douceur. Il profite de son indépendance tout en bénéficiant d’une protection sociale efficace. C’est donc la solution de la sécurité. Le système convient également à ceux qui sont peu à l’aise avec les obligations administratives.

Le freelance, pour sa part, est totalement libre dans le choix de son statut juridique et est potentiellement éligible à différentes aides pour la création ou la reprise d’entreprise :

  • l’allocation de retour à l’emploi (ARE),
  • l’aide à la reprise et à la création d’entreprise (ARCE) ou encore l’ACRE, qui donne droit à l’exonération partielle ou intégrale de cotisations sociales pendant une année afin d’encourager les créateurs ou repreneurs d’entreprise.

Le choix dépend ainsi en grande partie de la personnalité de chacun en matière de rapport au risque, à la solitude, et au besoin ou non d’un soutien financier pour se lancer.

Si vous souhaitez vous lancer le portage salarial, vous devrez choisir la société de portage qui convient le mieux ! En France, il existe de nombreuses entreprises de portage. Ainsi, il est important d’effectuer une comparaison des services proposés ! Pour en savoir plus sur le portage avec ITG, ou encore ABC Portage ou Dreamteam, n’hésitez pas à consulter leurs sites !

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ChatGPT est un logiciel avancé qui utilise l’intelligence artificielle (IA) pour formuler des réponses et participer à des discussions de manière réaliste et conversationnelle. Il est développé par la firme OpenAI, un acteur majeur qui a bousculé le monde de la tech en popularisant les IA génératives. De son côté, Google a riposté avec le lancement de Gemini, son propre modèle de langage puissant.

Ces deux géants de l’IA sont-ils de véritables concurrents ? Sont-ils interchangeables ? Dans cet article, nous allons plonger au cœur de leurs fonctionnalités pour comprendre les différences entre ChatGPT et Google Gemini.

En bref : ChatGPT vs Gemini

  • ChatGPT, développé par OpenAI, est un leader historique des IA génératives, avec une forte popularité.
  • Google Gemini est le modèle de Google, directement intégré à l’écosystème du géant technologique.
  • La principale différence réside dans leur architecture et leurs fonctionnalités, Gemini étant nativement multimodal et connecté à Google Search.
  • Les deux modèles excellent dans la génération de texte, de code et la réponse à des requêtes complexes.
  • La course à l’innovation continue, avec des mises à jour constantes et des intégrations dans les produits respectifs de chaque entreprise.
Image générée par une intelligence artificielle.
Cette image a été générée par une intelligence artificielle.

Que font-ils et comment se différencient-ils ?

Les services offerts par ChatGPT et Google Gemini sont similaires en apparence. Les utilisateurs saisissent une question, une demande ou un message (appelé « prompt ») pour recevoir une réponse dans une conversation la plus humaine possible. Les deux modèles peuvent rédiger des textes, résumer des documents, traduire des langues, écrire du code informatique et même générer des idées créatives.

Cependant, la principale différence réside dans leur conception et leur accès aux informations. Initialement, ChatGPT se limitait aux connaissances apprises par son modèle lors de son entraînement, qui s’arrêtait à une certaine date. Aujourd’hui, les versions payantes (comme ChatGPT Plus) ont accès à Internet. De son côté, Gemini a été conçu dès le départ pour être étroitement lié à l’écosystème Google, notamment Google Search. Il peut ainsi inclure des informations en temps réel dans ses réponses, ce qui lui confère un avantage notable sur les sujets d’actualité.

De plus, Gemini est un modèle multimodal natif. Cela signifie qu’il a été entraîné pour comprendre et opérer non seulement avec du texte, mais aussi avec des images, de l’audio et de la vidéo, dès sa conception. Bien que ChatGPT ait également acquis des capacités multimodales, elles ont été ajoutées par la suite, tandis que Gemini a été pensé pour ces différentes formes de données dès le départ.

