Pour ne plus se tromper et savoir s’il faut doubler la consonne, s’il faut un ou deux « l », un ou deux « t », il faut prononcer le mot.
Par exemple j’appelle prend deux « L » car lorsqu’on le prononce, le dernier « e » est muet.
En pratique, lorsqu’on dit le mot on entend « j’appel »; le « L » est la dernière lettre du mot a être prononcée. C’est pour cela que « appeler » n’en prend qu’un: le dernier son entendu est « é » et pas « L ».
Pareil pour « je jette » et « jeter ». Dans le premier, le dernier son entendu est « t » donc on met deux « T », dans le second, le dernier son entendu n’est pas « t », c’est « é » donc on ne met qu’un « t ».
Par Jean-Louis Valero.
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Tout à fait d’accord avec le commentaire précédant, ce n’est pas une méthode valable : j’achète et non j’achette !!!
On pourrait dire aussi que le fait de doubler la consonne transforme la prononciation du « e » qui précède.
Par exemple, dans le verbe « appeler », le « e » avant le « l » se prononce « eu ». Mais une fois conjugué, dans « j’appelle », le « e » avant « ll » se prononce « è ».
Idem pour « jeter » et « je jette ».
Mais quelle que soit la méthode, ça ne marche pas pour tous les verbes: peler, mener et geler, par exemple, ne doublent jamais leur « L ».