Les sonnets élisabéthains de Stéphane Mallarmé

Photo de Stéphane Mallarmé, Nadar
Stéphane Mallarmé, photographié par Nadar.

Le sonnet élisabéthain à la façon de Stéphane Mallarmé.

Appelé aussi sonnet anglais ou shakespearien (et qui sera repris par Mallarmé), il présente également 14 vers de 12 pieds (Alexandrin), mais les rimes sont différentes : il est constitué de trois quatrains à rimes croisées, suivis d’un distique exprimant la chute ou une fin surprenante, en somme les deux dernières strophes doivent évoquer la pensée profonde du sonnet. Formes mentionnées par les colistiers ; ABAB CDCD EFEF GG / ABAB ABAB CDCD EE.

Pour s’en souvenir, pensez à la reine Élisabeth I et retenez cette phrase « Alarmé par le bruit du carrosse de Stéphane, j’ai été averti trop tard, l’heure a sonné pour la reine Élisabeth I ».

 

lunec squar

1 réflexion au sujet de « Les sonnets élisabéthains de Stéphane Mallarmé »

  1. Je la replace ici parce que c’est un des vers (paraphrasé) de Mallarmé que je préfère:
    « Le poète est tel qu’en lui même enfin l’éternité le change » (Le tombeau d’Edgar Poe)

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