Il est important de noter que malgré leurs performances impressionnantes, ces deux IA peuvent encore « halluciner », c’est-à-dire générer des informations fausses ou inventées, en particulier si elles manquent de données précises sur un sujet donné.

Les architectures derrière ces géants : GPT et Gemini

ChatGPT repose sur les modèles de la série GPT (Generative Pre-trained Transformer) d’OpenAI, avec la version la plus récente étant GPT-4. Cette architecture est reconnue pour sa capacité à générer du texte de manière incroyablement fluide et cohérente, même sur des sujets complexes.

Gemini, quant à lui, est l’aboutissement de la recherche de Google. Il se décline en plusieurs versions, comme Gemini Ultra (le plus puissant, pour les tâches complexes), Gemini Pro (le plus équilibré, intégré à Google Bard et d’autres services), et Gemini Nano (pour les appareils mobiles). Ces différents modèles permettent d’optimiser l’utilisation de l’IA en fonction des besoins, qu’il s’agisse de recherche complexe sur un serveur ou d’une tâche simple sur un smartphone.

La compétition entre les deux firmes, OpenAI et Google, est saine et stimule l’innovation. Elles prévoient toutes deux d’intégrer davantage leurs modèles d’IA pour améliorer leurs services de recherche et d’autres produits.

Disponibilité et alternatives

ChatGPT est largement accessible au public, avec une version gratuite (basée sur une version plus ancienne de GPT) et une version payante par abonnement qui offre un accès à des fonctionnalités plus avancées. Google Gemini est également disponible via des outils comme le chatbot de Google, ainsi que via une API pour les développeurs.

D’autres acteurs ont aussi développé leurs propres modèles pour concurrencer les deux leaders du marché. On peut citer Claude d’Anthropic ou encore les modèles open source comme ceux de Meta (Llama), qui offrent des alternatives solides pour les chercheurs et les développeurs qui ne veulent pas dépendre d’une seule entreprise. En Chine, des géants technologiques comme Baidu développent également leurs propres modèles, à l’image de leur IA Ernie.

La course à l’innovation est donc loin d’être terminée, et de nouvelles avancées sont attendues dans les mois et les années à venir.

FAQ : tout savoir sur ChatGPT et Gemini

Qu’est-ce que Gemini ?

Gemini est un modèle de langage d’intelligence artificielle développé par Google, conçu pour la génération de texte, l’analyse de données et la multimodalité (compréhension d’images, de vidéos, etc.).

Est-ce que Gemini a remplacé Bard ?

Oui, Google a renommé son chatbot, qui était basé sur l’IA LaMDA, en le faisant passer à la technologie Gemini. Le nom « Bard » n’est plus utilisé.

Qui est le meilleur entre ChatGPT et Gemini ?

Il n’y a pas de « meilleur » absolu. Les deux modèles excellent dans des tâches similaires. Le choix dépend des besoins de l’utilisateur. ChatGPT est souvent perçu comme plus créatif, tandis que Gemini est réputé pour son intégration à l’écosystème Google et son accès aux données en temps réel.

Les deux IA peuvent-elles accéder à Internet ?

Oui. La version gratuite de ChatGPT a des connaissances limitées, mais les versions plus avancées comme ChatGPT Plus ont un accès Internet. Gemini est conçu pour interagir nativement avec Google Search et les informations en ligne.

Qu’est-ce que la « multimodalité » ?

La multimodalité est la capacité d’une IA à comprendre et à opérer avec différents types de données, comme le texte, les images, les vidéos et les fichiers audio, au-delà du simple texte.

Lequel des deux est le plus facile à utiliser ?

Les deux ont une interface très intuitive, basée sur la conversation. Leur facilité d’utilisation est comparable, et dépend de la familiarité de l’utilisateur avec les interfaces de chatbot.

Est-ce que ChatGPT et Gemini « hallucinent » ?

Oui, les deux modèles peuvent générer des informations incorrectes ou inventées, un phénomène courant dans le monde des IA génératives appelé « hallucination ». Il est donc toujours recommandé de vérifier les informations importantes.

Y a-t-il des alternatives à ChatGPT et Gemini ?

Oui, il existe d’autres modèles d’IA populaires comme Claude d’Anthropic, ainsi que des modèles open source comme ceux de Meta (Llama), et des modèles développés par des entreprises chinoises comme Baidu (Ernie).

Comment puis-je accéder à Gemini ?

Vous pouvez accéder à Gemini via l’application mobile et le site web de Google, ou en utilisant l’assistant Google sur les appareils compatibles. Il est également intégré à divers produits Google.

Lequel est le plus sécurisé pour mes données ?

Les deux entreprises, Google et OpenAI, affirment prendre la protection des données très au sérieux. Il est néanmoins essentiel de lire leurs politiques de confidentialité respectives avant de partager des informations sensibles.

Lequel est le meilleur pour la génération de code ?

Les deux modèles sont très performants pour la génération de code. Le choix dépend des besoins spécifiques du développeur. Certains préféreront l’un ou l’autre en fonction de la syntaxe ou de la complexité de la tâche.

La compétition entre les deux est-elle une bonne chose ?

Oui, la compétition entre des entreprises comme Google et OpenAI pousse à l’innovation, ce qui bénéficie aux utilisateurs en créant des modèles plus puissants et plus efficaces.

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Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi et comment l’horloge de votre ordinateur se dérègle parfois, ou pourquoi vos courriels ont un horodatage erroné ? La plupart du temps, c’est parce que la synchronisation de l’heure du réseau n’est probablement pas bonne. Or, la précision de l’horloge est essentielle dans l’informatique moderne. NTP, ou Network Time Protocol, est un protocole Internet qui synchronise les différentes horloges d’un ordinateur sur un réseau informatique. Le SNTP, ou Simple Network Time Protocol, est une adaptation du NTP utilisée pour synchroniser les horloges des ordinateurs sur un réseau. Mais le NTP est-il identique au SNTP ? Continuez à lire pour en savoir plus.

Quel est l'impact du hasard dans les jeux de casino ?
L’usage de la puissance de calcul des ordinateurs permet aujourd’hui d’obtenir des probabilités de réussite (ou de perte) au casino, de tendre vers le hasard, ou encore de miner des bitcoins.

Qu’est-ce que le NTP ?

NTP, abréviation de Network Time Protocol, est un protocole Internet utilisé pour synchroniser les horloges des ordinateurs sur un réseau. La synchronisation est très importante en informatique. Un décalage horaire, même de quelques minutes, peut causer des problèmes. Chaque appareil d’un réseau possède une horloge interne, qui indique à la fois l’heure et la date. Il est très important que les appareils qui communiquent sur le réseau aient une heure exacte. NTP est un protocole qui permet aux horloges des ordinateurs connectés sur un réseau de synchroniser l’heure en utilisant un ensemble de clients et de serveurs distribués. La seule tâche du NTP est de maintenir la synchronisation du temps entre les systèmes à quelques dizaines de microsecondes près. NTP utilise un système hiérarchique de ressources temporelles pour assurer une synchronisation cohérente des serveurs de fichiers.

Qu’est-ce que le SNTP ?

SNTP, abréviation de Simple Network Time Protocol, est une adaptation simplifiée du NTP utilisé pour synchroniser les horloges des ordinateurs sur Internet. SNTP utilise le même format de paquet réseau que NTP, mais les deux ne peuvent coexister sur la même machine car ils utilisent le même port. Ce protocole peut être utilisé lorsque le potentiel de la mise en œuvre complète de NTP n’est pas nécessaire. Les petits réseaux utilisent l’heure SNTP. Bien que SNTP utilise les serveurs de temps de NTP, il utilise moins de ressources pour obtenir des informations. C’est pourquoi ce protocole doit faire de multiples demandes aux serveurs de temps. En maintenant la synchronisation des horodateurs dans un réseau, SNTP permet de suivre les processus et les interactions entre les systèmes. La dernière version actuelle du SNTP est le SNTPv4, qui prend en charge les protocoles réseau IPv4 et IPv6.

Les différences entre NTP et SNTP

Algorithme

NTP est plus sophistiqué que SNTP et utilise des algorithmes plus complexes pour calibrer l’horloge du système. Il fait appel à plusieurs serveurs de temps afin de faire correspondre la fréquence d’une horloge de référence précise. Le SNTP, quant à lui, ne fournit pas les algorithmes de filtrage et de statistiques complexes du NTP. Par conséquent, SNTP est moins précis que NTP, ce qui le rend inadapté aux processus et aux applications qui nécessitent une synchronisation temporelle précise. Pour la même raison, SNTP nécessite moins de ressources que NTP.

Simplicité

NTP et SNTP sont tous deux des protocoles utilisés pour maintenir la synchronisation des horloges de calcul dans un réseau et utilisent le même paquet de temps provenant d’un message de serveur de temps pour calculer l’heure exacte. SNTP, cependant, est une version plus simplifiée du protocole NTP, réservée aux clients et prise en charge par certains commutateurs Catalyst. Il peut uniquement recevoir l’heure des serveurs NTP et ne peut pas être utilisé pour fournir des services de temps à d’autres systèmes.

Serveurs

Le principal point de distinction entre les deux est le nombre de serveurs utilisés pour la synchronisation. NTP utilise une construction complexe de plusieurs serveurs qui échangent des informations dans un système de couches hiérarchiques de sources de temps. Le SNTP, au contraire, ne peut utiliser qu’un seul serveur comme base de temps. Il évite la dépendance client-serveur en utilisant un seul serveur pour obtenir des informations. SNTP est généralement utilisé dans les serveurs primaires qui ont une seule horloge de référence, ou dans les clients qui ont un seul serveur en amont.

En résumé

NTP et SNTP utilisent tous deux le même paquet de temps provenant d’un message du serveur de temps pour calculer l’heure exacte. Alors que NTP est plus exact et précis que SNTP, ce dernier est une version plus simplifiée, considérant qu’il contourne plusieurs étapes et ajuste périodiquement l’heure. NTP utilise un algorithme interne plus sophistiqué que SNTP pour synchroniser l’heure de tous les appareils d’un réseau avec le temps universel coordonné en faisant référence à des sources de temps fiables. Idéalement, le SNTP convient mieux aux processeurs moins puissants, tels que les systèmes embarqués et les microcontrôleurs.

Quel est le meilleur NTP ou SNTP ?

Le SNTP nécessite moins de ressources que le NTP, ce qui le rend idéal pour une utilisation dans des appareils ou des systèmes simples qui ne disposent pas d’une très grande puissance de traitement. NTP est plus exact et précis que SNTP, ce qui en fait une norme de facto pour les applications d’entreprise.

Le NTP est-il compatible avec le SNTP ?

Les deux protocoles utilisent des paquets d’informations identiques et sont donc interopérables. Mais les deux protocoles ne peuvent pas être utilisés sur la même machine.

A quoi sert SNTP ?

SNTP convient mieux aux processeurs moins puissants, tels que les systèmes intégrés et les microcontrôleurs.

Dois-je utiliser SNTP ?

Il n’est généralement pas recommandé d’utiliser SNTP comme source ou horloge principale car il ne dispose pas de méthode de cryptage, ce qui le rend vulnérable aux attaques.

Quel est le port SNTP ?

SNTP est basé sur la suite de protocoles TCP/IP et utilise le port UDP 123.

Quel est le protocole utilisé par NTP ?

NTP utilise le temps universel coordonné (UTC) pour synchroniser les horloges des ordinateurs sur un réseau. Les serveurs NTP utilisent le port 123 pour échanger des informations.

 

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